Selon le ministre Samuel Sarr, la capacité de production a connu, aujourd’hui, une augmentation de 65%. «En 2012, nous serons à 127% de capacité supplémentaire avec l’arrivée du charbon en 2011 et 2012», souligne le ministre qui les ajoute aux différents projets comme les 300 mégawatts à Ranérou de solaire et les 300 autres mégawatts dans le nord que vient de signer le ministre d’Etat Karim Wade. Ce qui le convainc qu’à partir de 2012, le Sénégal va exporter l’électricité. Parce que, explique-t-il «c’est ce qui est, aujourd’hui, dans notre plan de production avec la SENELEC».
Par ailleurs, le ministre a révélé que l’étape structurelle est derrière nous. «Aujourd’hui, nous pouvons considérer que nous dépassé le seuil critique du déficit structurel», a fait savoir l’invité du jour du Conseil économique et social. Car tout l’investissement que les autorités viennent de mettre en œuvre a pu augmenter la capacité de 286 mégawatts supplémentaires. «Ce qui nous a sortis, en tout cas, du seuil du déficit structurel», confie-t-il.
Pour lui, les problèmes sont plutôt conjoncturels mais ils sont en train d’être solutionnés. «Nous sommes en train de remplacer les vieilles machines qui tombent en panne», a souligné l’ancien ministre des Biocarburants. C’est fort de ces arguments qu’il a déclaré « qu’à l’horizon 2012, nous allons atteindre un certain niveau nous permettant, même si la machine la plus grande, qui est de 125 mégawatts était à l’arrêt, d'avoir 125 autres mégawatts pour les remplacer».
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
Par ailleurs, le ministre a révélé que l’étape structurelle est derrière nous. «Aujourd’hui, nous pouvons considérer que nous dépassé le seuil critique du déficit structurel», a fait savoir l’invité du jour du Conseil économique et social. Car tout l’investissement que les autorités viennent de mettre en œuvre a pu augmenter la capacité de 286 mégawatts supplémentaires. «Ce qui nous a sortis, en tout cas, du seuil du déficit structurel», confie-t-il.
Pour lui, les problèmes sont plutôt conjoncturels mais ils sont en train d’être solutionnés. «Nous sommes en train de remplacer les vieilles machines qui tombent en panne», a souligné l’ancien ministre des Biocarburants. C’est fort de ces arguments qu’il a déclaré « qu’à l’horizon 2012, nous allons atteindre un certain niveau nous permettant, même si la machine la plus grande, qui est de 125 mégawatts était à l’arrêt, d'avoir 125 autres mégawatts pour les remplacer».
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