AFP - Les deux humanitaires française et canadienne enlevées il y a plus de trois semaines au Darfour ont été libérées et sont en "bonne santé", a confirmé mercredi à l'AFP un haut responsable du ministère soudanais des Affaires étrangères, Ali Youssif.
"Le gouvernement soudanais confirme leur libération. Elles sont en bonne santé, elles se portent bien", a déclaré à l'AFP, M. Youssif, responsable du protocole au ministère.
"Elles vont arriver plus tard dans la soirée" à Khartoum, a-t-il ajouté.
La Française Claire Dubois et la Canadienne Stéphanie Jodoin, membres de l'ONG Aide médicale internationale (AMI), avaient été enlevées le 4 avril à Ed el-Fursan, à 80 kilomètres au sud de la ville de Nyala, dans le Darfour. Leurs ravisseurs se présentent comme les "Aigles de la libération de l'Afrique", un groupe jusqu'alors inconnu.
Les ravisseurs des deux humanitaires avaient affirmé plus tôt dans la journée avoir libéré les deux otages, mais cette information n'avait pas été confirmée par les autorités soudanaises. L'ONG qui emploie les deux femmes ainsi que les responsables canadiens et français avaient également refusé de commenter en l'absence de confirmation directe.
Les ravisseurs ont indiqué que les deux femmes avaient eu accès à un médecin et que leur état de santé était "bon". Ils avaient toutefois indiqué plus tôt cette semaine que leurs deux otages étaient malades.
"Le gouvernement soudanais confirme leur libération. Elles sont en bonne santé, elles se portent bien", a déclaré à l'AFP, M. Youssif, responsable du protocole au ministère.
"Elles vont arriver plus tard dans la soirée" à Khartoum, a-t-il ajouté.
La Française Claire Dubois et la Canadienne Stéphanie Jodoin, membres de l'ONG Aide médicale internationale (AMI), avaient été enlevées le 4 avril à Ed el-Fursan, à 80 kilomètres au sud de la ville de Nyala, dans le Darfour. Leurs ravisseurs se présentent comme les "Aigles de la libération de l'Afrique", un groupe jusqu'alors inconnu.
Les ravisseurs des deux humanitaires avaient affirmé plus tôt dans la journée avoir libéré les deux otages, mais cette information n'avait pas été confirmée par les autorités soudanaises. L'ONG qui emploie les deux femmes ainsi que les responsables canadiens et français avaient également refusé de commenter en l'absence de confirmation directe.
Les ravisseurs ont indiqué que les deux femmes avaient eu accès à un médecin et que leur état de santé était "bon". Ils avaient toutefois indiqué plus tôt cette semaine que leurs deux otages étaient malades.