Le mot d’ordre est clair : intimidez-le. C’est à en croire l’un des nervis qui a donné un entretien à Zik fm la consigne qui leur a été donnée par celui qui les a convoyés à la mairie de Mermoz- Sacré-Cœur. C’est la même version que les nervis cravatés par la Police ont servi. Mais il semble que la vérité est toute autre. En tout cas si l’on se fie aux propos de Sylvain Doreigo, les nervis ne sont pas ces enfants de chœur qu’on veut nous faire croire. Car quand les échauffourées ont commencé et que Barthélémy Dias a dégainé ses deux armes, leur chef a lâché à l’endroit de ses hommes : « Ceux qui fuient ne seront pas payés ». Sylvain Doreigo qui a contribué à repousser les assaillants à coups de pierre est convaincu qu’il n’avait pas un autre tireur.
Le chef des nervis à ses hommes : « Ceux qui fuient ne seront pas payés »LERAL.NET - Depuis le début des évènements de jeudi dernier, les nervis cueillis par la police ont confié aux limiers qu’ils étaient chez Barth’ pour l’intimider et pour rien d’autre. Mais à lire l’entretien accordé à l’Observateur par l’un des hommes de main du jeune socialiste, c’est comme si les nervis massés devant la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur étaient prêts à en découdre avec le maitre des céans.Rédigé par leral.net le Mercredi 28 Décembre 2011 à 13:16 | | 4 commentaire(s)|
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