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Le Parti justice et développement appelle l’Etat à se pencher sur ses priorités

Dans une déclaration parvenue à leral, le Parti justice et développement (Pjd) a listé un certain nombre de points sur lesquels il souhaiterait que le gouvernement se penche. Le secrétaire général dudit parti, Cheikh Ibrahima Diallo, après avoir appelé à l’apaisement pour l’intérêt du Sénégal, a également déploré le mutisme des autorités sur la question de l’homosexualité. Il a, par ailleurs, proposé la voie référendaire pour la réduction du mandat présidentiel.


Rédigé par leral.net le Lundi 8 Avril 2013 à 15:48 | | 0 commentaire(s)|

Le Parti justice et développement appelle l’Etat à se pencher sur ses priorités
D’après son Secrétaire général, « le parti se désolidarise de tout acte visant à saboter le mandat présidentiel ». Il a appelé à ce que « les leaders politiques apaisent pour le bon devenir du Sénégal et la réussite du mandat présidentiel ; élu démocratiquement ». Pour lui, « La réussite de la mission gouvernementale dépend de la solution apportées aux attentes des populations et, le mieux pour tout citoyen et leader de parti est d’être animé par la ferme volonté d’œuvrer pour le peuple et prêt à se positionner en leader dès l’instant qu’il s’agira de sanctionner au terme du mandat présidentiel ».

M. Diallo, s’exprimant au nom de son parti, « n’a pas apprécié la surdité des autorités étatique sur cette question de l’homosexualité qui est agitée dans l’actualité. Le Parti pense que cette question doit être abordée intelligemment car l’homosexualité est un état pathologique qui a toujours cheminé avec l’humanité. Ceux qui en souffrent ont besoin d’assistance mais ne doivent être exclus de la société ». Le Pjd et son Secrétaire général, n'en soutiennent pas moins, « qu’il est inadmissible voire impensable et même suicidaire de chercher à légaliser tout ce qui est contre nature ».

Auparavant, le Pjd a déclaré qu’« un référendum doit être organisé pour permettre au peuple sénégalais d’exprimer librement son choix quant à la promesse électorale du Président de réduire son mandat à 5 ans ». Cheikh Ibrahima Diallo pense que « la durée retenue à l’issue de ce scrutin doit être verrouillée définitivement car la Constitution est sacrée ».