Ci-git, le Dojo national, agressé le 13 janvier et mort le 16 du même mois de l'an 2024, agressé par des bulldozers qui se sont trompés de mission dans un pays en développement.
Au lieu de bâtir des infrastructures, ils détruisent des monuments au nom de l'émergence. Ainsi, avec son décès, le dojo emporte avec lui, 50 ans d'histoire et de mémoire du judo sénégalais.
Que les hommes et les femmes de ce pays retiennent l'essentiel : Le dojo national Maître Amara Dabo, a rendu l'âme à cause d'une absence de vision, de valeurs et d'ambition des dirigeants sportifs et des autorités politiques de son pays.
Adieu Dojo, rejoint ton illustre parrain et tous les judokas qui nous ont devancés au paradis.
Maitre Jules, un des nombreux pensionnaires du dojo
Au lieu de bâtir des infrastructures, ils détruisent des monuments au nom de l'émergence. Ainsi, avec son décès, le dojo emporte avec lui, 50 ans d'histoire et de mémoire du judo sénégalais.
Que les hommes et les femmes de ce pays retiennent l'essentiel : Le dojo national Maître Amara Dabo, a rendu l'âme à cause d'une absence de vision, de valeurs et d'ambition des dirigeants sportifs et des autorités politiques de son pays.
Adieu Dojo, rejoint ton illustre parrain et tous les judokas qui nous ont devancés au paradis.
Maitre Jules, un des nombreux pensionnaires du dojo