Les quotidiens « Walf Grand Place » et « L’Office » ont relaté, dans leur édition du lundi 19 janvier 2009, un incident mettant en cause Monsieur Youssou Ndour, son épouse et ses amis dans une boîte de nuit de la place.
Nous tenons à préciser que ces allégations sont fausses. Concernant l’incident en question, il importe de savoir que Monsieur Ndour n’a fait que récupérer des photos prises à son insu, donc volées. Le droit à l’image étant pour chacun de nous, un des premiers principes de liberté, que nul n’a le droit de transgresser, surtout pour un « commerce médiatique » dont il est temps de parler, nous estimons que c’est plutôt l’intimité de Monsieur Ndour qui a été violée.
Est-il normal qu’un « Samba Ndiaye » vole impunément une photographie, c’est-à-dire prenne une photo sans permission, pour aller la vendre aux journaux et magazines ? Les journaux et magazines ont-ils le droit de publier des photos prises sans consentement ? Nous croyons que non. Le droit à l’image n’existerait-il pas au Sénégal ? Nous croyons que si. Monsieur Ndour n’a-t-il pas le droit de se retrouver en intimité sans courir le risque d’être pourchassé et traqué ? Devrait-il se priver de sa liberté au point d’avoir peur de fréquenter ce qui est son milieu naturel ?
Désormais, il usera de tous ses droits pour empêcher qu’on étale dans la rue sa vie privée ainsi que celle de sa famille.
Ses fans ont et auront toujours la liberté de prendre des photos et d’échanger avec lui. Comme d’habitude, les journalistes pourront continuer à faire leur travail en bénéficiant toujours sans exclusive de sa disponibilité pour des interviews ou en couvrant ses prestations.
Il est et restera un allié naturel de la presse et de ses différents acteurs (journalistes, preneurs de son et d’image). Le groupe Futurs Médias dont il est le promoteur heureux suffit largement comme preuve de son engagement sans faille pour une presse libre et responsable.
Très chers fans, soyez rassurés. Prenez ces allégations sur sa modeste personne, sans considération.
Culturellement vôtre, Le bureau de presse de Youssou NDOUR
Nous tenons à préciser que ces allégations sont fausses. Concernant l’incident en question, il importe de savoir que Monsieur Ndour n’a fait que récupérer des photos prises à son insu, donc volées. Le droit à l’image étant pour chacun de nous, un des premiers principes de liberté, que nul n’a le droit de transgresser, surtout pour un « commerce médiatique » dont il est temps de parler, nous estimons que c’est plutôt l’intimité de Monsieur Ndour qui a été violée.
Est-il normal qu’un « Samba Ndiaye » vole impunément une photographie, c’est-à-dire prenne une photo sans permission, pour aller la vendre aux journaux et magazines ? Les journaux et magazines ont-ils le droit de publier des photos prises sans consentement ? Nous croyons que non. Le droit à l’image n’existerait-il pas au Sénégal ? Nous croyons que si. Monsieur Ndour n’a-t-il pas le droit de se retrouver en intimité sans courir le risque d’être pourchassé et traqué ? Devrait-il se priver de sa liberté au point d’avoir peur de fréquenter ce qui est son milieu naturel ?
Désormais, il usera de tous ses droits pour empêcher qu’on étale dans la rue sa vie privée ainsi que celle de sa famille.
Ses fans ont et auront toujours la liberté de prendre des photos et d’échanger avec lui. Comme d’habitude, les journalistes pourront continuer à faire leur travail en bénéficiant toujours sans exclusive de sa disponibilité pour des interviews ou en couvrant ses prestations.
Il est et restera un allié naturel de la presse et de ses différents acteurs (journalistes, preneurs de son et d’image). Le groupe Futurs Médias dont il est le promoteur heureux suffit largement comme preuve de son engagement sans faille pour une presse libre et responsable.
Très chers fans, soyez rassurés. Prenez ces allégations sur sa modeste personne, sans considération.
Culturellement vôtre, Le bureau de presse de Youssou NDOUR