"Il n'y a eu aucune conversation entre al-Baghdadi al-Mahmoudi et Bechir Essid ou n'importe quel autre avocat, au sujet d'une affaire de politique étrangère. Que ce soit pour la France ou pour n'importe quel autre pays", a déclaré Mahmoud Mohamed Bou Chaala, 33 ans.
"Al-Baghdadi al-Mahmoudi ne traite ces sujets ni avec moi, ni avec sa fille, ni avec sa femme, ni avec son avocat, ni avec quiconque", a-t-il affirmé.
Selon son gendre, l'ancien responsable libyen "portera plainte contre tout avocat qui parlera en son nom et qui accusera une tierce partie au nom du docteur (al-Mahmoudi), sans aucun lien avec la vérité." Le principal avocat de M. al-Mahmoudi, Mabrouk Kourchid, a réagi en affirmant que la famille de son client "est indigné par les déclarations de son gendre".
"Al-Mahmoudi est en désaccord avec son gendre proche du Conseil national de transition (CNT)", a ajouté l'avocat dénonçant "une manipulation politique". L'avocat a aussi dénoncé "une lettre anonyme" selon laquelle M. al-Mahmoudi mettait fin aux services de ses avocats. Ce document reçu à l'AFP ne portait pas de signature et n'a pu être authentifié.
L'avocat Bechir Essid avait mentionné devant la presse une enveloppe de 50 millions d'euros pour le financement de la campagne présidentielle 2007, citant son client.
SOURCE:7sur7.be
"Al-Baghdadi al-Mahmoudi ne traite ces sujets ni avec moi, ni avec sa fille, ni avec sa femme, ni avec son avocat, ni avec quiconque", a-t-il affirmé.
Selon son gendre, l'ancien responsable libyen "portera plainte contre tout avocat qui parlera en son nom et qui accusera une tierce partie au nom du docteur (al-Mahmoudi), sans aucun lien avec la vérité." Le principal avocat de M. al-Mahmoudi, Mabrouk Kourchid, a réagi en affirmant que la famille de son client "est indigné par les déclarations de son gendre".
"Al-Mahmoudi est en désaccord avec son gendre proche du Conseil national de transition (CNT)", a ajouté l'avocat dénonçant "une manipulation politique". L'avocat a aussi dénoncé "une lettre anonyme" selon laquelle M. al-Mahmoudi mettait fin aux services de ses avocats. Ce document reçu à l'AFP ne portait pas de signature et n'a pu être authentifié.
L'avocat Bechir Essid avait mentionné devant la presse une enveloppe de 50 millions d'euros pour le financement de la campagne présidentielle 2007, citant son client.
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