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Le Maroc pays de tolérance et acteur loyal pour une paix entre Israël et la Palestine

Rédigé par leral.net le Vendredi 20 Juillet 2012 à 16:33 | | 3 commentaire(s)|

S’il existe un Etat arabo-musulman qui puisse être déclaré comme un pays de tolérance religieuse et qui déploie toute son énergie pour trouver ou favoriser une solution de paix entre Israël et Palestine c’est bien le Maroc, et c’est incontestable.


Le Maroc pays de tolérance  et acteur loyal pour une paix entre Israël et la Palestine
Il est reconnu internationalement que le Royaume du Maroc a toujours été considéré par les responsables palestiniens et israéliens comme l’interlocuteur et le médiateur privilégié et loyal à même de trouver les voies et moyens une solution à ce conflit qui empoisonne la stabilité, la sécurité de la région du Moyen-Orient et qui constitue un vivier fertile pour le terrorisme islamiste.



La preuve de ce qui vient d’être énoncé a été donnée, et c’est également une première dans un pays arabo-islamique, par la présence au congrès du Parti pour la Justice et le Développement (PJD) à Rabat de Monsieur Ofer Bronchtein, Président israélien du Forum International pour la Paix et ancien conseiller de Shimon Peres, à l’époque des négociations d’Oslo et de Camp David.



Mais le plus surprenant est que lors de ce congrès, Monsieur Bronchtein a croisé Khaled Mechaal, le leader du Hamas, avec qui il a échangé quelques mots furtifs.



Un évènement qui a été relaté par France 24. Cette même chaine a d’ailleurs commenté la poignée de main échangée par les deux hommes comme une note d’espoir:



Mais il ne faut surtout pas occulter le fait que le Maroc, dont son Souverain Préside le Comité Al-Qods, a toujours attiré l’attention de la communauté et des organisations internationales sur des pratiques israéliennes qui défient les chartes et résolutions internationales et appelé la Communauté internationale à assumer pleinement ses responsabilités pour la cessation des violations de la sacralité des Lieux Saints, musulmans et chrétiens, et à faire respecter le statut juridique de la ville sainte et son identité historique, en tant que terre de coexistence entre les religions, Juive, Chrétienne et Musulmane.



Le respect du statut juridique de cette ville sainte et de son identité historique, en tant que terre de coexistence entre les religions est une des conditions sine qua non à la paix, à l’éradication du terrorisme et à l’entente entre les peuples israélien et palestinien sans considérations de religion ou de race.

Israël doit donc absolument, pour la réalisation de cette paix, intégrer le fait que la judaïsation des sites de la ville Sainte d'Al- Qods (Jérusalem) et la modification de son cachet religieux et civilisationnel est contraire aux chartes et résolutions internationales et qu’il ne peut y avoir de violations de la sacralité des Lieux Saints, juifs, musulmans et chrétiens par qui que ce soit.



C’’est pourquoi, et au vu de ce qui précède, il est permis de conclure en affirmant qu’il est indéniable que le Royaume du Maroc, avec à sa tête son Roi, est le seul pays à même de contribuer positivement à la paix dans cette région et pourquoi pas être « les nouveaux norvégiens ». Il suffit d’en réunir les conditions politiques, car le jalon semble avoir été posé par le Maroc.



1.Posté par pioto le 23/07/2012 16:59 | Alerter
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Quelques révélations sur les secrets de tolérance des rois filons marocains envers état sioniste d'Israël !

Selon les documents des "Archives Nationales" d'Israël récemment ouvertes au publique,

et selon les révélations faites par Nahum Goldman (ancien président - en même temps, pendant plus de vingt ans - du Congrès Juif Mondial et de l'Organisation Sioniste Mondiale) dans son livre "Le paradoxe juif" ,

et selon les révélations de Mohamed Hassanein Heikal dans un article publié dans la revue libanaise "Achiraa",

et selon les révélations du professeur Israël Shahak dans son livre "The open secrets":

le despote Hassan II n'a - en réalité été qu'un vulgaire espion au service du Mossad juif israélien!

L'ironie du sort est qu'il y a même eu, en secret, - comme on vient de l'apprendre - une une parallèle concurrence et une précipitation - "Harouala" - entre le gauchiste enjuivé caviar Ben Barka et la crapule despote Hassan II pour servir Israël et le Mossad: le premier pour s'emparer du pouvoir, le deuxième pour "l'éternellement" conserver!Et puis il y a aussi le "bourgeois" istiqlalien Balafrej qui s'est aussi volontairement mis aux service du Mossad juif.

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Dès le début des années 60, Hassan II et les services secrets israéliens ont tissé des liens. Ils débutèrent avec la question de l'exode des juifs marocains vers Israël pour s'étendre à une coopération plus étroite.

L' histoire des relations entre l'un des services secrets les plus criminels du monde, le Mossad israélien, et le Hassan II remonte aux premières années de l'indépendance du Maroc.

A l'époque, Israël, "état" bandit colonial façonné par la mafia juive mondiale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, recherche à tout prix des moyens de survivance dans un environnement résistance arabe en ébullition et forcément hostile.

L'Etat bandit est conscient que son avenir dépend avant tout de sa démographie et de sa capacité à entretenir des relations stratégiques avec nombre de dirigeants traîtres des pays arbo-islamiques. Hassan II correspond aux desseins des sionistes.

Selon le juif Agnès Bensimon, auteur du célèbre « Hassan II et les Juifs », c'est parce que les services secrets israéliens ont fourni des renseignements très précis quant à un complot visant à tuer le prince héritier en février 1960 que les relations entre le Maroc et Israël ont débuté.

Mais, pour l'historien juif Yigal Bin-Nun, c'est en 1963 que la coopération officielle entre les deux pays a commencé.
Quel intérêt pour Hassan II ?
La rencontre est arrangée en février 1963 chez Benhamou lui-même, rue Victor Hugo à Paris, entre l'agent Yaakov Karoz et le représentant de Hassan II.

Les relations entre Hassan II et Israël deviennent dès lors officielles. Hassan II craignait que son trône ne soit menacé par le panarabisme. Pour mieux servir le Mossad, Il faisait mine de sympathiser avec la vague nassérienne qui submergeait le monde arabe ; en réalité, il le faisait pour ne pas se laisser distancer par l'"opposition".

Selon l' ancien agent du Mossad, Yigal Bin-Nun, Hassan II a voulu se rapprocher d'Israël parce qu'il était attiré par ce qu'on appelait alors le « miracle» de l'occupation juive, comme - auparavant - il a été fasciné par le l' occupation française au Maroc .

Beaucoup de petits despotes - tel que Hassan II - nostalgiques du colonialisme, de la loi da jungle, de l'occupation et de grand banditisme à grand échelon royal, étaient fascinés par la capacité ce petit Etat criminel bandit à écraser toute résistance et à «fleurir le désert», selon l'expression consacrée.

L'inexistence des relations israélo-arabes était propice à un rapprochement entre Hassan II et les dirigeants israéliens, d'autant plus que Ben Gourion avait décidé d'opter pour la politique dite des Etats périphériques : il fallait développer une ceinture d'Etats vassales lointains mais dociles.

L'intrusion du Mossad au Maroc s'est faite par des voyages clandestins de nombreux agents du Mossad et de leur chef Isser Harel, entre 1958 et 1960.

Le premier eut lieu le 1er septembre 1958. Les autorités de Hassan II gardèrent cette visite dans un secret total, préparant ainsi le terrain à "l'accord" conclu entre le Palais et Israël favorisant l'exode des Juifs du Maroc pour aider Israël dans son occupation à mieux vaincre démographiquement ses victimes Palestiniens Musulmans et Chrétiens.

Les officiers et agents de Hassan II se rendirent clandestinement en Israël et des politiques et militaires israéliens firent durant de longues années le chemin inverse.

Les archives nationales d'Israël regorgent de documents historiques qui retracent ces liens. Hassan II a souvent demandé aux Israéliens de les renseigner sur les Etats arabes favorables à un renversement de la monarchie alaouite.

Israël a aussi soutenu Hassan II dans sa "Guerre des Sables" avec l'Algérie en lui livrant des blindés. Des officiers de Tsahal et du Mossad ont formé et encadré la jeune armée royale et les services de sécurité dont le célèbre Cab-1, l'embryon de la DST.

En retour, et malgré l'envoi - en guise de camouflage - de troupes au Golan jugé "anecdotique", Hassan II n'a eu de cesse de "normaliser" l'existence de l'Etat d' occupation juif auprès du monde arabe, en jouant par exemple un rôle capital dans l'accord de capitulation et de la neutralisation de l'Egypte qui coûta la vie au traître Anouar Sadate, ou encore d'ouvrir à Rabat et à Tel-Aviv des antennes diplomatiques.

Jusqu'aujourd'hui Israël a continue à aider "technologiquement" le régime alaouite pour se maintenir au pouvoir.
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Le secret et les tabous ont toujours entouré les relations entre la monarchie au Maroc et l'Etat d'occupation Israël. Leurs liens sont souvent passés sous silence. Pourtant, ils existent bel et bien… Drôle de jeu auquel ils se livrent. Un couple qui semble avoir fait sien l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés ».

Dernière polémique en date, les accusations portées à l’encontre du maire de Marrakech, Omar Jazouli, affirmant que ce dernier aurait signé un accord de coopération, le 22 février 2007 à Marseille, avec le maire de la ville israélienne de Haïfa, Yona Yahav. Le gran quotidien marocain Attajdid a carrément lancé un appel implicite à l’intifada.

Arguant des exactions croissantes des Israéliens contre les Palestiniens, les Islamistes marocains refusent toute normalisation avec l’Etat hébreu. Et ce ne sont pas les seuls.

Dès lors qu’il s’agit de l’Etat d'occupation juif occupante et usurpateur, en tant qu’entité politique, aucune des personnes concernées n’admettra publiquement et ouvertement avoir un lien, de quelque nature que ce soit, avec Israël.

Et pour cause. Entre un conflit - relatif à l'occupation juive de la Palestine, entre juifs occupants d'un coté et musulmans et chrétiens résistants de l'autre - vieux de plus de près de 60 ans, un islamisme résistant, des peuples arabo-islamiques se développe rapidement et le contexte pour le régime de Hassan II - qui continue sans lui - ne se prête pas vraiment à la franchise.

Pourtant, Mohamed VI et le Mossade continuent à entretenir des relations très étroites.

Visites de ministres israéliens au Maroc, travail de lobbying auprès de la communauté internationale…

Sur le plan diplomatique, Mohamed VI [en tant que "président du Comité Al Qods"!!!] - qui a hérité de son père cette relation "amoureuse" et illégitime avec le Mossad - affiche ainsi de manière plus ou moins ouverte, en fonction de la situation en Palestine, au Moyen-Orient et de la conjoncture politique internationale en général, sa volonté de "normaliser" ses relations avec Israël qui ne sont déjà que plus que normales! Le « bon élève » Mohamed VI est tout sauf désobéissant aux directives de ses maîtres juifs.
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Sur le plan commercial, les relations alaouites-israéliennes semblent poursuivre paisiblement leur petit bonhomme de chemin, narguant la colère du peuple marocain. On estime à plus d’une centaine les entreprises israéliennes opérant plus ou moins au grand jour sur le territoire marocain, notamment dans le domaine agricole.

Et les entrepreneurs israéliens défricheraient le terrain pour leurs compatriotes diplomates juifs.

Côté israélien, les derniers chiffres publiés par The Israeli Export and International Cooperation Institute font état, pour le premier trimestre 2006, de 46 firmes israéliennes qui auraient exporté au Maroc pour un total de 2 millions de dollars, soit une augmentation de 23,5% des exportations par rapport à la même période en 2005.

Business is business, a-t-on coutume de dire dans la tradition alaouite enjuivée.

La communauté juive au Maroc ne compte plus aujourd'hui que 4.000 membres concentrés essentiellement à Casablanca.

Cette communauté est pour beaucoup dans les liens actuels, et pas seulement économiques, entre les deux pays.

Si André Azoulay est le plus connu des agents du Mossad au Maroc, il y a aujourd'hui des milliers d'agents secrets du Mossad qui travaillent activement au Maroc pour asseoir et encrer le pouvoir juif au sur notre pays occupé dans tous les domaines et secteurs de notre vie politique, économique, culturelle et sociale. A notre époque de l'Intrnet le site "www.dafina.net" (qui se définit comme le net des Juifs du Maroc), est le filet électronique que le Mossad utilisent pour le recrutement des jeunes recrus marocaines marocains aux service d'Israël: en commençant à leur faire écumer les célèbres boîtes de nuit de Tel-Aviv et avec l'aide de quelques "agences de voyage" du Mossad, à Casablanca notamment, qui proposent discrètement à leurs clients des séjours tous frais compris à partir de 10.000 dirhams. Le statut et le réseau social de ces "touristes" marocains d’un nouveau genre leur facilite également l’entrée sur le territoire palestinien occupé.

Certains "Marocains" choisissent même de s’installer dans l’Etat d'occupation juive. Ainsi, c’est avec une note de suffisance non dissimulée que le quotidien israélien Yediot Aharonot, sous la plume de Yaakov Lappin, rapporte dans l’édition du 21 février 2007 l’histoire de Fayçal. G, un jeune Casablancais de confession musulmane résident à Tel-Aviv. Fayce -pseudonyme choisi pour l’occasion- serait arrivé en Israël en 1997 pour étudier à l’Université de Tel-Aviv après des études secondaires dans un lycée juif de Casablanca.

Fayçal travaille actuellement pour une société de NTIC à Tel Aviv et se dit déterminé à renouveler son visa étudiant - expiré voilà deux ans - malgré les réticences du ministère de l’Intérieur israélien.

L’histoire de Fayçal, racontée en intégralité par Béni Issembert, un journaliste israélien d’origine française, a été publiée en France aux Editions Ram sous le titre "Fayce, le Je de la paix"!!!! produit du régime alaouite!

Ici et là, des supports de presse rapportent quant à eux des expulsions de prostituées marocaines musulmanes d’Israël qui y vendraient clandestinement leur chair le soir après leur journée de travail dans des usines et des ateliers.

L’association islamiste Mouvement Unicité et Réforme (MUR) dénonce carrément une « filière de prostitution marocaine en Israël ». Réseau mafieux qui, selon une organisation djihadiste palestinienne, emploierait près de 600 jeunes filles maroco-musulmanes dans des villes israéliennes et des colonies juives, notamment en Cisjordanie.

Le "scoop" a même été repris par le quotidien arabe londonien Al Quds Al Arabi.

Voilà à quelle honteuse et humiliante situation ce régime "alaouite" juif nous a mené.

En 1956, le sultan Mohamed V sacralisé par les juifs, est de retour. “pas un seul ministère ne se constitue sans un juif” rappelle Serge Berdugo, l'exemple le plus significatif étant celui du Dr Benzaquen. Des juifs sont à l'Assemblée constituante, à l'OCP, dans les partis nationalistes.

1956 l'activisme du Mossad est relançé . Robert Assaraf le rappelle, c'est sous l'ombrelle des services israéliens que Mohamed Laghzaoui, alors chef de la Sûreté nationale, signe avec le représentant au Maroc du Congrès juif mondial un accord organisant exode des juifs vers la Palestine occupée.
Ayant soutenue activement l'occupation colonialiste française, les juifs sont pris de panique à l'aube de l'indépendance et leur exode vers la Palestine occupée fut exacerbée par l'adhésion du Maroc, en 1958, à la Ligue arabe et à son très explicite corollaire, le Bureau de boycott arabe contre Israël. Car les juifs ont peur d'un Maroc indépendant et appartenant à sa nation arabo-islamique. Ils sont pour un Etat JUIF dans une Palestine qu'ils occupent et contre un Etat ISLAMIQUE libre dans un Maroc libéré!
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En 1956, le sultan Mohamed V sacralisé par les juifs, est de retour. “pas un seul ministère ne se constitue sans un juif” rappelle Serge Berdugo, l'exemple le plus significatif étant celui du Dr Benzaquen. Des juifs sont à l'Assemblée constituante, à l'OCP, dans les partis nationalistes.

1956 l'activisme du Mossad est relancé. Robert Assaraf le rappelle, c'est sous l'ombrelle des services israéliens que Mohamed Laghzaoui, alors chef de la Sûreté nationale, signe avec le représentant au Maroc du Congrès juif mondial un accord organisant exode des juifs vers la Palestine occupée.

Ayant soutenue activement l'occupation colonialiste française, les juifs sont pris de panique à l'aube de l'indépendance et leur exode vers la Palestine occupée fut exacerbée par l'adhésion du Maroc, en 1958, à la Ligue arabe et à son très explicite corollaire, le Bureau de boycott arabe contre Israël. Car les juifs ont peur d'un Maroc indépendant et appartenant à sa nation arabo-islamique. Ils sont pour un Etat JUIF dans une Palestine qu'ils occupent et contre un Etat ISLAMIQUE libre dans un Maroc libéré!
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Selon Simon Lévy l'arrivée au Maroc de Nasser, lors de la Conférence africaine de Casablanca en 1961, déclencha une vague de panique parmi les juifs restés au pays, qui s'enferment dans leurs mellahs.

Selon Simon Lévy, Misgueret (organisation clandestine fondée par le Mossad) organisa avec la collaboration personnelle de Hassan II l' attribution des passeports collectifs qui sont distribués directement à l'Agence juive, bateaux de la Comanav, cars de la CTM et avions de la RAM étant réquisitionnés la nuit ou hors des heures de service normal. “Beaucoup sont partis la queue entre les pattes”, averti Simon Lévy.

Cinquante dollars américains par personne au départ est le prix fixé, comme l'expose Agnès Bensimon dans Histoire d'une émigration secrète. 500 000 dollars ont été directement versés à Hassan II à Genève, sous la couverture du HIAS, poursuit Robert Assaraf.

“Hassan baâ Lihoud bzraâ”, dit la rue marocaine en référence à un accord agricole passé avec les Etats-Unis - dirigés aussi par le lobby juif. Hassan II a-t-il vendu “ses” juifs ? Non! En fait Hassan II a vendu la Palestine aux juifs!

Au total, quelque 100 000 juifs sont partis entre 1961 et 1967, dont plus d'un tiers pour la seule année 1963.

A la suite de la Guerre des Six jours en 1967, le reste des juifs au Maroc prit panique en observant la réaction nationaliste fervente du peuples marocain. C'est aussi le temps du réveil du peupla marocain avec le boycottage des médecins, des commerçants et surtout des avocats juifs au Maroc. La lutte de la résistance contre l'occupation juive doit être totale ou pas! Le Maroc est aussi devenu une Palestine occupée... cette fois ci ...par les juifs!

2.Posté par pioto le 23/07/2012 18:21 | Alerter
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Les mystères de la prétendue tolérance des rois du Maroc pervers
Selon l´AFP 19 août 2005 :
La juive israélienne Hedva Selaa, 53 ans, ancienne, soldate de l´armée d´occupation israélienne Tsahal, aujourd'hui réceptionniste dans un hôtel à Eilat, dit être la fille naturelle du "commandeur des croyants" Hassan II et soeur du "nouveau commandeur des croyants" marocains! C'est le "scoop" présenté - le 19 août 2005 - à la Une d'un supplément du quotidien israélien à grand tirage Yedioth Aharonot (voir photo ci- dessus). Sous le titre "le roi et moi", Hedva (Selaa est le nom de son mari) pose avec une photo du roi défunt – un cliché censé souligner leur ressemblance. Intitulé "une princesse marocaine", l'article raconte la romance qu'aurait eue Anita Benzaquen, la mere de Hedva, en 1952, avec le prince héritier Moulay Hassan, alors âgé de 23 ans.

Deux enfants seraient nés des amours illégitimes du prince Hassan (future Hassan II) et de sa maîtresse juive Anita, nièce de Léon Benzaquen, figure de la communauté juive marocaine et futur ministre des PTT du premier gouvernement marocain sous Mohamed V. Si Jacky, l'aîné, refuse toujours de parler à la presse, Hedva, la cadette, a décidé de "tout révéler" 8 ans après le décés de sa mère Anita, en 1997. Une mère que Hedva n'hésite pas à qualifier de femme frivole et multipliant les aventures. "Un test ADN n'est pas envisageable, admet Hedva, et mon frere Jacky a brulé toutes les archives de notre mère apres sa mort".

Son récit s'appuie sur des recoupements familiaux impressionants. Aussi, elle ne demande rien, et notamment pas d'argent. Son unique souhait, dit-elle, est de "rencontrer mon demi-frère, le roi Mohammed VI". Pour tenter de donner suite à cette demande, Yedioth Aharonot a, contacté Badreddine Radi, un fonctionnaire du ministere de la Communication à Rabat. Après "24 heures de réflexion", dit le quotidien israélien, M. Radi a répondu que le Maroc "ne donnera aucune réponse officielle à ce récit".

3.Posté par pioto le 23/07/2012 18:48 | Alerter
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Quelques sites plus que révélateurs sur la tolérance chantée par mnebhi , le lèche-cul de son maître le roi filon !



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