«Très jeune, j’ai dis à mon père que je voulais faire mon acte d’allégeance à Serigne Saliou. Tous les après midi, j’allais le voir et nous étions seuls, il était assis sur sa chaise pliante », se rappelle le Cheikh du «Holding Amar» qui raconte que Serigne Saliou lui avait conseillé de s’investir dans l’agriculture. C’est par la suite que le marabout lui a confié l’approvisionnement et l’entretien du matériel agricole de Khelcom. «Je dois tout à Serigne Saliou qui a prié pour moi» se rappelle toujours tristement l’homme d’affaires.
Très attaché à sa maman, le patron de TSE a été beaucoup affecté par le décès de son père. D’ailleurs dans son bureau, les photos de son défunt papa et celui de Serigne Saliou se côtoient sur les murs.
Pape Cheikh, comme l’appellent ses intimes est un natif de la première capitale du Sénégal, Saint-Louis. C’est d’ailleurs ce qui explique le soutien consistant qu’il avait octroyé à cette Ville envahie par les eaux lors de l’hivernage dernier. Ceux qui ignoraient ces relations entre Cheikh et la Ville de Saint-Louis ont tenté de dénaturer son acte humaniste en disant que l’homme d’affaire soutient un Maire de l’Opposition (Cheikh Bamba Diéye). Et pourtant, il avait déployé les mêmes efforts pour soutenir la Maire de Bambey Mme Aïda Mbodji impuissante devant les dégâts des inondations dans sa Commune. N’a-t-il pas été élu Citoyen d’Honneur de Bambey par les femmes de cette Ville?
Vers les années 1990, Pape Cheikh était encore agent à Leclerc. Entre 1995 et 1996, il crée une entreprise de transit et de transport de centenaires vers l’Afrique particulièrement vers le Sénégal. C’était pour lui, une manière de préparer son retour au pays natal.
Très effacé, Cheikh Amar est un homme d’affaires respecté à travers le Sénégal, l’Afrique et le Monde. Le patron de TSE/TRE force l’admiration. Récemment, il a été invité par le Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade aux Usa pour discuter avec plus de 90 Investisseurs américains qui s’activent dans des secteurs variés.
Ce n’est pas un hasard s’il a été convié aux Usa pour être le digne représentant des hommes d’Affaires Sénégalais voir Africains à Chicago. Cheikh est à la tête d’une Société avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 45 milliards de FCfa. Ce qui fait de lui, sans aucun doute, le plus puissant homme d’affaires sénégalais. Si les Nigérians sont fiers de leur Ali Dangote, les français de leur Vincent Bolloré, les Sénégalais ont de quoi être fiers de ce talibé de Serigne Saliou, Cheikh Amar Président Directeur Général d’un holding au vrai sens du terme.
TSE LANCE LA REVOLUTION AGRICOLE AU SENEGAL
TSE est une Société anonyme au service du Monde rurale. Il faut se rendre dans le Baol, le Saloum, la Vallée et dans le Bassin arachidier pour constater la manière dont, Cheikh Amar, en moins de 10 ans, a révolutionné l’agriculture sénégalaise.
Cette révolution agricole était imprévisible il y a 10 ans. De l’Inde, de l’Iran et de la Chine, TSE a développé des relations de partenariat très poussées avec ces Gouvernements. Du matériel agricole sophistiqué et moderne est importé de ces pays surtout de l’Inde. «Ce sont des matériels agricoles efficaces à moindre coût que je leur vend. Le monde agricole est très complexe, mais je m’entends bien avec les paysans» dit Cheikh Amar.
L’année dernière, grâce à son entregent, prés de 1.000 tracteurs étaient négociés avec l’Iran. C’est réellement avec TSE que l’agriculture sénégalaise s’est modernisée au grand bonheur des paysans.
La preuve en 2006, il a importé d’Inde des cultivateurs, des semoirs, des motopompes, 510 tracteurs, des offset, des remorques. Le tout pour une valeur de plus de 15 milliards de francs Cfa mis exclusivement à la disposition du monde rural.
En plus, 55 unités de transformation de céréales, 55 mini-boulangeries, 30 petites unités de traitement de miel, 20 presses à huile, de 1000 moulins à céréales ont été réceptionnés par le président de la République des mains de Pape Cheikh.
«Holding Amar» s’était également engagé dans le Programme d’autosuffisance en riz d’un montant de 27 millions de dollars US avec 2934 motopompes à haut débit, 4 stations de pompages, des barges, des tuyaux, des systèmes d’irrigations et divers accessoires.
Au niveau de la Vallée, Cheikh Amar a fourni fournira en plus 875 motopompes pour un coût de 8 milliards.
«Holding Amar » n’est pas seulement spécialiste de matériel agricole. Le patron de TSE s’est lancé dans l’exploitation des phosphates à Matam. Il produit près de 50.000 tonnes d’engrais par an. L’ouverture de cette usine a été un grand moment dans le secteur de l’industrie nationale. Aujourd’hui, ces phosphates de Matam produisent le meilleur engrais dans la sous région et à un pris très abordable et concurrentiel.
«Le président Wade m’a reconnu lors de la Fiara 2003. Je lui avais expliqué qu’on faisait du matériel agricole pas cher pour les agriculteurs, l’idée lui a plus. On s’est rencontré une deuxième fois à Touba, le Khalife a fait les présentations et m’a qualifié de sérieux travailleur à qui il confie toute la logistique concernant le volet agriculture de Khelcom. Le président m’aide beaucoup car il me donne du travail et me fait confiance » laisse entendre Cheikh qui est plus qu’un ami pour Wade. Il est son fils. Entre Cheikh et Wade c’est le style direct. Ils s’entendent comme deux frères jumeaux.
AVEC «HOLDING AMAR», LE MEILLEUR RESTE A VENIR
Après avoir révolutionné l’agriculture, Cheikh Amar s’est lancé dans un nouveau défi cette fois-ci, industriel. Il s’agit de la création d’une usine des gros porteurs à Toglou (dans la région de Thiès) pour fabriquer des camions et de gros engins avec des partenaires soudanais.
Dans ses affaires, TSE est doublé par TRE qui est une nouvelle filiale immobilière. Aux Almadies, «Holding Amar» a investi plus de 15 milliards de Cfa pour la construction d’appartements de luxe et des immeubles à usage de bureau mais aussi villa très modernes et accessibles à tous.
DERRIERE CHAQUE GRAND HOMME, IL Y A UNE GRANDE FEMME
«L’homme n’est rien sans la femme c’est démontrer par Marie Amar» chantait Salam Diallo. L’auteur de «Goana » a trouvé la bonne formule pour expliquer le secret romantique qui lie Marie et son Cheikh. C’est à l’âge de 24 ans qu’il a épousé cette femme de teint clair.
C’est le jour qu’il a connu Marie que Pape Cheikh a pris la décision de l’épouser. Ses amis n’y croyaient pas tellement. C’était un vrai coup de foudre au départ. «Boy j’ai rencontré une fille mais je pense que je vais la marier» a confié Pape Cheikh à ses amis qui en riaient à gorge déployée. De retour à Paris, il demande la main de Marie.
Mme Amar n’a jamais été une femme au foyer. Elle s’est toujours battue dans sa vie pour soutenir son époux. Elle était dans le commerce et dans d’autres affaires.
L’amour et l’entente étaient la sève nourricière de leur relation. Les week-ends, le couple recevait leurs amis dans leur appartement à Domont (Banlieue Paris).
Lors du baptême de leur fils aîné Serigne Saliou à Beaumont (Banlieue Paris), de grands dignitaires mourides étaient présents à cette cérémonie. C’est Serigne Modou Kara Mbacké, encore très jeune, qui était chargé d’annoncer le nom du nouveau-né qui portera l’homonyme de son marabout Serigne Saliou Mbacké.
A cet âge, l’avenir n’était pas encore radieux pour Cheikh. Il devait se battre rudement pour réussir dans la vie. Mais, son épouse y a cru. Mme Amar a vraiment du mérite, elle qui a su accompagner avec amour et engagement cet homme devenu une fierté nationale. « On s’est connus en France, c’était le grand amour à cet âge-là. C’est un bon père de famille et un excellent époux. Je trouve un seul défaut chez lui. C’est qu’il ne fait jamais de sport, c’est un bosseur mais très paresseux» déclare Marie. Ceci est confirmé par un ami de Pape Cheikh qui dit que ce dernier était brillant dans toutes les disciplines sauf en Education Sportive.
«Marie est une femme exemplaire. Elle s’occupe de son mari et de ses enfants. On ne la voit pas n’importe où. D’ailleurs beaucoup de personnes ne la connaissent pas. Marie est la femme idéale pour Cheikh. Elle a beaucoup contribué à sa réussite» nous confie un proche du couple Amar.
Bitimrew.net
Très attaché à sa maman, le patron de TSE a été beaucoup affecté par le décès de son père. D’ailleurs dans son bureau, les photos de son défunt papa et celui de Serigne Saliou se côtoient sur les murs.
Pape Cheikh, comme l’appellent ses intimes est un natif de la première capitale du Sénégal, Saint-Louis. C’est d’ailleurs ce qui explique le soutien consistant qu’il avait octroyé à cette Ville envahie par les eaux lors de l’hivernage dernier. Ceux qui ignoraient ces relations entre Cheikh et la Ville de Saint-Louis ont tenté de dénaturer son acte humaniste en disant que l’homme d’affaire soutient un Maire de l’Opposition (Cheikh Bamba Diéye). Et pourtant, il avait déployé les mêmes efforts pour soutenir la Maire de Bambey Mme Aïda Mbodji impuissante devant les dégâts des inondations dans sa Commune. N’a-t-il pas été élu Citoyen d’Honneur de Bambey par les femmes de cette Ville?
Vers les années 1990, Pape Cheikh était encore agent à Leclerc. Entre 1995 et 1996, il crée une entreprise de transit et de transport de centenaires vers l’Afrique particulièrement vers le Sénégal. C’était pour lui, une manière de préparer son retour au pays natal.
Très effacé, Cheikh Amar est un homme d’affaires respecté à travers le Sénégal, l’Afrique et le Monde. Le patron de TSE/TRE force l’admiration. Récemment, il a été invité par le Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade aux Usa pour discuter avec plus de 90 Investisseurs américains qui s’activent dans des secteurs variés.
Ce n’est pas un hasard s’il a été convié aux Usa pour être le digne représentant des hommes d’Affaires Sénégalais voir Africains à Chicago. Cheikh est à la tête d’une Société avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 45 milliards de FCfa. Ce qui fait de lui, sans aucun doute, le plus puissant homme d’affaires sénégalais. Si les Nigérians sont fiers de leur Ali Dangote, les français de leur Vincent Bolloré, les Sénégalais ont de quoi être fiers de ce talibé de Serigne Saliou, Cheikh Amar Président Directeur Général d’un holding au vrai sens du terme.
TSE LANCE LA REVOLUTION AGRICOLE AU SENEGAL
TSE est une Société anonyme au service du Monde rurale. Il faut se rendre dans le Baol, le Saloum, la Vallée et dans le Bassin arachidier pour constater la manière dont, Cheikh Amar, en moins de 10 ans, a révolutionné l’agriculture sénégalaise.
Cette révolution agricole était imprévisible il y a 10 ans. De l’Inde, de l’Iran et de la Chine, TSE a développé des relations de partenariat très poussées avec ces Gouvernements. Du matériel agricole sophistiqué et moderne est importé de ces pays surtout de l’Inde. «Ce sont des matériels agricoles efficaces à moindre coût que je leur vend. Le monde agricole est très complexe, mais je m’entends bien avec les paysans» dit Cheikh Amar.
L’année dernière, grâce à son entregent, prés de 1.000 tracteurs étaient négociés avec l’Iran. C’est réellement avec TSE que l’agriculture sénégalaise s’est modernisée au grand bonheur des paysans.
La preuve en 2006, il a importé d’Inde des cultivateurs, des semoirs, des motopompes, 510 tracteurs, des offset, des remorques. Le tout pour une valeur de plus de 15 milliards de francs Cfa mis exclusivement à la disposition du monde rural.
En plus, 55 unités de transformation de céréales, 55 mini-boulangeries, 30 petites unités de traitement de miel, 20 presses à huile, de 1000 moulins à céréales ont été réceptionnés par le président de la République des mains de Pape Cheikh.
«Holding Amar» s’était également engagé dans le Programme d’autosuffisance en riz d’un montant de 27 millions de dollars US avec 2934 motopompes à haut débit, 4 stations de pompages, des barges, des tuyaux, des systèmes d’irrigations et divers accessoires.
Au niveau de la Vallée, Cheikh Amar a fourni fournira en plus 875 motopompes pour un coût de 8 milliards.
«Holding Amar » n’est pas seulement spécialiste de matériel agricole. Le patron de TSE s’est lancé dans l’exploitation des phosphates à Matam. Il produit près de 50.000 tonnes d’engrais par an. L’ouverture de cette usine a été un grand moment dans le secteur de l’industrie nationale. Aujourd’hui, ces phosphates de Matam produisent le meilleur engrais dans la sous région et à un pris très abordable et concurrentiel.
«Le président Wade m’a reconnu lors de la Fiara 2003. Je lui avais expliqué qu’on faisait du matériel agricole pas cher pour les agriculteurs, l’idée lui a plus. On s’est rencontré une deuxième fois à Touba, le Khalife a fait les présentations et m’a qualifié de sérieux travailleur à qui il confie toute la logistique concernant le volet agriculture de Khelcom. Le président m’aide beaucoup car il me donne du travail et me fait confiance » laisse entendre Cheikh qui est plus qu’un ami pour Wade. Il est son fils. Entre Cheikh et Wade c’est le style direct. Ils s’entendent comme deux frères jumeaux.
AVEC «HOLDING AMAR», LE MEILLEUR RESTE A VENIR
Après avoir révolutionné l’agriculture, Cheikh Amar s’est lancé dans un nouveau défi cette fois-ci, industriel. Il s’agit de la création d’une usine des gros porteurs à Toglou (dans la région de Thiès) pour fabriquer des camions et de gros engins avec des partenaires soudanais.
Dans ses affaires, TSE est doublé par TRE qui est une nouvelle filiale immobilière. Aux Almadies, «Holding Amar» a investi plus de 15 milliards de Cfa pour la construction d’appartements de luxe et des immeubles à usage de bureau mais aussi villa très modernes et accessibles à tous.
DERRIERE CHAQUE GRAND HOMME, IL Y A UNE GRANDE FEMME
«L’homme n’est rien sans la femme c’est démontrer par Marie Amar» chantait Salam Diallo. L’auteur de «Goana » a trouvé la bonne formule pour expliquer le secret romantique qui lie Marie et son Cheikh. C’est à l’âge de 24 ans qu’il a épousé cette femme de teint clair.
C’est le jour qu’il a connu Marie que Pape Cheikh a pris la décision de l’épouser. Ses amis n’y croyaient pas tellement. C’était un vrai coup de foudre au départ. «Boy j’ai rencontré une fille mais je pense que je vais la marier» a confié Pape Cheikh à ses amis qui en riaient à gorge déployée. De retour à Paris, il demande la main de Marie.
Mme Amar n’a jamais été une femme au foyer. Elle s’est toujours battue dans sa vie pour soutenir son époux. Elle était dans le commerce et dans d’autres affaires.
L’amour et l’entente étaient la sève nourricière de leur relation. Les week-ends, le couple recevait leurs amis dans leur appartement à Domont (Banlieue Paris).
Lors du baptême de leur fils aîné Serigne Saliou à Beaumont (Banlieue Paris), de grands dignitaires mourides étaient présents à cette cérémonie. C’est Serigne Modou Kara Mbacké, encore très jeune, qui était chargé d’annoncer le nom du nouveau-né qui portera l’homonyme de son marabout Serigne Saliou Mbacké.
A cet âge, l’avenir n’était pas encore radieux pour Cheikh. Il devait se battre rudement pour réussir dans la vie. Mais, son épouse y a cru. Mme Amar a vraiment du mérite, elle qui a su accompagner avec amour et engagement cet homme devenu une fierté nationale. « On s’est connus en France, c’était le grand amour à cet âge-là. C’est un bon père de famille et un excellent époux. Je trouve un seul défaut chez lui. C’est qu’il ne fait jamais de sport, c’est un bosseur mais très paresseux» déclare Marie. Ceci est confirmé par un ami de Pape Cheikh qui dit que ce dernier était brillant dans toutes les disciplines sauf en Education Sportive.
«Marie est une femme exemplaire. Elle s’occupe de son mari et de ses enfants. On ne la voit pas n’importe où. D’ailleurs beaucoup de personnes ne la connaissent pas. Marie est la femme idéale pour Cheikh. Elle a beaucoup contribué à sa réussite» nous confie un proche du couple Amar.
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