"Nous avons décidé de porter plainte contre El Hadj Ndiaye, car nous pensons qu'il a tout faux et que dans ce pays, les gens doivent opter pour que les choses changent", afin que les responsables d’entreprise ne continuent pas à "prendre leur employés pour des moins que rien", a-t-il dit lors d'une conférence de presse animée par le bureau exécutif national du SYMPICS, dans ses locaux du syndicat.
Selon Ibrahima Khaliloulah Ndiaye, le DG de la 2STV a été trahi par ses déclarations antérieures, car "on ne peut pas se lever un beau matin et licencier des personnes". "Nous sommes dans un pays de droit et la justice l'a démontré avec la condamnation de Sitor Ndour", l’ancien directeur du centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD).
M. Ndour a été condamné jeudi à 6 mois de prison par le tribunal de Fatick pour coups et blessures sur un journaliste.
"Si Elhadj Ndiaye est tenté par des licenciements, il doit suivre la procédure édictée par la loi. Il ne peut pas se lever et dire que les gens ont commis des fautes graves et les jeter à la porte", a déclaré le secrétaire général du SYNPICS.
Intervenant au cours de cette rencontre du BEN du SYNPICS avec la presse, Mody Guèye, un journaliste faisant partie des agents licenciés par le patron de la 2STV, a rappelé que quatre techniciens ont été licenciés au mois de décembre pour abandon de poste, pour être sorti acheter du café.
"En tant que journaliste-reporter, nous n'avons pas de poste, nous avons (seulement) des tâches", a dit M. Guèye, selon qui les déclarations de El Hadj Ndiaye relativement à cette affaire sont "fausses".
"Le journaliste n'est pas (assimilable à un) ouvrier, il n'est pas astreint à être à la rédaction de presse entre quatre murs", a soutenu le SG du SYNPICS, avant de réitérer son soutien à l’endroit des employés de la 2STV
Selon Ibrahima Khaliloulah Ndiaye, le DG de la 2STV a été trahi par ses déclarations antérieures, car "on ne peut pas se lever un beau matin et licencier des personnes". "Nous sommes dans un pays de droit et la justice l'a démontré avec la condamnation de Sitor Ndour", l’ancien directeur du centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD).
M. Ndour a été condamné jeudi à 6 mois de prison par le tribunal de Fatick pour coups et blessures sur un journaliste.
"Si Elhadj Ndiaye est tenté par des licenciements, il doit suivre la procédure édictée par la loi. Il ne peut pas se lever et dire que les gens ont commis des fautes graves et les jeter à la porte", a déclaré le secrétaire général du SYNPICS.
Intervenant au cours de cette rencontre du BEN du SYNPICS avec la presse, Mody Guèye, un journaliste faisant partie des agents licenciés par le patron de la 2STV, a rappelé que quatre techniciens ont été licenciés au mois de décembre pour abandon de poste, pour être sorti acheter du café.
"En tant que journaliste-reporter, nous n'avons pas de poste, nous avons (seulement) des tâches", a dit M. Guèye, selon qui les déclarations de El Hadj Ndiaye relativement à cette affaire sont "fausses".
"Le journaliste n'est pas (assimilable à un) ouvrier, il n'est pas astreint à être à la rédaction de presse entre quatre murs", a soutenu le SG du SYNPICS, avant de réitérer son soutien à l’endroit des employés de la 2STV