Mamadou Bâ, le secrétaire général de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Ujtl) de Tambacounda, a été entendu, ce mercredi par la police. Il s’est expliqué sur son implication dans les incidents de mardi devant la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda. Mais aussi sur les informations selon lesquelles des nervis ont été recrutés pour les prêter main forte, moyennant 5 000 FCFA par personne pour barrer la route à Barthélémy Dias et ses camarades venus rendre visite à leur camarade Malick Noël Seck.
Barthélémy Dias a dû user son arme de calibre 9 mm, lorsque des jeunes de l’Union des jeunesses travaillistes libérales sont venus lui interdire l’accès à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda où est incarcéré Malick Noël Seck.
Avant cela, le patron des jeunesses socialiste était venu trouver Mamadou Bâ, qui menait le groupe, pour échanger quelques mots avec lui. Mais les jeunes de l’Ujtl ne l’avaient même pas écouté, obligeant un accompagnant de Barthelemy Dias à s’en mêler. Des échauffourées s’en étaient suivies et Barthelemy Dias avait ainsi dégainé son pistolet pour tirer deux coups de feu en l’air.
Les gardes pénitentiaires étaient ainsi sortis pour se placer à l’entrée de la prison. Quelques minutes plus tard, la police était intervenue pour tirer des grenades lacrymogènes et disperser les jeunes libéraux.
nettali.net
Barthélémy Dias a dû user son arme de calibre 9 mm, lorsque des jeunes de l’Union des jeunesses travaillistes libérales sont venus lui interdire l’accès à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda où est incarcéré Malick Noël Seck.
Avant cela, le patron des jeunesses socialiste était venu trouver Mamadou Bâ, qui menait le groupe, pour échanger quelques mots avec lui. Mais les jeunes de l’Ujtl ne l’avaient même pas écouté, obligeant un accompagnant de Barthelemy Dias à s’en mêler. Des échauffourées s’en étaient suivies et Barthelemy Dias avait ainsi dégainé son pistolet pour tirer deux coups de feu en l’air.
Les gardes pénitentiaires étaient ainsi sortis pour se placer à l’entrée de la prison. Quelques minutes plus tard, la police était intervenue pour tirer des grenades lacrymogènes et disperser les jeunes libéraux.
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