Afin d’éviter que la violence électorale ne prospère et de contribuer à des élections libres, transparentes et apaisées, les représentants des organisations féminines de la société civile et femmes leaders africaines, réunis sous l’égide de la Campagne « le Genre : Mon agenda » (GIMAC) réunies en janvier 2012 lors de la 19ème Consultation de la Campagne Le Genre est Mon Agenda (GIMAC) à Addis-Abeba (Ethiopie), en marge du 18ème Sommet de l’UA, ont saisi l’occasion pour réfléchir sur la façon de s’impliquer dans les processus électoraux en vue, dans divers pays africains. Elles ont mandaté FAS de coordonner l’action des organisations de la société civile à l’échelle nationale et internationale en vue de prévenir la violence électorale au Sénégal. Ainsi est née la Plateforme de veille pour des élections apaisée, coordonnée par l’ONG Femmes Africa Solidarité (FAS), dirigée par Mme Bineta Diop, et soutenue par le PNUD, ONU Femmes et d’autres agences du système des Nations Unies
Le GIMAC et la Plateforme de veille des femmes pour des élections apaisées au Sénégal, dont la contribution lors des élections présidentielles et législatives a eu des effets positifs sur l’apaisement des esprits et contribué à consolider le processus électoral, soucieux de communiquer largement sur les résultats de leur travail, mené à l’occasion de la 20eme Session Consultative du Pré-Sommet sur l’intégration du Genre dans l’Union Africaine, les 10 et 11 juillet 2012 à Addis-Abeba en Ethiopie tiennent une conférence de presse, le Jeudi 26 juillet 2012, à 11 heures, au GOOD RADE sur la VDN.
En partenariat avec la Commission économique pour l’Afrique (CEA), la Direction Genre, Femmes et Développement de la Commission de l’Union Africaine, avec l’appui de la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (ACBF), la Fondation Mo Ibrahim, ONU Femmes, Urgent Action Fund (UAF), Ipas Africa Alliance, Sirleaf Market Women’s Fund et les Ministères des Affaires Etrangères de la Finlande, de la Norvège et de la Suède, les travaux du pré-sommet ont porté sur l’urgente nécessité d’intégrer les femmes et les jeunes dans le débat actuel sur les questions d’intérêt pour le continent africain à savoir l’intégration régionale et le commerce transfrontalier par leur inclusion dans les processus de négociation commerciale, accès à l’information et à la technologie, ouvrant aux opportunités de commerce, aux nouveaux marchés et aux quotas commerciaux…
Le rôle des femmes dans l’agriculture a été largement débattu. Pour rappel, Femmes Africa Solidarité (FAS), se fondant sur la conviction que les femmes africaines, et en particulier les jeunes femmes, ont un rôle majeur à jouer dans la promotion de la croissance économique et du développement durable, a organisé une conférence sur « Les crises alimentaire, énergétique et financière (Les 3F : Food, Fuel, Finance) en Afrique: les femmes en première ligne », qui s’est tenue les 13 et 14 décembre 2011 à Dakar, au Sénégal.
Poursuivant cette initiative, les 55 organisations constituant le réseau de la campagne « Le Genre : Mon Agenda’’ (GIMAC) ont lancé l’initiative pour la responsabilisation des femmes africaines dans l’agriculture.
L’initiative vise à souligner le rôle central des femmes africaines dans l’agriculture et à préconiser l’adoption de législations et de politiques permettant de promouvoir un juste accès des femmes africaines à la terre et à la technologie agricole et leur permettant d’avoir des revenus plus équitables aussi bien dans l’agriculture familiale que dans l’agriculture commerciale ; ainsi que des mécanismes permettant d’alléger le poids des taches non-agricoles.
Les débats ont également concerné la paix et la sécurité, la mise en œuvre de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité de l’ONU, ainsi que les violences faites aux femmes dans les situations de conflits et post-conflits. De fortes recommandations ont été émises visant à inclure les femmes dans les processus de médiation pour la paix et dans les systèmes d’alerte précoce.
Le GIMAC a particulièrement insisté sur la nécessité d’Initier des actions décisives et inclusives pour résoudre les conflits qui affectent le Mali, la Guinée Bissau, le Soudan, le Sud Soudan, la Somalie, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine en favorisant les processus de paix et de réconciliation durable.
Et enfin, il a été recommandé d’encourager les femmes africaines à se présenter aux élections et demander aux Etats de prendre les dispositions nécessaires pour garantir des élections pacifiques et transparentes avec une participation active et effective des femmes.
Fort de cela, FAS en sa qualité de Coordinateur, joint sa voix à celle des membres de GIMAC, de la plateforme de veille des femmes et de toutes les femmes africaine pour féliciter vivement, la Sud-Africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma élue, dimanche 15 juillet 2012, présidente de la Commission de l'Union africaine, devenant ainsi la première femme à présider aux destinées de la plus importante instance de l’Organisation continentale. Nkosazana Dlamini-Zuma est et par ailleurs membre active de FAS et du comité consultatif de ladite institution.
La presse nationale et internationale y est cordialement invitée.
CONTACTS:
Khady GADIAGA Chloé HUYNH
OSMOSE Femmes Africa Solidarité
Organisation et Communication Globale Bureau Régional
Point E, 1A Rue de Diourbel Immeuble du Phare des Mamelles
Le GIMAC et la Plateforme de veille des femmes pour des élections apaisées au Sénégal, dont la contribution lors des élections présidentielles et législatives a eu des effets positifs sur l’apaisement des esprits et contribué à consolider le processus électoral, soucieux de communiquer largement sur les résultats de leur travail, mené à l’occasion de la 20eme Session Consultative du Pré-Sommet sur l’intégration du Genre dans l’Union Africaine, les 10 et 11 juillet 2012 à Addis-Abeba en Ethiopie tiennent une conférence de presse, le Jeudi 26 juillet 2012, à 11 heures, au GOOD RADE sur la VDN.
En partenariat avec la Commission économique pour l’Afrique (CEA), la Direction Genre, Femmes et Développement de la Commission de l’Union Africaine, avec l’appui de la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (ACBF), la Fondation Mo Ibrahim, ONU Femmes, Urgent Action Fund (UAF), Ipas Africa Alliance, Sirleaf Market Women’s Fund et les Ministères des Affaires Etrangères de la Finlande, de la Norvège et de la Suède, les travaux du pré-sommet ont porté sur l’urgente nécessité d’intégrer les femmes et les jeunes dans le débat actuel sur les questions d’intérêt pour le continent africain à savoir l’intégration régionale et le commerce transfrontalier par leur inclusion dans les processus de négociation commerciale, accès à l’information et à la technologie, ouvrant aux opportunités de commerce, aux nouveaux marchés et aux quotas commerciaux…
Le rôle des femmes dans l’agriculture a été largement débattu. Pour rappel, Femmes Africa Solidarité (FAS), se fondant sur la conviction que les femmes africaines, et en particulier les jeunes femmes, ont un rôle majeur à jouer dans la promotion de la croissance économique et du développement durable, a organisé une conférence sur « Les crises alimentaire, énergétique et financière (Les 3F : Food, Fuel, Finance) en Afrique: les femmes en première ligne », qui s’est tenue les 13 et 14 décembre 2011 à Dakar, au Sénégal.
Poursuivant cette initiative, les 55 organisations constituant le réseau de la campagne « Le Genre : Mon Agenda’’ (GIMAC) ont lancé l’initiative pour la responsabilisation des femmes africaines dans l’agriculture.
L’initiative vise à souligner le rôle central des femmes africaines dans l’agriculture et à préconiser l’adoption de législations et de politiques permettant de promouvoir un juste accès des femmes africaines à la terre et à la technologie agricole et leur permettant d’avoir des revenus plus équitables aussi bien dans l’agriculture familiale que dans l’agriculture commerciale ; ainsi que des mécanismes permettant d’alléger le poids des taches non-agricoles.
Les débats ont également concerné la paix et la sécurité, la mise en œuvre de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité de l’ONU, ainsi que les violences faites aux femmes dans les situations de conflits et post-conflits. De fortes recommandations ont été émises visant à inclure les femmes dans les processus de médiation pour la paix et dans les systèmes d’alerte précoce.
Le GIMAC a particulièrement insisté sur la nécessité d’Initier des actions décisives et inclusives pour résoudre les conflits qui affectent le Mali, la Guinée Bissau, le Soudan, le Sud Soudan, la Somalie, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine en favorisant les processus de paix et de réconciliation durable.
Et enfin, il a été recommandé d’encourager les femmes africaines à se présenter aux élections et demander aux Etats de prendre les dispositions nécessaires pour garantir des élections pacifiques et transparentes avec une participation active et effective des femmes.
Fort de cela, FAS en sa qualité de Coordinateur, joint sa voix à celle des membres de GIMAC, de la plateforme de veille des femmes et de toutes les femmes africaine pour féliciter vivement, la Sud-Africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma élue, dimanche 15 juillet 2012, présidente de la Commission de l'Union africaine, devenant ainsi la première femme à présider aux destinées de la plus importante instance de l’Organisation continentale. Nkosazana Dlamini-Zuma est et par ailleurs membre active de FAS et du comité consultatif de ladite institution.
La presse nationale et internationale y est cordialement invitée.
CONTACTS:
Khady GADIAGA Chloé HUYNH
OSMOSE Femmes Africa Solidarité
Organisation et Communication Globale Bureau Régional
Point E, 1A Rue de Diourbel Immeuble du Phare des Mamelles