Et l’arrivée du président Barack Obama, à qui nous souhaitons la bienvenue au Sénégal, a fait que le monde entier a encore une fois les yeux rivés sur notre cher continent et particulièrement sur la porte d’entrée de l’Afrique.
Le choix porté sur le Sénégal comme une étape première de sa tournée africaine montre que la politique définie par le président en matière de diplomatie est en bonne marche en plus de notre exemplarité en matière de démocratie et de bonne gouvernance. On pourrait dire, entre autres, que ce sont sur ces bases que le choix du Sénégal s’est très vite dessiné en l’espace de 3 mois après leur rencontre à Washington. En tant que jeunes sénégalais, inspirés par le changement et la rupture, nous ne pouvons que nous en réjouir.
Après de multiples polémiques sur l’homosexualité, le président Macky Sall vient de donner une réponse à la fois courageuse, plein de tacts, de diplomatie, d’honnêteté et de sincérité devant le président du pays le plus puissant au monde, devant son peuple et devant l’humanité toute entière.
Non seulement sa réponse reflète l’avis de toute une société, mais elle vient confirmer ce dont il a toujours pensé. Et cette position ne date pas d’aujourd’hui.
Cela remonte bien avant son accession au pouvoir et rappelez-vous même récemment lors de son invitation à l’université de Harvard en mars dernier, un étudiant ougandais lui a posé la question à savoir « … Quelle politique avez-vous pour la communauté gay et les minorités au Sénégal …».
La réponse du président Sall a été sans équivoque : « …Je suis pour le respect des droits des minorités. Il faudrait simplement qu’on pose bien les problèmes. Et qu’aussi par ailleurs on n’essaie pas d’imposer pour certaines catégories des points de vue à une société parce que les questions de société sont très difficiles. Et chaque société a ses repères philosophiques et sociétaux. Donc il faut éviter de donner des stéréotypes à appliquer dans tous les pays du monde. Ca je n’y crois pas. … ».
Tout cela pour vous dire que nous avons un président qui a toujours été constant et clair dans ses propos. En effet, bien avant les élections présidentielles, pendant que certains prônaient la candidature unique au sein de Benno, le président Sall s’y était clairement opposé en défendant la candidature plurielle. Au moment où certains chefs de parti cherchaient discrètement et à tout prix à se réconcilier avec Abdoulaye Wade pour assurer sa succession, le président Sall a clairement soutenu qu’il n’a aucun contact ni de près ni de loin avec celui-ci.
Il fait partie des premiers à donner sa position contre la loi sur la monarchisation du pouvoir le 23 juin 2011. Ses premiers mots ont été : « L’affrontement est inévitable ».
Tout cela pour vous dire qu’il n’a jamais eu peur des mots quand il s’agit de la vérité et de l’intérêt national.
Donc, j’appelle à l’opposition et aux langues de bois à plus de responsabilité et à privilégier les œuvres de construction nationale à la place de l’intérêt personnel et partisan.
Quand le Sénégal reçoit un hôte de taille comme le président Obama et des investisseurs américains de grande qualité, le patriotisme doit primer sur l’opportunisme.
Quand François Hollande, du PS, se déplace en Chine pour défendre les intérêts de la France, Jean-Pierre Raffarin qui est de l’UMP le suit en mettant à sa disposition toute son expertise sur ce pays qu’il connaît bien car là il s’agit de l’intérêt national.
Il est tant pour nous sénégalais de le comprendre ainsi.
Le choix porté sur le Sénégal comme une étape première de sa tournée africaine montre que la politique définie par le président en matière de diplomatie est en bonne marche en plus de notre exemplarité en matière de démocratie et de bonne gouvernance. On pourrait dire, entre autres, que ce sont sur ces bases que le choix du Sénégal s’est très vite dessiné en l’espace de 3 mois après leur rencontre à Washington. En tant que jeunes sénégalais, inspirés par le changement et la rupture, nous ne pouvons que nous en réjouir.
Après de multiples polémiques sur l’homosexualité, le président Macky Sall vient de donner une réponse à la fois courageuse, plein de tacts, de diplomatie, d’honnêteté et de sincérité devant le président du pays le plus puissant au monde, devant son peuple et devant l’humanité toute entière.
Non seulement sa réponse reflète l’avis de toute une société, mais elle vient confirmer ce dont il a toujours pensé. Et cette position ne date pas d’aujourd’hui.
Cela remonte bien avant son accession au pouvoir et rappelez-vous même récemment lors de son invitation à l’université de Harvard en mars dernier, un étudiant ougandais lui a posé la question à savoir « … Quelle politique avez-vous pour la communauté gay et les minorités au Sénégal …».
La réponse du président Sall a été sans équivoque : « …Je suis pour le respect des droits des minorités. Il faudrait simplement qu’on pose bien les problèmes. Et qu’aussi par ailleurs on n’essaie pas d’imposer pour certaines catégories des points de vue à une société parce que les questions de société sont très difficiles. Et chaque société a ses repères philosophiques et sociétaux. Donc il faut éviter de donner des stéréotypes à appliquer dans tous les pays du monde. Ca je n’y crois pas. … ».
Tout cela pour vous dire que nous avons un président qui a toujours été constant et clair dans ses propos. En effet, bien avant les élections présidentielles, pendant que certains prônaient la candidature unique au sein de Benno, le président Sall s’y était clairement opposé en défendant la candidature plurielle. Au moment où certains chefs de parti cherchaient discrètement et à tout prix à se réconcilier avec Abdoulaye Wade pour assurer sa succession, le président Sall a clairement soutenu qu’il n’a aucun contact ni de près ni de loin avec celui-ci.
Il fait partie des premiers à donner sa position contre la loi sur la monarchisation du pouvoir le 23 juin 2011. Ses premiers mots ont été : « L’affrontement est inévitable ».
Tout cela pour vous dire qu’il n’a jamais eu peur des mots quand il s’agit de la vérité et de l’intérêt national.
Donc, j’appelle à l’opposition et aux langues de bois à plus de responsabilité et à privilégier les œuvres de construction nationale à la place de l’intérêt personnel et partisan.
Quand le Sénégal reçoit un hôte de taille comme le président Obama et des investisseurs américains de grande qualité, le patriotisme doit primer sur l’opportunisme.
Quand François Hollande, du PS, se déplace en Chine pour défendre les intérêts de la France, Jean-Pierre Raffarin qui est de l’UMP le suit en mettant à sa disposition toute son expertise sur ce pays qu’il connaît bien car là il s’agit de l’intérêt national.
Il est tant pour nous sénégalais de le comprendre ainsi.