« Le CNG de lutte, le ministère des Sports et celui de l’Urbanisme et de l’Habitat ont retenu 20 mille places », a dit le ministre des Sports Mbagnick Ndiaye lors d’une séance de travail avec les experts chinois chargés de la construction de l’arène nationale. Ces derniers ont approuvé la décision.
« Le site définitivement retenu, c’est celui du Technopole. La partie chinoise dit que le fait d’aller trouver un autre site va retarder les travaux. [...] Le chef de l’Etat a une exigence de délai de réalisation de ses projets phares. L’arène nationale fait partie des 20 projets phares à réaliser d’ici à 2017 par le chef de l’Etat », a expliqué M. Ndiaye.
Six sites avaient été proposés, selon le ministre des Sports, qui visitera samedi matin le Technopole en compagnie des experts chinois séjournant au Sénégal du 7 au 19 août pour étudier la faisabilité du projet.
La China Institute Project Planning and Reseach (IPPR), une société d’Etat chinoise, est chargée de la construction de l’arène nationale, dans le cadre de la coopération entre Dakar et Pékin. L’aboutissement de ce projet datant de 1999 permettra au premier sport sénégalais d’avoir sa première infrastructure d’envergure.
Shu Shian, le directeur général de l’IPPR, a dit que si un autre site devait être choisi, le gouvernement chinois ne serait pas en mesure de « réaliser les travaux avant fin 2017″ à cause des « longues procédures » en vigueur dans son pays.
Des techniciens du ministère des Sports, de celui de l’Urbanisme et de l’Habitat, des agents de la Direction du cadastre, de la Direction des impôts et des domaines ont, aux côtés de représentants du CNG de lutte, participé à la séance de travail.
L’arène nationale sera dotée de bureaux, d’un parking et d’un site d’hébergement, selon le ministre des Sports.
« C’est un projet qui date de 1999, mais nous pensons qu’il pourra être réalisé dans les délais que le ministre a indiqués, c’est-à-dire d’ici à 2017. Le projet était initialement prévu pour 15 mille places », a expliqué Thierno Kâ, chargé de la communication du CNG de lutte.
L’ancien président de la République Abdoulaye « Wade avait même proposé 25 mille places. Nous avons coupé la poire en deux, en pensant que 20 mille places pourront suffire pour toutes les manifestations de la lutte. [...] Nous pensons que 20 mille places, c’est une bonne moyenne », a ajouté M. Kâ.
Source: APS
« Le site définitivement retenu, c’est celui du Technopole. La partie chinoise dit que le fait d’aller trouver un autre site va retarder les travaux. [...] Le chef de l’Etat a une exigence de délai de réalisation de ses projets phares. L’arène nationale fait partie des 20 projets phares à réaliser d’ici à 2017 par le chef de l’Etat », a expliqué M. Ndiaye.
Six sites avaient été proposés, selon le ministre des Sports, qui visitera samedi matin le Technopole en compagnie des experts chinois séjournant au Sénégal du 7 au 19 août pour étudier la faisabilité du projet.
La China Institute Project Planning and Reseach (IPPR), une société d’Etat chinoise, est chargée de la construction de l’arène nationale, dans le cadre de la coopération entre Dakar et Pékin. L’aboutissement de ce projet datant de 1999 permettra au premier sport sénégalais d’avoir sa première infrastructure d’envergure.
Shu Shian, le directeur général de l’IPPR, a dit que si un autre site devait être choisi, le gouvernement chinois ne serait pas en mesure de « réaliser les travaux avant fin 2017″ à cause des « longues procédures » en vigueur dans son pays.
Des techniciens du ministère des Sports, de celui de l’Urbanisme et de l’Habitat, des agents de la Direction du cadastre, de la Direction des impôts et des domaines ont, aux côtés de représentants du CNG de lutte, participé à la séance de travail.
L’arène nationale sera dotée de bureaux, d’un parking et d’un site d’hébergement, selon le ministre des Sports.
« C’est un projet qui date de 1999, mais nous pensons qu’il pourra être réalisé dans les délais que le ministre a indiqués, c’est-à-dire d’ici à 2017. Le projet était initialement prévu pour 15 mille places », a expliqué Thierno Kâ, chargé de la communication du CNG de lutte.
L’ancien président de la République Abdoulaye « Wade avait même proposé 25 mille places. Nous avons coupé la poire en deux, en pensant que 20 mille places pourront suffire pour toutes les manifestations de la lutte. [...] Nous pensons que 20 mille places, c’est une bonne moyenne », a ajouté M. Kâ.
Source: APS