Les autorités sanitaires affirment que ces doses de vaccins du fabricant AstraZeneca ont été livrées par des donateurs internationaux juste avant leur date d'expiration, ce qui ne leur a pas laissé suffisamment de temps pour les distribuer.
Hésitation vaccinale et retards
Le Nigéria comme nombre de pays africains, a du mal à faire vacciner davantage de personnes et la vaccination reste un sujet qui divise. Jusqu'à présent, seulement 2% de plus de 200 millions d'habitants du Nigéria ont reçu deux doses de vaccins contre la maladie covid-19.
Hésitation vaccinale et retards
Le Nigéria comme nombre de pays africains, a du mal à faire vacciner davantage de personnes et la vaccination reste un sujet qui divise. Jusqu'à présent, seulement 2% de plus de 200 millions d'habitants du Nigéria ont reçu deux doses de vaccins contre la maladie covid-19.
D’autres pays dont le Malawi, le Soudan du Sud, le Liberia, les Comores et la République démocratique du Congo ont déjà détruit des doses de vaccins expirés.
Cela est attribué à une conséquence des retards dans l'expédition des doses de vaccins, en particulier du vaccin AstraZeneca, ce qui ne donne pas assez de temps de les déployer avant l'expiration.
"Dans certains cas nous avions pu utiliser 100% des doses de vaccins à courte durée de validité. Ce n’est pas aussi la première fois que nous recevons les vaccins à courte durée de validité. Nous avions obtenu plus de 2 millions de ces vaccins qui devaient expirer fin novembre 2021. Donc nous avions utilisé plus de 60% de ces vaccins", explique le Dr Faisal Shuaib, chef de l'Agence nationale des soins de santé primaires.
Tester avant distribution
Pour rassurer davantage, les autorités disent qu'elles n'accepteront plus les vaccins dont la date de péremption n’est pas longue.
"Nous travaillons nuit et jour pour assurer que les vaccins soient de qualité. Nous sommes l’une des rare agences en Afrique qui effectue des tests sur les vaccins avant l’utilisation", affirme Mojisola Adeyeye, directrice de l’Agence nationale pour le contrôle de la qualité des produits (NAFDAC).
Le gouvernement tente de convaincre en vain les Nigérians de la qualité et de l’efficacité des vaccins. C'est pourquoi les autorités ont décidé de montrer publiquement la destruction des vaccins.
Cela est attribué à une conséquence des retards dans l'expédition des doses de vaccins, en particulier du vaccin AstraZeneca, ce qui ne donne pas assez de temps de les déployer avant l'expiration.
"Dans certains cas nous avions pu utiliser 100% des doses de vaccins à courte durée de validité. Ce n’est pas aussi la première fois que nous recevons les vaccins à courte durée de validité. Nous avions obtenu plus de 2 millions de ces vaccins qui devaient expirer fin novembre 2021. Donc nous avions utilisé plus de 60% de ces vaccins", explique le Dr Faisal Shuaib, chef de l'Agence nationale des soins de santé primaires.
Tester avant distribution
Pour rassurer davantage, les autorités disent qu'elles n'accepteront plus les vaccins dont la date de péremption n’est pas longue.
"Nous travaillons nuit et jour pour assurer que les vaccins soient de qualité. Nous sommes l’une des rare agences en Afrique qui effectue des tests sur les vaccins avant l’utilisation", affirme Mojisola Adeyeye, directrice de l’Agence nationale pour le contrôle de la qualité des produits (NAFDAC).
Le gouvernement tente de convaincre en vain les Nigérians de la qualité et de l’efficacité des vaccins. C'est pourquoi les autorités ont décidé de montrer publiquement la destruction des vaccins.