La pupille qui se dilate, les jambes qui flageolent, le cœur qui bat la chamade : qui n’a jamais été frappé par le célèbre coup de foudre ? Selon un sondage publié par l’institut Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, 51,7% des Français l’ont déjà vécu.
Et si vous faites partie des 48,3% restants, ne perdez pas espoir : bien plus qu’un délire romantique, plus encore qu’un simple hasard, le coup de foudre serait en réalité un phénomène purement scientifique. "C’est pour moitié une question de goût, c’est-à-dire le résultat de notre culture et notre environnement… Et pour moitié une question de biologie et de chimie", affirme Jean-Pierre Ternaux, coordonnateur de l’Observatoire et neurobiologiste au CNRS. Autrement dit, si l’on ressent une fort attirance pour quelqu’un, c’est évidemment parce qu’il répond à un certain nombre de critères attendus (âge, physique, milieu social…), mais pas seulement. D’autres critères entrent en compte sans qu’on s’en aperçoive: les phéromones, ces odeurs imperceptibles qui nous renseignent sur le patrimoine génétique de la personne…
Selon plusieurs études scientifiques, l’être humain aurait en effet tendance à jeter systématiquement son dévolu sur un partenaire aux gènes complémentaires aux siens. "C’est le côté survie de l’espèce, qui échappe au raisonnement", explique Jean-Pierre Ternaux… La réaction qui suit est purement biologique : le cerveau s’enflamme, les neurotransmetteurs s’activent, le corps se met à sécréter intensément les molécules du bonheur : dopamine (motivation), endorphine (plaisir, euphorie), sérotonine (bien-être) et ocytocine (hormone de l’attachement).
Preuve, s’il en fallait encore une, que le coup de foudre est totalement imprévisible. Et qu’il peut donc frapper n’importe qui. N’importe quand.
Et si vous faites partie des 48,3% restants, ne perdez pas espoir : bien plus qu’un délire romantique, plus encore qu’un simple hasard, le coup de foudre serait en réalité un phénomène purement scientifique. "C’est pour moitié une question de goût, c’est-à-dire le résultat de notre culture et notre environnement… Et pour moitié une question de biologie et de chimie", affirme Jean-Pierre Ternaux, coordonnateur de l’Observatoire et neurobiologiste au CNRS. Autrement dit, si l’on ressent une fort attirance pour quelqu’un, c’est évidemment parce qu’il répond à un certain nombre de critères attendus (âge, physique, milieu social…), mais pas seulement. D’autres critères entrent en compte sans qu’on s’en aperçoive: les phéromones, ces odeurs imperceptibles qui nous renseignent sur le patrimoine génétique de la personne…
Selon plusieurs études scientifiques, l’être humain aurait en effet tendance à jeter systématiquement son dévolu sur un partenaire aux gènes complémentaires aux siens. "C’est le côté survie de l’espèce, qui échappe au raisonnement", explique Jean-Pierre Ternaux… La réaction qui suit est purement biologique : le cerveau s’enflamme, les neurotransmetteurs s’activent, le corps se met à sécréter intensément les molécules du bonheur : dopamine (motivation), endorphine (plaisir, euphorie), sérotonine (bien-être) et ocytocine (hormone de l’attachement).
Preuve, s’il en fallait encore une, que le coup de foudre est totalement imprévisible. Et qu’il peut donc frapper n’importe qui. N’importe quand.