Dans une interview que le docteur a accordé au journal « Le Quotidien » avant son arrestation, Mame Marie Faye déclare : « ma sortie a été motivée par le fait que je vois actuellement la santé du président de la République se dégrader. Mais aussi par la manière dont son entourage le traite à travers un acharnement thérapeutique. Et c’est çà qui me révolte. Wade avec toutes les maladies qu’il a, à son âge, devait se reposer. On lui fait mener ce train de vie d’enfer. Il y a un acharnement thérapeutique d’autant plus que moi, j’ai été témoin de quelque chose à Washington ».
Dans « Le Quotidien », le docteur Mame Marie Faye révèle que « le 4 juin 2004, il était venu à Washington à l’occasion du sommet du G8. Je suis allée pour l’accueillir. Après avoir parlé avec lui, il est parti vers l’ascenseur. J’ai vu qu’il était déjà fatigué. Je m’en suis aperçu en 2001. Et quand je l’ai vu en 2004, il s’est levé et il n’arrivait pas à marcher. Les deux personnes qui sont tout le temps avec lui l’ont plus ou moins soutenu et il a traîné les pieds pour aller à l’ascenseur. J’étais derrière lui et j’ai paniqué. Là, j’ai compris qu’il était sérieusement malade. Je me suis dit que ce gars-là ne va pas redescendre. Je voulais monter dans l’ascenseur, on me dit : « Docteur, attendez, on va vous appeler ! ». Ils avaient l’air d’être pressés d’aller lui donner quelque chose parce qu’il avait rendez-vous une heure après avec les congressmen américains. On ne m’a pas appelée. Mais, j’avais complètement paniqué. Je me suis dit qu’il ne pourra plus bouger. Une heure après, il est redescendu pour aller rencontrer les congressmen. Donc qu’est-ce qu’on lui a donné ? C’est la question que je me pose. C’est ce qu’on appelle acharnement thérapeutique ».
« Kotch » liste les maladies comme « parkinson, Alzheimer, prostate…qui riment avec vieillesse ».
Source : politicosn
Dans « Le Quotidien », le docteur Mame Marie Faye révèle que « le 4 juin 2004, il était venu à Washington à l’occasion du sommet du G8. Je suis allée pour l’accueillir. Après avoir parlé avec lui, il est parti vers l’ascenseur. J’ai vu qu’il était déjà fatigué. Je m’en suis aperçu en 2001. Et quand je l’ai vu en 2004, il s’est levé et il n’arrivait pas à marcher. Les deux personnes qui sont tout le temps avec lui l’ont plus ou moins soutenu et il a traîné les pieds pour aller à l’ascenseur. J’étais derrière lui et j’ai paniqué. Là, j’ai compris qu’il était sérieusement malade. Je me suis dit que ce gars-là ne va pas redescendre. Je voulais monter dans l’ascenseur, on me dit : « Docteur, attendez, on va vous appeler ! ». Ils avaient l’air d’être pressés d’aller lui donner quelque chose parce qu’il avait rendez-vous une heure après avec les congressmen américains. On ne m’a pas appelée. Mais, j’avais complètement paniqué. Je me suis dit qu’il ne pourra plus bouger. Une heure après, il est redescendu pour aller rencontrer les congressmen. Donc qu’est-ce qu’on lui a donné ? C’est la question que je me pose. C’est ce qu’on appelle acharnement thérapeutique ».
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Source : politicosn