Quatre victimes sur six ont été confrontées à l'individu Malgache derrière une vitre sans tain afin qu'elles disent s'il s'agissait du même homme qui les avait agressées à Namur.
"Ce n'est pas lui, elles sont formelles. Deux autres jeunes femmes n'ont pas encore pu être confrontées au suspect pour une question d'agenda", a expliqué le procureur.
Autre élément confirmant que ce n'est pas le même homme: l'enquête de téléphonie. Pour chaque fait commis à Namur, le suspect ne semblait pas se trouver à ce moment-là à Namur, d'après les antennes qui ont été activées.
A part sa couleur de peau et son âge, il n'y avait pas beaucoup de similitudes entre le Malgache et le violeur de Namur. Les deux hommes avaient un mode opératoire différent.
En décembre 2011, janvier et février 2012, un violeur a sévi à Namur. L'homme baraqué à la peau noire agressait de jeunes étudiantes qui circulaient seules dans les rues aux alentours de l'Université de Namur, et notamment sur la passerelle surplombant la Sambre qui relie le quartier universitaire aux kots de Salzinnes. Il s'agissait de viols digitaux. L'agresseur n'a jamais été retrouvé.
Le 9 septembre, le Malgache avait avoué trois viols commis à Mons et avait été placé sous mandat d'arrêt.
"Ce n'est pas lui, elles sont formelles. Deux autres jeunes femmes n'ont pas encore pu être confrontées au suspect pour une question d'agenda", a expliqué le procureur.
Autre élément confirmant que ce n'est pas le même homme: l'enquête de téléphonie. Pour chaque fait commis à Namur, le suspect ne semblait pas se trouver à ce moment-là à Namur, d'après les antennes qui ont été activées.
A part sa couleur de peau et son âge, il n'y avait pas beaucoup de similitudes entre le Malgache et le violeur de Namur. Les deux hommes avaient un mode opératoire différent.
En décembre 2011, janvier et février 2012, un violeur a sévi à Namur. L'homme baraqué à la peau noire agressait de jeunes étudiantes qui circulaient seules dans les rues aux alentours de l'Université de Namur, et notamment sur la passerelle surplombant la Sambre qui relie le quartier universitaire aux kots de Salzinnes. Il s'agissait de viols digitaux. L'agresseur n'a jamais été retrouvé.
Le 9 septembre, le Malgache avait avoué trois viols commis à Mons et avait été placé sous mandat d'arrêt.