Donald Trump Jr, qui se fait fréquemment l'avocat des positions de son père, a publié sur son compte Twitter une photo avec une coupe de bonbons estampillée du slogan du candidat républicain "Make America great again!" (Rendre à l'Amérique sa grandeur).
"Arrêtons le politiquement correct"
"Si j'avais un bol de bonbons et vous disais que, dans le lot, trois étaient empoisonnés, en prendriez-vous une poignée? Tel est notre problème avec les réfugiés syriens", a-t-il lancé. "Cette image dit tout. Arrêtons le politiquement correct qui ne fait pas de l'Amérique une priorité".
Sa remarque a rapidement fait réagir les réseaux sociaux et provoqué des réactions indignées dans le camp démocrate. "Dégoûtant", a ainsi réagi sur Twitter le porte-parole de la candidate démocrate Hillary Clinton, Nick Merrill.
"Voici l'un des millions d'enfants que vous avez comparés à un bonbon empoisonné", a écrit l'une des anciennes plumes de Barack Obama, Jon Favreau, accompagnant son tweet de la photo d'Omran, un Syrien de 5 ans blessé dans un raid aérien à Alep dont le portrait a fait le tour du monde cet été.
La marque de bonbons, interpellée sur la question par un journaliste, a répondu de façon concise, arguant que "Les Skittles sont des bonbons. Les réfugiés sont des personnes. L'analogie nous semble déplacée". Et d'ajouter qu'elle s'abstiendrait de tout commentaire supplémentaire, de crainte de voir ses paroles interprétées à tort comme du marketing.
Fermeture des frontières
Après les attentats de samedi aux États-Unis, Donald Trump a renoué avec ses thèmes de campagne de prédilection avec un virulent discours lundi en Floride dans lequel il a lié menace islamiste et immigration.
Il prône la fermeture sélective des frontières en fonction des pays d'origine. Par exemple, il souhaite arrêter tout accueil de réfugiés syriens et dénonce le projet de sa rivale démocrate d'augmenter leur nombre fixé aux alentours de 65 000 par Barack Obama.
7sur7.be
"Arrêtons le politiquement correct"
"Si j'avais un bol de bonbons et vous disais que, dans le lot, trois étaient empoisonnés, en prendriez-vous une poignée? Tel est notre problème avec les réfugiés syriens", a-t-il lancé. "Cette image dit tout. Arrêtons le politiquement correct qui ne fait pas de l'Amérique une priorité".
Sa remarque a rapidement fait réagir les réseaux sociaux et provoqué des réactions indignées dans le camp démocrate. "Dégoûtant", a ainsi réagi sur Twitter le porte-parole de la candidate démocrate Hillary Clinton, Nick Merrill.
"Voici l'un des millions d'enfants que vous avez comparés à un bonbon empoisonné", a écrit l'une des anciennes plumes de Barack Obama, Jon Favreau, accompagnant son tweet de la photo d'Omran, un Syrien de 5 ans blessé dans un raid aérien à Alep dont le portrait a fait le tour du monde cet été.
La marque de bonbons, interpellée sur la question par un journaliste, a répondu de façon concise, arguant que "Les Skittles sont des bonbons. Les réfugiés sont des personnes. L'analogie nous semble déplacée". Et d'ajouter qu'elle s'abstiendrait de tout commentaire supplémentaire, de crainte de voir ses paroles interprétées à tort comme du marketing.
Fermeture des frontières
Après les attentats de samedi aux États-Unis, Donald Trump a renoué avec ses thèmes de campagne de prédilection avec un virulent discours lundi en Floride dans lequel il a lié menace islamiste et immigration.
Il prône la fermeture sélective des frontières en fonction des pays d'origine. Par exemple, il souhaite arrêter tout accueil de réfugiés syriens et dénonce le projet de sa rivale démocrate d'augmenter leur nombre fixé aux alentours de 65 000 par Barack Obama.
7sur7.be