La collision entre un camion et un bus a provoqué, mercredi à Pout (Thiès), la mort 11 personnes.
Pour faire face à ces accidents de bus, "il faut d’abord une mise à niveau" des conducteurs, a suggéré Mamadou Goudiaby, relevant qu’un permis "est un permis, mais il faut d’abord une mise à niveau de ces conducteurs avant de leur confier des bus".
A Dakar Dem Dikk (DDD), "lorsque nous recrutons des conducteurs, ils viennent de partout, de secteurs divers tels que les cars rapides. Mais quand ils viennent et que vous leur donnez un bus, même après avoir subi une formation, une fois sur le circuit, c’est des accidents à n’en plus finir" au début, a-t-il expliqué. Mais ensuite, a ajouté M. Goudiaby, "avec l’expérience, les accidents baissent".
S’appuyant sur des statistiques, il a rappelé qu’en 2005, "lorsque les 400 bus de DDD sont arrivés en vrac et qu’on avait formé un plus grand nombre de nos conducteurs, on frisait les 1000 accrochages par année".
"Mais aujourd’hui, on est à presque à 200 accrochages par année à raison d’un ou 2 accrochages par jour", a poursuivi le secrétaire général de l’UDT-3D.
Il a invité le ministère des Transports terrestres à entamer l’organisation de ce secteur et "à jeter un coup d’œil" sur ses activités, à partir du moment où "ce mode de transport foisonne partout au Sénégal".
"Ce sont les autorités qui doivent prendre leurs responsabilités pour réorganiser ce mode de transport public, mais il y a aussi les propriétaires de bus", a-t-il cependant relevé.
AB/BK
Pour faire face à ces accidents de bus, "il faut d’abord une mise à niveau" des conducteurs, a suggéré Mamadou Goudiaby, relevant qu’un permis "est un permis, mais il faut d’abord une mise à niveau de ces conducteurs avant de leur confier des bus".
A Dakar Dem Dikk (DDD), "lorsque nous recrutons des conducteurs, ils viennent de partout, de secteurs divers tels que les cars rapides. Mais quand ils viennent et que vous leur donnez un bus, même après avoir subi une formation, une fois sur le circuit, c’est des accidents à n’en plus finir" au début, a-t-il expliqué. Mais ensuite, a ajouté M. Goudiaby, "avec l’expérience, les accidents baissent".
S’appuyant sur des statistiques, il a rappelé qu’en 2005, "lorsque les 400 bus de DDD sont arrivés en vrac et qu’on avait formé un plus grand nombre de nos conducteurs, on frisait les 1000 accrochages par année".
"Mais aujourd’hui, on est à presque à 200 accrochages par année à raison d’un ou 2 accrochages par jour", a poursuivi le secrétaire général de l’UDT-3D.
Il a invité le ministère des Transports terrestres à entamer l’organisation de ce secteur et "à jeter un coup d’œil" sur ses activités, à partir du moment où "ce mode de transport foisonne partout au Sénégal".
"Ce sont les autorités qui doivent prendre leurs responsabilités pour réorganiser ce mode de transport public, mais il y a aussi les propriétaires de bus", a-t-il cependant relevé.
AB/BK