Fidèle à sa réputation et comme on pouvait s'y attendre, les sujets polémiques se sont invités à ce « Iran show » où il a été question de religion, mais aussi de sexe, de relations homosexuelles, du châtiment prévu par l'islam pour les adeptes de cette pratique sévèrement réprimée par la religion musulmane.
Iran Ndao de dénoncer d'emblée ces femmes qui choisissent de vivre recluses dans les « appartements », loin de leurs proches et des regards indiscrets, en d'autres termes, qui s'adonnent à la prostitution clandestine.
Le prêcheur d'insister ensuite sur le châtiment prévu par l’islam pour ces hommes qui choisissent d’entretenir des relations sexuelles avec leurs semblables, à la place des femmes. « nga dawal lokho dadj sikim, moudawal lokho dadj sikim… », a dit Iran Ndao, parlant des relations homosexuelles, sur un ton humoristique, ménageant plus ou moins les hommes qui jouent le rôle de femmes dans les relations entre homosexuels.
Non sans préciser que, quand les deux (homosexuels) sont consentants, la sentence d'applique aux deux.
Dire que ces propos n'ont toutefois pas été très appréciés de certains membres de l'assistance. « Ce n'est respectueux, ni faire preuve de décence que de parler de la sorte devant des adultes, des personnes responsables», a fustigé Malick, interrogé par ThiesVision.com à la fin de la conférence.
Ecouter un extrait des propos de Iran Ndao.
Iran Ndao de dénoncer d'emblée ces femmes qui choisissent de vivre recluses dans les « appartements », loin de leurs proches et des regards indiscrets, en d'autres termes, qui s'adonnent à la prostitution clandestine.
Le prêcheur d'insister ensuite sur le châtiment prévu par l’islam pour ces hommes qui choisissent d’entretenir des relations sexuelles avec leurs semblables, à la place des femmes. « nga dawal lokho dadj sikim, moudawal lokho dadj sikim… », a dit Iran Ndao, parlant des relations homosexuelles, sur un ton humoristique, ménageant plus ou moins les hommes qui jouent le rôle de femmes dans les relations entre homosexuels.
Non sans préciser que, quand les deux (homosexuels) sont consentants, la sentence d'applique aux deux.
Dire que ces propos n'ont toutefois pas été très appréciés de certains membres de l'assistance. « Ce n'est respectueux, ni faire preuve de décence que de parler de la sorte devant des adultes, des personnes responsables», a fustigé Malick, interrogé par ThiesVision.com à la fin de la conférence.
Ecouter un extrait des propos de Iran Ndao.