C’est par un communiqué publié par l’agence de presse officielle, en fin de matinée, ce dimanche, que le ministère des Affaires étrangères algérien a réagi à l’annonce de l’exécution de Tahar Touati. Les autorités algériennes se disent surprises de cette information car samedi, Alger n’avait pas rompu le contact avec les ravisseurs malgré l’expiration de l’ultimatum. C’est du moins ce que les officiels avaient expliqué aux familles des otages. Le ministère des Affaires étrangères annonce donc que cette information fait l’objet de vérification et qu’une cellule de crise est en place à Alger.
Dans une vidéo diffusée la semaine dernière, l’un des otages, barbe noire et djellaba grise, demandait au gouvernement de tout faire pour permettre sa libération. Le Mujao avait donné 48 heures aux autorités algériennes pour libérer trois de ses membres arrêtés à Ghardaïa à la mi-août.
Tahar Touati fait partie des sept hommes enlevés dans le consulat de Gao dans le nord du Mali au début de la rébellion. Trois de ces otages avaient été relâchés au mois de juillet. Si Tahar Touati a bien été exécuté, trois hommes seraient encore aux mains des ravisseurs.
RFI
Dans une vidéo diffusée la semaine dernière, l’un des otages, barbe noire et djellaba grise, demandait au gouvernement de tout faire pour permettre sa libération. Le Mujao avait donné 48 heures aux autorités algériennes pour libérer trois de ses membres arrêtés à Ghardaïa à la mi-août.
Tahar Touati fait partie des sept hommes enlevés dans le consulat de Gao dans le nord du Mali au début de la rébellion. Trois de ces otages avaient été relâchés au mois de juillet. Si Tahar Touati a bien été exécuté, trois hommes seraient encore aux mains des ravisseurs.
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