Ils sont très remontés contre Aminata Niane Directrice de l’Apix et le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. En effet, le Collectif des habitants affectés par l’autoroute à péage Dakar Diamniadio, par la voix de leur président Abdoulaye Faty, soutient que « si les autorités ne leur paient pas la somme de 200 milles Fcfa le m2, nous sommes prêts à y laisser notre vie ».
Aminata Niane Dg Apix, indexée
Tout a commencé, selon le président dudit Collectif A. Faty en 2006. Aminata Niane, Dg Apix, les avait convoqué pour leur annoncer « qu’ils allaient recevoir le même traitement que celles de Dalifort ». Au début, explique le président, « il fallait accepter une maison déjà construite ou de l’argent. Mais après, la donne a changé ». A en croire A. Faty toujours, qui rencontrait les journalistes, « les habitants de Dalifort ont perçu la somme de 100.000 Fcfa le m2. Et c’est en 2010, que nous avons été reçus par l ‘Apix en octobre pour nous dire que nous recevront 17000 Fcfa le m2 et pour ceux qui ont des titres fonciers 40.000 Fcfa. Ce que nous refusons. Car nous n’allons pas brader nos maisons avec nos familles. Et c’est une sommes dérisoire » disent-ils. Sur ce, il indique que nul n’a la droit de les forcer car « depuis 40 ans, ils y habitent et que le sol est sablonneux. Lors de la saison des pluies, point d’inondation car le cois est habitable. Ce que nous demandons, c’est 200. 000 Fcfa le mètre carré ou rien et nous sommes prêts à en découdre avec les autorités pour mourir sous les bulldozers ». Suite à cette annonce de leur payer 17000 F le mètre carré, le président s soutenu que certaines personne sont tombées en syncope et d’autres sont restés bouche bée. Ce fut une déception totale de la part des pères de familles.
Le Premier ministre « n’a pas la bonne information »
Au courant de la conférence de presse, les membres de la Collectif ont invité le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye à les recevoir d’urgence. Car lui disent-ils « vous n’avez pas la bonne information. Certains cherche à manipuler les autorités et font un travail de fourmi. Ils rendent compte. Mais, Abdoulaye Faty invite Jules Nd. Ndiaye à faire une ascèse car « sa déclaration risque de créer un gros problème entre populations et autorités. Ceux qui apparaissent à la télé ne parlent pas au nom du Collectif et nous prenons acte ». Pour Pape Talibé Mbaye, membre du Collectif, avec 17 000 F le mètre carré on risque de se retrouver avec la somme de 2 à trois millions. « Comment faire pour acheter dans ce un terrain. Et la construction ? Ils ont besoin des lieux et il faut qu’ils mettent le prix » affirme P. T. Mbaye. Dans un autre chapitre, ils disent tous être d’accords avec le projet mais refuse de brader leurs concessions pour se retrouver dans la rus avec leurs enfants.
Marche de protestation samedi
Les populations comptent manifester leur courroux ce samedi afin de dénoncer « leur refus catégorique face à une telle décision de la part du gouvernement ». Pour eux, « le gouvernement risque de déclencher une guère et il en sera responsable par rapport aux conséquences qui en découleront ».
Dans tous les cas, les populations se disent déterminées à y aller jusqu’au bout de cette affaire. Elles refusent de brader leur maisons pour ensuite se retrouver dans la rue.
Assane Thiam leral.net
Aminata Niane Dg Apix, indexée
Tout a commencé, selon le président dudit Collectif A. Faty en 2006. Aminata Niane, Dg Apix, les avait convoqué pour leur annoncer « qu’ils allaient recevoir le même traitement que celles de Dalifort ». Au début, explique le président, « il fallait accepter une maison déjà construite ou de l’argent. Mais après, la donne a changé ». A en croire A. Faty toujours, qui rencontrait les journalistes, « les habitants de Dalifort ont perçu la somme de 100.000 Fcfa le m2. Et c’est en 2010, que nous avons été reçus par l ‘Apix en octobre pour nous dire que nous recevront 17000 Fcfa le m2 et pour ceux qui ont des titres fonciers 40.000 Fcfa. Ce que nous refusons. Car nous n’allons pas brader nos maisons avec nos familles. Et c’est une sommes dérisoire » disent-ils. Sur ce, il indique que nul n’a la droit de les forcer car « depuis 40 ans, ils y habitent et que le sol est sablonneux. Lors de la saison des pluies, point d’inondation car le cois est habitable. Ce que nous demandons, c’est 200. 000 Fcfa le mètre carré ou rien et nous sommes prêts à en découdre avec les autorités pour mourir sous les bulldozers ». Suite à cette annonce de leur payer 17000 F le mètre carré, le président s soutenu que certaines personne sont tombées en syncope et d’autres sont restés bouche bée. Ce fut une déception totale de la part des pères de familles.
Le Premier ministre « n’a pas la bonne information »
Au courant de la conférence de presse, les membres de la Collectif ont invité le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye à les recevoir d’urgence. Car lui disent-ils « vous n’avez pas la bonne information. Certains cherche à manipuler les autorités et font un travail de fourmi. Ils rendent compte. Mais, Abdoulaye Faty invite Jules Nd. Ndiaye à faire une ascèse car « sa déclaration risque de créer un gros problème entre populations et autorités. Ceux qui apparaissent à la télé ne parlent pas au nom du Collectif et nous prenons acte ». Pour Pape Talibé Mbaye, membre du Collectif, avec 17 000 F le mètre carré on risque de se retrouver avec la somme de 2 à trois millions. « Comment faire pour acheter dans ce un terrain. Et la construction ? Ils ont besoin des lieux et il faut qu’ils mettent le prix » affirme P. T. Mbaye. Dans un autre chapitre, ils disent tous être d’accords avec le projet mais refuse de brader leurs concessions pour se retrouver dans la rus avec leurs enfants.
Marche de protestation samedi
Les populations comptent manifester leur courroux ce samedi afin de dénoncer « leur refus catégorique face à une telle décision de la part du gouvernement ». Pour eux, « le gouvernement risque de déclencher une guère et il en sera responsable par rapport aux conséquences qui en découleront ».
Dans tous les cas, les populations se disent déterminées à y aller jusqu’au bout de cette affaire. Elles refusent de brader leur maisons pour ensuite se retrouver dans la rue.
Assane Thiam leral.net