Quand Madame Coulibaly se rendait ce mardi de façon ordinaire dans une boutique au centre-ville pour récupérer des lunettes de son fils, elle ne pensait pas une seconde qu’un revolver serait brandi devant ses yeux et des menaces de mort proférées à l’endroit de son mari d’écrivain. C’est pourtant ce qui lui est arrivé.
Mohamed Sow, fils du patron de la Cse qu’elle a voulu saluer en tant que vieille connaissance avec qui elle a partagé les bancs d’une université canadienne n’a pas eu la même courtoisie qu’elle. Sow s’est défoulé sur elle, allant même jusqu’à brandir une arme tout en lui disant :
"Vous voyez ce revolver, il appartient à mon père qui est une icône dans ce pays. Je le réserve pour votre mari, car je ne permettrais à personne de citer le nom de mon père dans un livre", a raconté la dame citée par le quotidien "L’Observateur".
Le fils de Alioune Sow n’a pas supporté le fait que le nom de son père soit cité dans "Contes et mécomptes de l’Anoci" qui défraie depuis quelques temps la chronique au Sénégal.
Mis au fait des menaces, le directeur de publication de "La Gazette" n’a pas perdu de temps pour contacter son avocat en vue de rédiger une lettre-plainte qui ne sera pas d’ailleurs finalement déposée. Car, revenu en de meilleurs sentiments, Mohamed Sow a appelé Latif Coulibaly pour lui présenter des excuses non sans affirmer au journal que tout ceci n’était que des … plaisanteries.
- Par Jaraaf S. - NETTALI.NET -
Mohamed Sow, fils du patron de la Cse qu’elle a voulu saluer en tant que vieille connaissance avec qui elle a partagé les bancs d’une université canadienne n’a pas eu la même courtoisie qu’elle. Sow s’est défoulé sur elle, allant même jusqu’à brandir une arme tout en lui disant :
"Vous voyez ce revolver, il appartient à mon père qui est une icône dans ce pays. Je le réserve pour votre mari, car je ne permettrais à personne de citer le nom de mon père dans un livre", a raconté la dame citée par le quotidien "L’Observateur".
Le fils de Alioune Sow n’a pas supporté le fait que le nom de son père soit cité dans "Contes et mécomptes de l’Anoci" qui défraie depuis quelques temps la chronique au Sénégal.
Mis au fait des menaces, le directeur de publication de "La Gazette" n’a pas perdu de temps pour contacter son avocat en vue de rédiger une lettre-plainte qui ne sera pas d’ailleurs finalement déposée. Car, revenu en de meilleurs sentiments, Mohamed Sow a appelé Latif Coulibaly pour lui présenter des excuses non sans affirmer au journal que tout ceci n’était que des … plaisanteries.
- Par Jaraaf S. - NETTALI.NET -