Un ancien administrateur civil atypique, controversé, né vers les années1938 ; très futé, comme d’ailleurs, tous les bandits de son espèce, l’escroc notoire, Béthio Thioune, passé maître de l’escroquerie, pour se créer une posture, l’homme s’infiltre à Touba, fondé par le vénéré cheikh Ahmadou bamba Mbacké, se convertit au mouridisme et prêta allégeance à son fils, Serigne Saliou Mbacké, son guide spirituel, dans l’optique d’assurer une fulgurante promotion sociale et imprimer sa propre marque d’impunité. Pour rappel, sachant que le nom « béthio », qui veut dire petit pagne, ne peut être prononcé dans le milieu, , il s’autoproclame lui-même serviteur et ajoute à son nom « cheikh » qu’il usurpe pour se remplir les poches et avoir une notoriété.
Pendant les élections de 2012, arrosé de mallettes, il soutient WADE, son candidat. Sur une population de 13-14 millions, il déclarait 7 millions de disciples. Un délire. Béthio : "Si Wade ne gagne pas l’élection, qu’on ne me fasse plus acte d’allégeance !"
« Le bon criminel», qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu politique, n’est pas un citoyen ordinaire, lit-on dans la presse en boucle.
Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le détenu sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.
Quoiqu’on puisse dire, Béthio Thioune et ses complices sont placés en mandat de dépôt depuis avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable. C’est un justiciable comme un autre.
PS : dans ma contribution sur leral.net « Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? », disponible sur internet que je reproduis en fac-similé pour la circonstance, vous pouvez comprendre aisément pourquoi ? Le délinquant est transféré à rebeuss pour des raisons de sécurité. La 6e épouse de Béthio s’est déguisée en infirmière pour voir son mari.
« Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? »
« Le détenu le plus célèbre de la Mac de Thiés ! Un scandale coupable, satanique ! Légitime défense contre Satan !
La 6e épouse de Béthio se déguise en infirmière pour voir son mari. Sommes-nous dans une république des talibés ? Décidément, y a pas photo, le vrai pouvoir n’est pas celui que l’on croit, mais celui des talibés.
Il y a donc deux types de criminels dans un pays à deux têtes :
Il y a la République virtuelle et la République réelle.
Commençons par le « bon criminel » !
Le « bon criminel », d’abord, c’est celui qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu privilégié de premier plan que lui confère son rang. Puisqu’il n’est pas dans le même registre que les autres, il est cajolé et béni telle une star comblée pour « son honneur ». Sans contrôle, on lui déroule le tapis rouge à la hauteur de son invincibilité. Il est parfaitement en osmose avec ses convictions sataniques, et à l’aise comme s’il était chez lui, et reçoit librement Une par Une ses femmes à la pelle comme par miracle. Peu importe qu’il ne sache ni lire, ni réciter le moindre verset coranique, ni faire le jeûne, encore moins de faire la prière, puisqu’il en est exonéré sur mesure.
Il est bien élevé, est assuré d’une garantie divine pour entrer directement au paradis, en tant que bienfaiteur. Sur terre, dans sa cellule dorée, il est constamment félicité et dispose de clims, disponibles à tout moment, qui tournent en plein régime et bénéficie notamment de toutes les générosités par sa magie : « ndéwéneul » [dons divers à gogo] et de « déwénati » [qu’il vive le plus longtemps possible ! ]
Enfin le monstre !
Le second, ou plutôt le monstre, est celui, qui n’a droit qu’à l’isolement total de jour comme de nuit. C’est peut être la preuve la plus palpable d’un état de droit d’une république réelle des talibés ! ».
Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Pour les avocats de Bethio Thioune : « une volonté de lui attribuer le statut de détenu politique » pour gommer d’un revers de main sa forfaiture.
Le Sénégal à l’épreuve de la justice : Béthio Thioune, du statut d’un faussaire à celui d’un martyr.
L’affaire Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Cela voudrait qu’on tienne orbi, urbi à lui attribuer le statut de détenu politique pour le faire sortir d’affaire – un culot tout de même grotesque. Il ne fait l’ombre d’aucun doute que ses avocats tentent de couvrir le brigand, quitte même à emprunter toutes les stupidités. Y a-t-il donc « des bons et des mauvais criminels » ?
Affaire Béthio Thioune : un acteur de premier plan, maître enchanteur, détrousseur de toute l’histoire du terrorisme religieux du Sénégal, excellant dans l’art du grand banditisme à grande échelle, représenté par son seigneur Béthio Thioune, l’escroc notoirement ennemi public n°1, considéré comme étant le principal commanditaire direct du double meurtre au village qu’il baptise pompeusement sous le nom de « Médinatoul SaLam» avec la complicité d’une bande de malfrats écervelés. De quelque motif que ce soit, la libération incroyable du meurtrier, escroc, le plus effroyable, donnerait la preuve irréfutable qu’il y a lieu de séparer « le mauvais contre le bon criminel ». Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le coupable sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.
L’affaire Béthio Thioune relève d’une entreprise éloquemment terroriste et non celle d’un simple problème politique pour déculpabiliser le principal commanditaire direct du double meurtre au village de keur Samba Laobé, à la seule fin de lui accorder des circonstances atténuantes, immorales par la ruse. Un raccourci inacceptable pour exonérer un voyou pris la main dans le sac.
Assimiler le délinquant notoire, mis hors d’état de nuire et vouloir faire de lui un détenu politique, c’est assurer non seulement la promotion de l’impunité, mais c’est aussi souiller la mémoire des victimes et de leurs familles. Si d’aventure, demain, compte tenu des conclusions établies par les lourdes charges corroborées par des preuves matérielles à l’encontre de Béthio Thioune, Abdoulaye Diouf, Serigne Khadim Seck, Mamadou Hanne, Alassane Ndiaye, Samba Ngom, Mame Balla Diouf, Demba Kébé, Mamadou Guèye, Aziz Mbacké Ndour, Pape Ndiaye, Moussa Dièye, Aliou Diallo, Al Demba Diallo, Momar Talla Diop, Samba Fall, Mouhamed Sène, Adama Sow, Cheikh Faye, Aly Diouf et Serigne Saliou Barro ; lesquels ont été confiés au juge d’instruction du premier cabinet de Thiès, Abdoulaye Assane Thioune, qui les a inculpés depuis le 26 avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable, dans l’hypothèse où la justice se compromettra, commettrait donc l’impensable imprudence de l’irréparable, à violer délibérément de facto les droits des victimes pour libérer le chef suprême de la secte satanique, ce serait assurément le sacrilège le plus grave et le plus incongru de toute l’histoire judiciaire de ce pays, après celui de l’assassinat de Me Sèye, aux calendes. Ce serait un parjure. Un postulat totalement exclu.
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire
A suivre……..
Pendant les élections de 2012, arrosé de mallettes, il soutient WADE, son candidat. Sur une population de 13-14 millions, il déclarait 7 millions de disciples. Un délire. Béthio : "Si Wade ne gagne pas l’élection, qu’on ne me fasse plus acte d’allégeance !"
« Le bon criminel», qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu politique, n’est pas un citoyen ordinaire, lit-on dans la presse en boucle.
Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le détenu sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.
Quoiqu’on puisse dire, Béthio Thioune et ses complices sont placés en mandat de dépôt depuis avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable. C’est un justiciable comme un autre.
PS : dans ma contribution sur leral.net « Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? », disponible sur internet que je reproduis en fac-similé pour la circonstance, vous pouvez comprendre aisément pourquoi ? Le délinquant est transféré à rebeuss pour des raisons de sécurité. La 6e épouse de Béthio s’est déguisée en infirmière pour voir son mari.
« Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? »
« Le détenu le plus célèbre de la Mac de Thiés ! Un scandale coupable, satanique ! Légitime défense contre Satan !
La 6e épouse de Béthio se déguise en infirmière pour voir son mari. Sommes-nous dans une république des talibés ? Décidément, y a pas photo, le vrai pouvoir n’est pas celui que l’on croit, mais celui des talibés.
Il y a donc deux types de criminels dans un pays à deux têtes :
Il y a la République virtuelle et la République réelle.
Commençons par le « bon criminel » !
Le « bon criminel », d’abord, c’est celui qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu privilégié de premier plan que lui confère son rang. Puisqu’il n’est pas dans le même registre que les autres, il est cajolé et béni telle une star comblée pour « son honneur ». Sans contrôle, on lui déroule le tapis rouge à la hauteur de son invincibilité. Il est parfaitement en osmose avec ses convictions sataniques, et à l’aise comme s’il était chez lui, et reçoit librement Une par Une ses femmes à la pelle comme par miracle. Peu importe qu’il ne sache ni lire, ni réciter le moindre verset coranique, ni faire le jeûne, encore moins de faire la prière, puisqu’il en est exonéré sur mesure.
Il est bien élevé, est assuré d’une garantie divine pour entrer directement au paradis, en tant que bienfaiteur. Sur terre, dans sa cellule dorée, il est constamment félicité et dispose de clims, disponibles à tout moment, qui tournent en plein régime et bénéficie notamment de toutes les générosités par sa magie : « ndéwéneul » [dons divers à gogo] et de « déwénati » [qu’il vive le plus longtemps possible ! ]
Enfin le monstre !
Le second, ou plutôt le monstre, est celui, qui n’a droit qu’à l’isolement total de jour comme de nuit. C’est peut être la preuve la plus palpable d’un état de droit d’une république réelle des talibés ! ».
Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Pour les avocats de Bethio Thioune : « une volonté de lui attribuer le statut de détenu politique » pour gommer d’un revers de main sa forfaiture.
Le Sénégal à l’épreuve de la justice : Béthio Thioune, du statut d’un faussaire à celui d’un martyr.
L’affaire Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Cela voudrait qu’on tienne orbi, urbi à lui attribuer le statut de détenu politique pour le faire sortir d’affaire – un culot tout de même grotesque. Il ne fait l’ombre d’aucun doute que ses avocats tentent de couvrir le brigand, quitte même à emprunter toutes les stupidités. Y a-t-il donc « des bons et des mauvais criminels » ?
Affaire Béthio Thioune : un acteur de premier plan, maître enchanteur, détrousseur de toute l’histoire du terrorisme religieux du Sénégal, excellant dans l’art du grand banditisme à grande échelle, représenté par son seigneur Béthio Thioune, l’escroc notoirement ennemi public n°1, considéré comme étant le principal commanditaire direct du double meurtre au village qu’il baptise pompeusement sous le nom de « Médinatoul SaLam» avec la complicité d’une bande de malfrats écervelés. De quelque motif que ce soit, la libération incroyable du meurtrier, escroc, le plus effroyable, donnerait la preuve irréfutable qu’il y a lieu de séparer « le mauvais contre le bon criminel ». Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le coupable sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.
L’affaire Béthio Thioune relève d’une entreprise éloquemment terroriste et non celle d’un simple problème politique pour déculpabiliser le principal commanditaire direct du double meurtre au village de keur Samba Laobé, à la seule fin de lui accorder des circonstances atténuantes, immorales par la ruse. Un raccourci inacceptable pour exonérer un voyou pris la main dans le sac.
Assimiler le délinquant notoire, mis hors d’état de nuire et vouloir faire de lui un détenu politique, c’est assurer non seulement la promotion de l’impunité, mais c’est aussi souiller la mémoire des victimes et de leurs familles. Si d’aventure, demain, compte tenu des conclusions établies par les lourdes charges corroborées par des preuves matérielles à l’encontre de Béthio Thioune, Abdoulaye Diouf, Serigne Khadim Seck, Mamadou Hanne, Alassane Ndiaye, Samba Ngom, Mame Balla Diouf, Demba Kébé, Mamadou Guèye, Aziz Mbacké Ndour, Pape Ndiaye, Moussa Dièye, Aliou Diallo, Al Demba Diallo, Momar Talla Diop, Samba Fall, Mouhamed Sène, Adama Sow, Cheikh Faye, Aly Diouf et Serigne Saliou Barro ; lesquels ont été confiés au juge d’instruction du premier cabinet de Thiès, Abdoulaye Assane Thioune, qui les a inculpés depuis le 26 avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable, dans l’hypothèse où la justice se compromettra, commettrait donc l’impensable imprudence de l’irréparable, à violer délibérément de facto les droits des victimes pour libérer le chef suprême de la secte satanique, ce serait assurément le sacrilège le plus grave et le plus incongru de toute l’histoire judiciaire de ce pays, après celui de l’assassinat de Me Sèye, aux calendes. Ce serait un parjure. Un postulat totalement exclu.
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire
A suivre……..