Ce lundi 6 septembre, la petite ville balnéaire de Pollica, dans le sud de l’Italie s’est réveillé sans maire. Angelo Vassallo qui occupait le poste a été assassiné le dimanche 5 septembre en plein rue. Selon les témoins, il aurait été abattu, de trois balles, au volant de sa voiture dimanche soir entre 21h30 et 22h30.
C’est le frère de la victime qui a découvert le corps, selon les premiers éléments.
Chargé de l’enquête, le procureur Alfredo Grecco a décrit Vassallo comme un homme luttant contre les inégalités et très préoccupé ces derniers temps.
De son coté, Raffaele Marino, ancien juge anti-mafia s’est dit convaincu que les commanditaires du meurtre appartenait à la mafia locale, la Camorra. Selon Marino, Vassallo est mort pour avoir dit «non» à des gens qui ne supportaient pas la négation.
Élu à la tête d’une liste citoyenne proche de la gauche, pro-environnemental, il était connu pour avoir pris un arrêté municipal infligeant 1000 euros d’amende à toute personne jetant des cendres ou des mégots de cigarette par terre…
Sous le choc, beaucoup de commerces étaient fermés, ce matin à Pollica.
C’est le frère de la victime qui a découvert le corps, selon les premiers éléments.
Chargé de l’enquête, le procureur Alfredo Grecco a décrit Vassallo comme un homme luttant contre les inégalités et très préoccupé ces derniers temps.
De son coté, Raffaele Marino, ancien juge anti-mafia s’est dit convaincu que les commanditaires du meurtre appartenait à la mafia locale, la Camorra. Selon Marino, Vassallo est mort pour avoir dit «non» à des gens qui ne supportaient pas la négation.
Élu à la tête d’une liste citoyenne proche de la gauche, pro-environnemental, il était connu pour avoir pris un arrêté municipal infligeant 1000 euros d’amende à toute personne jetant des cendres ou des mégots de cigarette par terre…
Sous le choc, beaucoup de commerces étaient fermés, ce matin à Pollica.