Selon M. Dione « depuis 1998, par concours national, le PAD a recruté 10 bacheliers qu’il a pris totalement en charge pour leur formation en vu de l’obtention du brevet de Capitaine au Long Cours avant leur intégration à la Station de Pilotage »
Il a aussi souligné que, le PAD a eu à résoudre un certain nombre de problèmes. Dans la phase de conception du projet, les pilotes se sont adressés à la hiérarchie pour leur faire comprendre que si rien n’est fait pour leur relève, il arrivera un moment où le port ne pourra plus assurer le pilotage des navires. C’est ainsi qu’elle a adhéré au projet et a pris les dispositions pour sa réalisation.
Dans la phase de formation, M. Dione soutient qu’il y a eu quatre étapes . D’abord l’embarquement comme pilotin avec l’assistance de compagnies privées et publiques françaises et marocaines. Ensuite, il y a eu leur embarquement comme élèves officiers avec la sollicitation par le PAD de grands armements étrangers.
La troisième étape a trait à la passation au rang d’officier. « Des armements français battant pavillon de complaisance et un armement marocain ont pu aider à embarquer ces élèves en qualité d’officier et ce jusqu’à nos jours. »
La dernière phase est celle de l’intégration. Le commandant Dione a soutenu que « présentement, nous sommes à la phase de planification de leur intégration à la Station de Pilotage. Cette intégration doit tenir compte des départs à la retraite des pilotes actuellement en activité.
Pour ce faire, le Directeur général du port de Dakar a créé un comité chargé d’étudier la question et lui faire des propositions. » Cette intégration nécessitera également des propositions de modification du Règlement Organique de la Station de Pilotage mais également la modernisation du processus de formation des pilotes.
MS/dmg/APA
Il a aussi souligné que, le PAD a eu à résoudre un certain nombre de problèmes. Dans la phase de conception du projet, les pilotes se sont adressés à la hiérarchie pour leur faire comprendre que si rien n’est fait pour leur relève, il arrivera un moment où le port ne pourra plus assurer le pilotage des navires. C’est ainsi qu’elle a adhéré au projet et a pris les dispositions pour sa réalisation.
Dans la phase de formation, M. Dione soutient qu’il y a eu quatre étapes . D’abord l’embarquement comme pilotin avec l’assistance de compagnies privées et publiques françaises et marocaines. Ensuite, il y a eu leur embarquement comme élèves officiers avec la sollicitation par le PAD de grands armements étrangers.
La troisième étape a trait à la passation au rang d’officier. « Des armements français battant pavillon de complaisance et un armement marocain ont pu aider à embarquer ces élèves en qualité d’officier et ce jusqu’à nos jours. »
La dernière phase est celle de l’intégration. Le commandant Dione a soutenu que « présentement, nous sommes à la phase de planification de leur intégration à la Station de Pilotage. Cette intégration doit tenir compte des départs à la retraite des pilotes actuellement en activité.
Pour ce faire, le Directeur général du port de Dakar a créé un comité chargé d’étudier la question et lui faire des propositions. » Cette intégration nécessitera également des propositions de modification du Règlement Organique de la Station de Pilotage mais également la modernisation du processus de formation des pilotes.
MS/dmg/APA