Certains adultes ne sont pas encore prêts à considérer les jeunes élèves comme des personnes ayant les mêmes droits, la même dignité qu’eux-mêmes et la capacité à exercer des libertés publiques et surtout un réel droit d’aller régulièrement à l’école et d’y recevoir un enseignement de qualité.
Par ailleurs le groupe est revenu sur les crises qui bouleversent l’école sénégalaise. En effet, considérant que depuis plus de deux mois, le secteur de l’éducation vit une crise profonde, ponctuée par des grèves tant du côté des enseignants que des enseignés, et que le bras de fer qui oppose les autorités et les enseignants créant une absence de dialogue entre les différents protagonistes n’est pas de nature à apaiser la tension, et que la crise qui perdure est en train de dénier aux enfants leurs droits à l’éducation , le GRA-REDEP estime que la résolution de ce blocage du système éducatif passe nécessairement par la concertation.
Par conséquent, il invite les acteurs impliqués dans cette crise à s’asseoir autour d’une table pour trouver une issue heureuse à cette lancinante question. Sous ce rapport, il en appelle au patriotisme et au sens du sacrifice de tout un chacun pour que l’année scolaire 2010/2011 ne soit pas hypothéquée. Pour un secteur qui englobe 40% du budget, une telle situation ne saurait prospérer. Il est temps d’éradiquer ce mal endémique. Il y va de la crédibilité, voire de l’avenir de l’école sénégalaise.
Marième FAYE pressafrik.com
Par ailleurs le groupe est revenu sur les crises qui bouleversent l’école sénégalaise. En effet, considérant que depuis plus de deux mois, le secteur de l’éducation vit une crise profonde, ponctuée par des grèves tant du côté des enseignants que des enseignés, et que le bras de fer qui oppose les autorités et les enseignants créant une absence de dialogue entre les différents protagonistes n’est pas de nature à apaiser la tension, et que la crise qui perdure est en train de dénier aux enfants leurs droits à l’éducation , le GRA-REDEP estime que la résolution de ce blocage du système éducatif passe nécessairement par la concertation.
Par conséquent, il invite les acteurs impliqués dans cette crise à s’asseoir autour d’une table pour trouver une issue heureuse à cette lancinante question. Sous ce rapport, il en appelle au patriotisme et au sens du sacrifice de tout un chacun pour que l’année scolaire 2010/2011 ne soit pas hypothéquée. Pour un secteur qui englobe 40% du budget, une telle situation ne saurait prospérer. Il est temps d’éradiquer ce mal endémique. Il y va de la crédibilité, voire de l’avenir de l’école sénégalaise.
Marième FAYE pressafrik.com