‘’Je tiens à réaffirmer que le gouvernement sénégalais poursuivra la lutte qu’il a engagée contre la vente illicite ou clandestine de médicaments en dehors des pharmacies dont l’ouverture a été autorisée par le ministère de la Santé’’, a-t-il notamment dit.
Le gouvernement en appelle ’’à la vigilance des populations dont on cherche à préserver la santé. Celles-ci doivent éviter d’acheter ces poisons, un mauvais médicament. Un médicament périmé ou contrefait devient un poison’’, a souligné le Premier ministre.
Lors de sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale en juillet 2009, Souleymane Ndéné Ndiaye avait annoncé que son gouvernement envisageait de mettre fin à la vente de médicaments dans la rue.
Après cette sortie, Keur Serigne-Bi, un haut lieu de la vente illicite de médicaments à Dakar avait été fermée.
‘’Le pharmacien du troisième millénaire doit s’impliquer encore plus pour garantir la santé publique surtout dans nos pays en voie de développement confortés à de multiples défis dans la mise en œuvre des politiques sanitaires’’, a-t-il estimé.
Selon Souleymane Ndéné Ndiaye, en faisant cela le pharmacien restera ‘’un acteur et un responsable de tout premier plan en santé publique’’.
‘’Son rôle est d’autant plus essentiel que tout en ayant une mission principalement scientifique, il est aussi garant de la santé publique et de la sécurité sanitaire’’, a-t-il précisé.
Quelque 1.000 personnes en provenance d’une vingtaine de pays africains ainsi que d’autres sommités venant d’autres continents participent à la 12 -ème édition du FPI.
Les participants réfléchiront sur la place de la pharmacie et des médicaments dans le système de santé africain.
La rencontre se tient sur 4 jours (6-9 juin), à l’initiative de l’Interordre des pharmaciens d’Afrique (IOPA), de l’Intersyndicale des pharmaciens d’Afrique (ISPHARMA), de l’Association des centrales d’achat des médicaments essentiels (ACAME) et des directeurs de la pharmacie et du médicament africains.
APS
Le gouvernement en appelle ’’à la vigilance des populations dont on cherche à préserver la santé. Celles-ci doivent éviter d’acheter ces poisons, un mauvais médicament. Un médicament périmé ou contrefait devient un poison’’, a souligné le Premier ministre.
Lors de sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale en juillet 2009, Souleymane Ndéné Ndiaye avait annoncé que son gouvernement envisageait de mettre fin à la vente de médicaments dans la rue.
Après cette sortie, Keur Serigne-Bi, un haut lieu de la vente illicite de médicaments à Dakar avait été fermée.
‘’Le pharmacien du troisième millénaire doit s’impliquer encore plus pour garantir la santé publique surtout dans nos pays en voie de développement confortés à de multiples défis dans la mise en œuvre des politiques sanitaires’’, a-t-il estimé.
Selon Souleymane Ndéné Ndiaye, en faisant cela le pharmacien restera ‘’un acteur et un responsable de tout premier plan en santé publique’’.
‘’Son rôle est d’autant plus essentiel que tout en ayant une mission principalement scientifique, il est aussi garant de la santé publique et de la sécurité sanitaire’’, a-t-il précisé.
Quelque 1.000 personnes en provenance d’une vingtaine de pays africains ainsi que d’autres sommités venant d’autres continents participent à la 12 -ème édition du FPI.
Les participants réfléchiront sur la place de la pharmacie et des médicaments dans le système de santé africain.
La rencontre se tient sur 4 jours (6-9 juin), à l’initiative de l’Interordre des pharmaciens d’Afrique (IOPA), de l’Intersyndicale des pharmaciens d’Afrique (ISPHARMA), de l’Association des centrales d’achat des médicaments essentiels (ACAME) et des directeurs de la pharmacie et du médicament africains.
APS