Par des manœuvres de diversion, il s’est fait faire un chiffon indigeste communément désigné Yonou Yokouté et qui dans les faits n’étaient que du vent frais de l’harmattan. Bien évidemment, il a réussi à envoûter les sénégalais en abusant délibérément de leur crédulité. En s’affichant comme un homme de rupture aux mains propres, il a su exploiter les tares d’une gouvernance, dont il fut, en grande partie, partie prenante et responsable. Il faut le prendre pour dit, cet adepte de la courte échelle se plait plus dans un rôle de locomotive car il n’a pas la capacité d’élaborer un modèle de développement économique pour nous sortir de cette passe difficile, à laquelle nous a enlisés ce pouvoir aux abois.
Cette traque érigée en méthode de gouvernance ne peut être qu’une mesure dilatoire puisqu’elle n’offre pas du pain quotidien aux jeunes chômeurs qui font, au jour le jour, face à un lendemain plus qu’incertain. L’heure n’est donc plus aux jactances ni aux tripotages compensatoires, qui de toute façon sont voués à l’échec. Au lieu de s’épuiser à pérenniser le mal être des sénégalais, ce régime sans devenir dans son ensemble ferait mieux d’estomper cette stérile navigation à vue pour enfin mettre en place un programme socio-économique à visage humain.
C’est le lieu de rappeler que ce prétentieux, qui n’a rien de ce qu’il donne l’air, avait avant son accession aux commandes de l’Etat, pour principal socle la sobriété et la vertuosité. Il est cependant clair que nous ne saurions souscrire ces vulgaires tricheurs sans scrupules qui, pour escroquer les bailleurs de fonds établis au club de Paris, ont honteusement pillé l’essentiel des travaux conçus par le président Wade.
Cette tentative funeste de vouloir s’accaparer de la paternité de l’étude prospective Sénégal 2035 en l’utilisant comme une plateforme pour faire du lobbying auprès des investisseurs nous courbent la tête de honte. A ce titre, il n’est point un secret d’attester que le contenu du plan Sénégal émergent pour lequel le gouvernement Sénégalais a déboursé de 2,5 milliards de FCFA est un insolent plagiat.
Monsieur Macky Sall, qui ne cesse de faire preuve d'amateurisme dans la gestion des affaires de la cité, devrait avoir au moins, les 24-25 février 2013, devant les privés internationaux et nationaux, la décence, la probité morale et l’honnêteté intellectuelle d’expliquer la genèse de ce plan piraté jusqu’à la moelle épinière. En tous les cas, nous l’exigeons puisqu’il sera difficile pour des investisseurs de jeter leur dévolu sur un dol toxique, parodié et surfacturé à l’ordre de 2,5 milliards de FCFA.
Ces actes perfides mettent en exergue plus que la mauvaise foie notoire, l’incompétence généralisée d’un régime sans vergogne en carence cruelle d’inspiration. La bonne gouvernance, dont vous avez souvent recours dans vos logorrhées pompeuses, est aux antipodes de ces procédés qui écornent l’image du Sénégal à l’international. Nous refuserons, quel qu’en soit le prix, que le peuple Sénégalais soit l’otage de ces errements gouvernementaux.
Nous constatons encore une fois, que plus le temps s’effrite, plus ce pouvoir imbibé dans tant de bassesses, s’approprie maladroitement les fruits d’une conception stratégique du président Wade. En piratant cette feuille de route du président Wade, qui avait résolument engagé le Sénégal dans la voix de l’émergence, ces marchands d’illusions ne font que précipiter la courbe de leur chute.
Le peuple sénégalais doit, par ce fait, se rendre à l’évidence que ce régime aux abois ne dispose point de personnes ressources pour pourvoir leurs pressantes attentes. Leurs priorités se résument à des manipulations juridiques insidieuses. En saurait il être autrement vu leurs impérities cathédrales ? That’s the question.
Samuel A. Sarr
Ancien Ministre d'Etat
Président de l'Institut Libéral
Wadiste éternel
Almadies, Dakar
Cette traque érigée en méthode de gouvernance ne peut être qu’une mesure dilatoire puisqu’elle n’offre pas du pain quotidien aux jeunes chômeurs qui font, au jour le jour, face à un lendemain plus qu’incertain. L’heure n’est donc plus aux jactances ni aux tripotages compensatoires, qui de toute façon sont voués à l’échec. Au lieu de s’épuiser à pérenniser le mal être des sénégalais, ce régime sans devenir dans son ensemble ferait mieux d’estomper cette stérile navigation à vue pour enfin mettre en place un programme socio-économique à visage humain.
C’est le lieu de rappeler que ce prétentieux, qui n’a rien de ce qu’il donne l’air, avait avant son accession aux commandes de l’Etat, pour principal socle la sobriété et la vertuosité. Il est cependant clair que nous ne saurions souscrire ces vulgaires tricheurs sans scrupules qui, pour escroquer les bailleurs de fonds établis au club de Paris, ont honteusement pillé l’essentiel des travaux conçus par le président Wade.
Cette tentative funeste de vouloir s’accaparer de la paternité de l’étude prospective Sénégal 2035 en l’utilisant comme une plateforme pour faire du lobbying auprès des investisseurs nous courbent la tête de honte. A ce titre, il n’est point un secret d’attester que le contenu du plan Sénégal émergent pour lequel le gouvernement Sénégalais a déboursé de 2,5 milliards de FCFA est un insolent plagiat.
Monsieur Macky Sall, qui ne cesse de faire preuve d'amateurisme dans la gestion des affaires de la cité, devrait avoir au moins, les 24-25 février 2013, devant les privés internationaux et nationaux, la décence, la probité morale et l’honnêteté intellectuelle d’expliquer la genèse de ce plan piraté jusqu’à la moelle épinière. En tous les cas, nous l’exigeons puisqu’il sera difficile pour des investisseurs de jeter leur dévolu sur un dol toxique, parodié et surfacturé à l’ordre de 2,5 milliards de FCFA.
Ces actes perfides mettent en exergue plus que la mauvaise foie notoire, l’incompétence généralisée d’un régime sans vergogne en carence cruelle d’inspiration. La bonne gouvernance, dont vous avez souvent recours dans vos logorrhées pompeuses, est aux antipodes de ces procédés qui écornent l’image du Sénégal à l’international. Nous refuserons, quel qu’en soit le prix, que le peuple Sénégalais soit l’otage de ces errements gouvernementaux.
Nous constatons encore une fois, que plus le temps s’effrite, plus ce pouvoir imbibé dans tant de bassesses, s’approprie maladroitement les fruits d’une conception stratégique du président Wade. En piratant cette feuille de route du président Wade, qui avait résolument engagé le Sénégal dans la voix de l’émergence, ces marchands d’illusions ne font que précipiter la courbe de leur chute.
Le peuple sénégalais doit, par ce fait, se rendre à l’évidence que ce régime aux abois ne dispose point de personnes ressources pour pourvoir leurs pressantes attentes. Leurs priorités se résument à des manipulations juridiques insidieuses. En saurait il être autrement vu leurs impérities cathédrales ? That’s the question.
Samuel A. Sarr
Ancien Ministre d'Etat
Président de l'Institut Libéral
Wadiste éternel
Almadies, Dakar