Le Moringa est connu depuis la nuit des temps dans les pharmacopées indiennes et africaines pour les bienfaits de ses racines, ses graines, mais aussi son écorce, ses fleurs, ses fruits et ses feuilles !
Le Moringa que les Sénégalais appellent "Nébédaye" et les Français "Neverdier", de l’anglais "never die" c’est-à-dire "qui ne meurt jamais", est un alicament tout à fait surprenant.
Il est connu depuis la nuit des temps dans les pharmacopées indiennes et africaines pour les bienfaits de ses racines, ses graines, mais aussi son écorce, ses fleurs, ses fruits et ses feuilles.
Quelles sont ses vertus ?
Comment l’utiliser ?
Pour quoi l’employer ?
Originaire du nord de l’Inde et du Sri Lanka, le Moringa oleifera a été progressivement implanté partout où cela était possible, c’est-à-dire dans les zones équatoriales et tropicales.
Cet arbre à la vivacité surprenante qui peut atteindre plus de 10 mètres de haut en s’enracinant solidement sur les sols fertiles comme les plus pauvres, est si résistant à la sécheresse qu’il peut s’adapter aux régions les plus arides.
Et c’est tant mieux, parce que tout en lui est une bénédiction pour la santé :
→ ses fruits verts au goût sucré et épicé que l’on cuisine comme des légumes sont extrêmement nutritifs,
→ ses graines aux multiples vertus, produisent notamment une huile réputée pour être adoucissante et soulager les agressions du soleil ainsi que la sécheresse cutanée,
→ ses fleurs blanches à la saveur de champignon, ont une action tonique,
→ son écorce est traditionnellement mâchée ou ajoutée à la soupe pour soigner la toux,
→ ses racines sont utilisées comme condiment, en infusion ou cataplasme pour lutter contre le paludisme, l’asthme ou les douleurs articulaires,
→ quant à ses feuilles couleur émeraude, dont les usages sont gigantesques, elles ont de fabuleuses propriétés.
Elles présentent d’ailleurs un spectre thérapeutique si vaste que chaque culture les utilisant dans sa pharmacopée traditionnelle, en aura fait un usage différent.
Quelques exemples parmi tant d’autres :
→ remédier aux morsures de serpent,
→ désinfecter les plaies,
→ stimuler l’appétit,
→ réduire les inflammations,
→ ou encore débarrasser des parasites intestinaux…
Le pouvoir purificateur des graines de Moringa
Le Moringa que les Sénégalais appellent "Nébédaye" et les Français "Neverdier", de l’anglais "never die" c’est-à-dire "qui ne meurt jamais", est un alicament tout à fait surprenant.
Il est connu depuis la nuit des temps dans les pharmacopées indiennes et africaines pour les bienfaits de ses racines, ses graines, mais aussi son écorce, ses fleurs, ses fruits et ses feuilles.
Quelles sont ses vertus ?
Comment l’utiliser ?
Pour quoi l’employer ?
Originaire du nord de l’Inde et du Sri Lanka, le Moringa oleifera a été progressivement implanté partout où cela était possible, c’est-à-dire dans les zones équatoriales et tropicales.
Cet arbre à la vivacité surprenante qui peut atteindre plus de 10 mètres de haut en s’enracinant solidement sur les sols fertiles comme les plus pauvres, est si résistant à la sécheresse qu’il peut s’adapter aux régions les plus arides.
Et c’est tant mieux, parce que tout en lui est une bénédiction pour la santé :
→ ses fruits verts au goût sucré et épicé que l’on cuisine comme des légumes sont extrêmement nutritifs,
→ ses graines aux multiples vertus, produisent notamment une huile réputée pour être adoucissante et soulager les agressions du soleil ainsi que la sécheresse cutanée,
→ ses fleurs blanches à la saveur de champignon, ont une action tonique,
→ son écorce est traditionnellement mâchée ou ajoutée à la soupe pour soigner la toux,
→ ses racines sont utilisées comme condiment, en infusion ou cataplasme pour lutter contre le paludisme, l’asthme ou les douleurs articulaires,
→ quant à ses feuilles couleur émeraude, dont les usages sont gigantesques, elles ont de fabuleuses propriétés.
Elles présentent d’ailleurs un spectre thérapeutique si vaste que chaque culture les utilisant dans sa pharmacopée traditionnelle, en aura fait un usage différent.
Quelques exemples parmi tant d’autres :
→ remédier aux morsures de serpent,
→ désinfecter les plaies,
→ stimuler l’appétit,
→ réduire les inflammations,
→ ou encore débarrasser des parasites intestinaux…
Le pouvoir purificateur des graines de Moringa
Quand on sait que 10 % de la population mondiale n’a pas accès à l’eau potable, il semble évident que trouver des méthodes de traitement naturelles, efficaces, accessibles et moins onéreuses, devrait être une priorité planétaire.
Or, il a récemment été découvert au cours d’études menées en Suisse, en Tanzanie, en Namibie et au Botswana, que les graines de Moringa peuvent purifier l’eau grâce à un processus d’une simplicité enfantine.
Actuellement le traitement de l’eau brute est une tâche complexe nécessitant l’utilisation de produits chimiques dans le but de former une agrégation des particules en suspension dans l’eau.
Et en plus de ce processus de coagulation, l’injection d’un floculant, lui aussi chimique, est indispensable pour agglutiner les colloïdes.
Ensuite, l’eau est décantée, filtrée et finalement désinfectée, chimiquement.
Pourtant la comparaison des études portant sur les deux procédés tendrait à prouver que les graines de Moringa sont plus efficaces que les produits chimiques, tout en étant absolument sans danger pour la santé.
Comment cela est-il possible ?
Grâce aux protéines qu’elles contiennent, elles sont en mesure de générer l’agrégat des particules en suspension rapidement et sans aucun ajout chimique.
Voici par exemple deux méthodes très simples pour assainir son eau avec des graines de Moringa :
1 – Écraser 50 grammes de graines de Moringa oleifera pour un litre d’eau douce à traiter, laisser en contact 30 minutes en agitant de temps en temps puis filtrer.
2 – Préparer d’abord une suspension de 2 cuillerées à café de poudre de graines sèches de Moringa dans 1/4 de litre d’eau claire ou bouillie, bien homogénéiser et filtrer. Puis ajouter ce filtrat à 20 litres d’eau à traiter, en remuant pendant une dizaine de minutes et laisser reposer avant de filtrer à nouveau.
Les graines de Moringa pourraient ainsi remplacer les floculants chimiques avec le double avantage de nettoyer l’eau sans l’empoisonner à nouveau.
A cela viennent s’ajouter leurs propriétés antibactériennes, qui élimineront la présence :
→ de staphylocoques,
→ de streptocoques,
→ ou d’autres micro-organismes pathogènes.
Source WEB
Or, il a récemment été découvert au cours d’études menées en Suisse, en Tanzanie, en Namibie et au Botswana, que les graines de Moringa peuvent purifier l’eau grâce à un processus d’une simplicité enfantine.
Actuellement le traitement de l’eau brute est une tâche complexe nécessitant l’utilisation de produits chimiques dans le but de former une agrégation des particules en suspension dans l’eau.
Et en plus de ce processus de coagulation, l’injection d’un floculant, lui aussi chimique, est indispensable pour agglutiner les colloïdes.
Ensuite, l’eau est décantée, filtrée et finalement désinfectée, chimiquement.
Pourtant la comparaison des études portant sur les deux procédés tendrait à prouver que les graines de Moringa sont plus efficaces que les produits chimiques, tout en étant absolument sans danger pour la santé.
Comment cela est-il possible ?
Grâce aux protéines qu’elles contiennent, elles sont en mesure de générer l’agrégat des particules en suspension rapidement et sans aucun ajout chimique.
Voici par exemple deux méthodes très simples pour assainir son eau avec des graines de Moringa :
1 – Écraser 50 grammes de graines de Moringa oleifera pour un litre d’eau douce à traiter, laisser en contact 30 minutes en agitant de temps en temps puis filtrer.
2 – Préparer d’abord une suspension de 2 cuillerées à café de poudre de graines sèches de Moringa dans 1/4 de litre d’eau claire ou bouillie, bien homogénéiser et filtrer. Puis ajouter ce filtrat à 20 litres d’eau à traiter, en remuant pendant une dizaine de minutes et laisser reposer avant de filtrer à nouveau.
Les graines de Moringa pourraient ainsi remplacer les floculants chimiques avec le double avantage de nettoyer l’eau sans l’empoisonner à nouveau.
A cela viennent s’ajouter leurs propriétés antibactériennes, qui élimineront la présence :
→ de staphylocoques,
→ de streptocoques,
→ ou d’autres micro-organismes pathogènes.
Source WEB