Depuis quelques années, il y a des délestages interminables. Volatile est la situation, sans direction énergétique. Dans tous les sens du terme le pays tourne en rond. Beaucoup de régions n’arrivent pas à avoir l’électricité en quantité suffisante pendant les périodes de pointe, notamment la région de Dakar, Thiès, Saint-Louis et celles éloignées des centres de productions. Le pays fait face depuis trois ans à une grave crise énergétique. En 2011 et 2012, elle s'est aggravée et créée une polémique dans le pays.
L’actuel ministre de l’énergie, le ministre Aly Ngouille Ndiayeavait annoncé des mesures d'urgence et un plan pour doubler la capacité énergétique du pays afin de mettre le pays à l’abri des délestages. Toutes ces promesses faites par le ministre ont été vaines. Cette crise est due, il faut le souligner, au brusque relèvement du prix des produits pétroliers. Lorsque les pays producteurs de pétrole décident de réduire leur production et de doubler leur prix. La conséquence fut la brusque augmentation du coût de la vie. En effet, la mondialisation de l’économie est- elle l’état économique d’un pays ralentit forcément sur celui des autres pays avec lesquels il entretient des échanges. Que ce soit par les équilibres monétaires, par les flux des échanges commerciaux. Une crise s’exporte vraiment très rapidement. Nul doute que la consommation d’électricité est si importante qu’elle est devenue la servante de toutes les industries. Malgré cela, des progrès de grande envergure ainsi que des investissements de capacités de renouvellement et de production ont été réalisés sous le régime de Me Abdoulaye Wade. Par exemple en 2000 notre société nationale d’électricité qui était un des fleurons de notre économie est revenue dans le portefeuille de l’Etat du Sénégal.
En 2004 une nouvelle tranche Diesel de 15 MW a été inaugurée au cap des biches. Des défis on ne peut plus grands dans une conjoncture internationale bouleversée par la montée vertigineuse du baril de pétrole. Malgré toutes ces obstacles, ce distingue Président a pu tenir le pari d’améliorer et de booster le pays vers l’émergence.
Osons le dire franchement, aucun pays n’est aujourd’hui autonome sur le plan énergétique, qu’il s’agisse de la maitrise des sources d’énergies ou des techniques de production et de transformation, le marché de l’énergie reflète l’équilibre stratégique et économique international.
Ainsi il est fort possible à mon sens de tirer avantage localement de certaines sources d’énergie qui restent marginal au niveau national. La chaleur libérée par l’incinération des déchets ménagers peut par exemple être récupérée au profit du chauffage urbain ou des industries locales. L’optimisation de la consommation est un enjeu essentiel sur laquelle des interventions sont possibles à l’échelon local.
Cheikh Abdoul DIA
Expert en développement Local
Responsable Politique APR à Pire Gourèye
Membre de la Convergence des Cadres Républicains.
Kafkat81@gmail.com
L’actuel ministre de l’énergie, le ministre Aly Ngouille Ndiayeavait annoncé des mesures d'urgence et un plan pour doubler la capacité énergétique du pays afin de mettre le pays à l’abri des délestages. Toutes ces promesses faites par le ministre ont été vaines. Cette crise est due, il faut le souligner, au brusque relèvement du prix des produits pétroliers. Lorsque les pays producteurs de pétrole décident de réduire leur production et de doubler leur prix. La conséquence fut la brusque augmentation du coût de la vie. En effet, la mondialisation de l’économie est- elle l’état économique d’un pays ralentit forcément sur celui des autres pays avec lesquels il entretient des échanges. Que ce soit par les équilibres monétaires, par les flux des échanges commerciaux. Une crise s’exporte vraiment très rapidement. Nul doute que la consommation d’électricité est si importante qu’elle est devenue la servante de toutes les industries. Malgré cela, des progrès de grande envergure ainsi que des investissements de capacités de renouvellement et de production ont été réalisés sous le régime de Me Abdoulaye Wade. Par exemple en 2000 notre société nationale d’électricité qui était un des fleurons de notre économie est revenue dans le portefeuille de l’Etat du Sénégal.
En 2004 une nouvelle tranche Diesel de 15 MW a été inaugurée au cap des biches. Des défis on ne peut plus grands dans une conjoncture internationale bouleversée par la montée vertigineuse du baril de pétrole. Malgré toutes ces obstacles, ce distingue Président a pu tenir le pari d’améliorer et de booster le pays vers l’émergence.
Osons le dire franchement, aucun pays n’est aujourd’hui autonome sur le plan énergétique, qu’il s’agisse de la maitrise des sources d’énergies ou des techniques de production et de transformation, le marché de l’énergie reflète l’équilibre stratégique et économique international.
Ainsi il est fort possible à mon sens de tirer avantage localement de certaines sources d’énergie qui restent marginal au niveau national. La chaleur libérée par l’incinération des déchets ménagers peut par exemple être récupérée au profit du chauffage urbain ou des industries locales. L’optimisation de la consommation est un enjeu essentiel sur laquelle des interventions sont possibles à l’échelon local.
Cheikh Abdoul DIA
Expert en développement Local
Responsable Politique APR à Pire Gourèye
Membre de la Convergence des Cadres Républicains.
Kafkat81@gmail.com