Le bras de fer qui oppose le Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement moyen secondaire (Cusems) aux autorités est loin de connaître son épilogue. En effet à la suite de l’exécution de leur quatrième plan d’action pour exiger du gouvernement la satisfaction de quelques points de leur plateforme revendicative, mais sans résultat ; les camarades de Mamadou Mbodj ont décidé de poursuivre la lutte en lançant leur cinquième plan d’action. Ainsi, ils comptent mettre en oeuvre dès ce mardi en application des actions inscrites dans leur plan d’action. Il est prévu, en plus désormais de la rétention des notes des élèves, à 10heures un débrayage suivi de grève sur toute l’étendue du territoire national. Quarante huit heures après c’est-à-dire, à partir du jeudi 5 février, un mouvement de grève générale dont le mot d’ordre concerne l’ensemble du sous secteur
Les termes du communiqué rendu public hier lundi laissent entendre que les syndicalistes du Cusems sont formels : « La satisfaction des revendications légitimes des professeurs du moyen-secondaire est un impératif pour lequel tous les sacrifices requis seront consentis » C’est pourquoi disent ils « SEULE LA LUTTE PAIE ! NOUS VAINCRONS » Et de poursuivre« restons déterminés, vigilants et unis : nous aurons gain de cause » Depuis la fin de l’année 2008, le Cusems est en mouvement.
Un mouvement qui se justifie, selon les syndicalistes, par le non respect du gouvernement des engagements signés le mois de novembre le non paiement des indemnités de Bfem et de Bac de l’année 2008, etc. Ce mouvement qui a paralysé une partie du système éducatif sénégalais et a même occasionné des soulèvements sous forme de marches improvisées au niveau des lycées Saidou Nourou Tall, De la Fosse ; Abdoulaye Sadji et John F Kennedy . Les potaches de ces lycées réclament déclarent « ne pas vouloir être l’agneau du sacrifice » dans cette histoire et demandent à ce que « L’Etat prennent ses responsabilités » .
par Mamadou Amadou DIOP | SUD QUOTIDIEN
Les termes du communiqué rendu public hier lundi laissent entendre que les syndicalistes du Cusems sont formels : « La satisfaction des revendications légitimes des professeurs du moyen-secondaire est un impératif pour lequel tous les sacrifices requis seront consentis » C’est pourquoi disent ils « SEULE LA LUTTE PAIE ! NOUS VAINCRONS » Et de poursuivre« restons déterminés, vigilants et unis : nous aurons gain de cause » Depuis la fin de l’année 2008, le Cusems est en mouvement.
Un mouvement qui se justifie, selon les syndicalistes, par le non respect du gouvernement des engagements signés le mois de novembre le non paiement des indemnités de Bfem et de Bac de l’année 2008, etc. Ce mouvement qui a paralysé une partie du système éducatif sénégalais et a même occasionné des soulèvements sous forme de marches improvisées au niveau des lycées Saidou Nourou Tall, De la Fosse ; Abdoulaye Sadji et John F Kennedy . Les potaches de ces lycées réclament déclarent « ne pas vouloir être l’agneau du sacrifice » dans cette histoire et demandent à ce que « L’Etat prennent ses responsabilités » .
par Mamadou Amadou DIOP | SUD QUOTIDIEN