C’est ce que rapporte Radio Okapi, qui fait état d’un rapport de l’ONG Heal Africa présenté à la presse le 10 septembre à Kinshasa.
Selon le site, ces chiffres en augmentation seraient dus à l’insécurité qui prévaut dans cette région du pays depuis plusieurs mois.
Dans son rapport (PDF), l'ONG explique le nombre élevé de violeurs civils (52%) par quatre facteurs: la présence d'ex-combattants démobilisés dans la communauté; les coutumes et autres normes sociales, telles que le mariage précoce; l'impunité; et enfin la corruption et l'abus de pouvoir.
Pour sa part, le Commandant de l’unité de la Police Spéciale de la Protection de l’Enfance et de la Femme (PSPEF) a indiqué à Digitalcongo.net que, de 2010 à 2011, 1.120 auteurs de violences sexuelles ont pu être arrêtés et mis en prison dans cette province située à la frontière avec le Rwanda.
Selon le Commandant, dans toutes les juridictions, les plaintes n’aboutissent que très rarement, dans la mesure où les exactions sont généralement commises loin de tout témoin potentiel.
Lu sur Radio Okapi, Digitalcongo.net
Selon le site, ces chiffres en augmentation seraient dus à l’insécurité qui prévaut dans cette région du pays depuis plusieurs mois.
Dans son rapport (PDF), l'ONG explique le nombre élevé de violeurs civils (52%) par quatre facteurs: la présence d'ex-combattants démobilisés dans la communauté; les coutumes et autres normes sociales, telles que le mariage précoce; l'impunité; et enfin la corruption et l'abus de pouvoir.
Pour sa part, le Commandant de l’unité de la Police Spéciale de la Protection de l’Enfance et de la Femme (PSPEF) a indiqué à Digitalcongo.net que, de 2010 à 2011, 1.120 auteurs de violences sexuelles ont pu être arrêtés et mis en prison dans cette province située à la frontière avec le Rwanda.
Selon le Commandant, dans toutes les juridictions, les plaintes n’aboutissent que très rarement, dans la mesure où les exactions sont généralement commises loin de tout témoin potentiel.
Lu sur Radio Okapi, Digitalcongo.net