La construction du barrage à buts multiples de Gourbassi, sur la rivière Falémé, va ”limiter les impacts de l’orpaillage dans la zone” et ”favoriser la navigation sur le fleuve Sénégal”, a-t-on appris mercredi, de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS).
”Ce barrage d’un coût global de près de 189 milliards de francs Cfa, permettra d’assurer un soutien à l’étiage, c’est-à-dire un débit garanti à Bakel pour les besoins domestiques et l’irrigation, de soutenir les faibles crues et de laminer les pointes des fortes crues et réduire les émissions de gaz à effet de serre”, lit-on dans un communiqué du Haut-commissariat de l’OMVS, transmis à l’APS.
Situé à 250 kms en amont de sa confluence avec le fleuve Sénégal, le barrage contribuera, à la régulation du débit du cours d’eau, au développement d’une agriculture irriguée et à l’augmentation de la production d’énergie hydroélectrique.
D’une hauteur de 30 mètres et d’une longueur de 1,4 km, l’infrastructure permettra également de ”créer une retenue d’eau et alimentera une centrale hydroélectrique équipée de deux groupes Kaplan”.
”La puissance installée sera de 18 MW, pour un productible annuel de 68,4 GWh”, indique le texte.
Le communiqué informe par ailleurs, que dans la perspective de construction de cette infrastructure, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), s’est engagée à contribuer à hauteur de 100 millions de dollars US (près de 60 milliards de francs Cfa), pour le financement du barrage à buts multiples de Gourbassi.
A cet effet, le Haut-commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), Mohamed Abdel Vetah, a rencontré, samedi dernier, à Riyad (Arabie Saoudite), le président de la BADEA, Sidi Ould Tah, au siège de la Banque.
”Les discussions des deux hommes ont porté à cette occasion, sur le soutien de la BADEA aux projets de développement dans le bassin du fleuve Sénégal, et notamment, sur le Projet d’aménagement hydroélectrique de Gourbassi”, précise le communiqué.
Aps
”Ce barrage d’un coût global de près de 189 milliards de francs Cfa, permettra d’assurer un soutien à l’étiage, c’est-à-dire un débit garanti à Bakel pour les besoins domestiques et l’irrigation, de soutenir les faibles crues et de laminer les pointes des fortes crues et réduire les émissions de gaz à effet de serre”, lit-on dans un communiqué du Haut-commissariat de l’OMVS, transmis à l’APS.
Situé à 250 kms en amont de sa confluence avec le fleuve Sénégal, le barrage contribuera, à la régulation du débit du cours d’eau, au développement d’une agriculture irriguée et à l’augmentation de la production d’énergie hydroélectrique.
D’une hauteur de 30 mètres et d’une longueur de 1,4 km, l’infrastructure permettra également de ”créer une retenue d’eau et alimentera une centrale hydroélectrique équipée de deux groupes Kaplan”.
”La puissance installée sera de 18 MW, pour un productible annuel de 68,4 GWh”, indique le texte.
Le communiqué informe par ailleurs, que dans la perspective de construction de cette infrastructure, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), s’est engagée à contribuer à hauteur de 100 millions de dollars US (près de 60 milliards de francs Cfa), pour le financement du barrage à buts multiples de Gourbassi.
A cet effet, le Haut-commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), Mohamed Abdel Vetah, a rencontré, samedi dernier, à Riyad (Arabie Saoudite), le président de la BADEA, Sidi Ould Tah, au siège de la Banque.
”Les discussions des deux hommes ont porté à cette occasion, sur le soutien de la BADEA aux projets de développement dans le bassin du fleuve Sénégal, et notamment, sur le Projet d’aménagement hydroélectrique de Gourbassi”, précise le communiqué.
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