A en croire nos sources, tout est parti d’un courrier qu’une femme « Ibadourahmane » (voilée comme les Afganes ou Iraniennes) a remis à A. Mané, trouvé à la mosquée de l’Ucad. Après le départ de la jeune fille, ce dernier a remis le courrier à M. Cissokho qui à son tour le donne à M. Boye, secrétaire général de l’Aeemud et par ailleurs responsable du courrier.
A ce propos, renseignent nos sources, la mosquée de l’Université dispose d’une boîte postale utilisée par une bonne partie de la communauté universitaire. Or ce courrier qui est l’origine de l’arrestation des 03 étudiants n’a pas été envoyé dans ladite boîte. Mais c’est une femme « Ibadou » qui l’a amené à la mosquée de l’Ucad. Pire, le nom de l’expéditeur n’y était pas mentionné. Seulement le destinataire, « Mosquée Ucad », y était inscrit.
Une chose qui avait fini par intriguer M. Boye qui voulait connaître le nom de l’expéditeur. Pris par un emploi du temps chargé, ce n’est que 03 jours plus tard que le chargé du courrier s’est rendu à l’agence Colis postaux sis sur l’avenue Malick Sy.
D’après toujours nos informateurs, c’est au moment où l’étudiant attendait d’être édifié sur l’identité de l’expéditeur de ce colis venant du Paraguay que des douaniers sont entrés en scène. Ainsi Boye apprit que le colis contient de la drogue, soit quelques grammes.
Surpris par une telle révélation, Boye clame son innocence et donne sa version des faits. Faisant croire à l’étudiant qu’ils avaient foi en lui, les gabelous suggèrent tout de même à ce dernier de retirer le colis et de l’amener à l’Université au cas où son véritable propriétaire se présenterait. Ainsi dans l’espoir de mettre la main sur ce dernier, deux agents sont partis avec lui, avec le colis empoisonné Après avoir prié la prière de 17heures à la mosquée de l’Ucad, les soldats de l’économie n’ont vu l’ombre d’un destinataire. Alors ils reviennent à la charge en demandant à Boye qui lui a remis le courrier. Ce dernier indique que c’est A. Mané. Celuic-ci sera appréhendé et il désignera à son tour M. Cissokho qui sera cueilli chez lui, tard dans la nuit à Keur Massar.
Pour les besoins de l’enquête le trio passera deux nuits à la brigade de la gendarmerie de Thiong et une 3ème à celle de Colobane avant d’être déféré au parquet ce vendredi 05 février. Cependant les 03 étudiants n’ont pas pu être auditionnés par le procureur puisqu’ils ont fait l’objet d’un retour de parquet. Ils seront déférés à nouveau ce lundi.
Depuis, les supputations vont bon train. Cela d’autant plus qu’une Française a vécu la même mésaventure que ces trois étudiants. Il y a deux semaines de cela précisent nos sources proches du Palais du justice qui renseignent que la Française a été placée sous mandat de dépôt pour transport et trafic de drogue.
- Par ZAHRA -NETTALI.NET –
A ce propos, renseignent nos sources, la mosquée de l’Université dispose d’une boîte postale utilisée par une bonne partie de la communauté universitaire. Or ce courrier qui est l’origine de l’arrestation des 03 étudiants n’a pas été envoyé dans ladite boîte. Mais c’est une femme « Ibadou » qui l’a amené à la mosquée de l’Ucad. Pire, le nom de l’expéditeur n’y était pas mentionné. Seulement le destinataire, « Mosquée Ucad », y était inscrit.
Une chose qui avait fini par intriguer M. Boye qui voulait connaître le nom de l’expéditeur. Pris par un emploi du temps chargé, ce n’est que 03 jours plus tard que le chargé du courrier s’est rendu à l’agence Colis postaux sis sur l’avenue Malick Sy.
D’après toujours nos informateurs, c’est au moment où l’étudiant attendait d’être édifié sur l’identité de l’expéditeur de ce colis venant du Paraguay que des douaniers sont entrés en scène. Ainsi Boye apprit que le colis contient de la drogue, soit quelques grammes.
Surpris par une telle révélation, Boye clame son innocence et donne sa version des faits. Faisant croire à l’étudiant qu’ils avaient foi en lui, les gabelous suggèrent tout de même à ce dernier de retirer le colis et de l’amener à l’Université au cas où son véritable propriétaire se présenterait. Ainsi dans l’espoir de mettre la main sur ce dernier, deux agents sont partis avec lui, avec le colis empoisonné Après avoir prié la prière de 17heures à la mosquée de l’Ucad, les soldats de l’économie n’ont vu l’ombre d’un destinataire. Alors ils reviennent à la charge en demandant à Boye qui lui a remis le courrier. Ce dernier indique que c’est A. Mané. Celuic-ci sera appréhendé et il désignera à son tour M. Cissokho qui sera cueilli chez lui, tard dans la nuit à Keur Massar.
Pour les besoins de l’enquête le trio passera deux nuits à la brigade de la gendarmerie de Thiong et une 3ème à celle de Colobane avant d’être déféré au parquet ce vendredi 05 février. Cependant les 03 étudiants n’ont pas pu être auditionnés par le procureur puisqu’ils ont fait l’objet d’un retour de parquet. Ils seront déférés à nouveau ce lundi.
Depuis, les supputations vont bon train. Cela d’autant plus qu’une Française a vécu la même mésaventure que ces trois étudiants. Il y a deux semaines de cela précisent nos sources proches du Palais du justice qui renseignent que la Française a été placée sous mandat de dépôt pour transport et trafic de drogue.
- Par ZAHRA -NETTALI.NET –