L'annonce est à prendre avec prudence. Hier, l'armée nigériane a annoncé sur les réseaux sociaux avoir libéré 200 filles et 93 femmes en s'attaquant à un fief du groupe islamiste Boko Haram. «Les troupes ont pris et détruit, cet après-midi, trois camps de terroristes dans la forêt de Sambisa», un des principaux repaires de Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria, a déclaré le porte-parole de l'armée Chris Olukolade dans un communiqué. «Il n'est pour l'instant pas confirmé que les filles soient celles de Chibok. On vérifie l'identité des personnes libérées», a-t-il ajouté. Un peu plus tard dans la soirée, il a affirmé qu'il ne s'agissiait pas des jeunes filles de Chibok.
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