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Le ministère de l’Économie et des Finances amputé : Dépité, Abdoulaye Diop livre l’essentiel de son département à Karim en douce

Le ministère de l’Économie et des Finances n’est plus le même : il a accepté de livrer, en secret, au fils du président de la République ce qu’il lui avait refusé : le portefeuille économique et financier, relatif à l’Asie et aux pays du Golfe. Un signe avant-coureur de son prochain départ ? Karim Wade devient ainsi le président de fait du Sénégal et son argentier.


Rédigé par leral.net le Vendredi 20 Novembre 2009 à 14:10 | | 6 commentaire(s)|

Le ministère de l’Économie et des Finances amputé : Dépité, Abdoulaye Diop livre l’essentiel de son département à Karim en douce
Le ministre de l’Économie et des Fiances, Abdoulaye Diop, avait rué dans les brancards. C’était suite à la nomination du fils du président Wade, Karim, comme ministre d’État. Car, on avait voulu remettre à celui-ci, « la coopération économique et financière avec l’ensemble des partenaires du continent asiatique, à l’exception du Japon ». Près de sept mois après, il a accepté ce qu’il refusait au mois de mai dernier. Comme pour éviter de se faire ridiculiser, il a passé ce juteux portefeuille à Karim Wade sans tambeur ni trompette. Personne n’a assisté à la passation de service entre les deux ministres, même le plus proche collaborateur de M. Diop. Le ministre de l’Économie et des Finances semble dire, par cet acte, au président de la République que « même si vous le voulez, prenez tout ce que vous m’avez confié ». M. Diop veut partir. Il l’a mainte fois fait savoir au président libéral. Il veut faire
autre chose, loin du pouvoir de Wade, qui va de scandale à scandale. Pis, celui-ci voudrait le faire sortir par la petite porte, avec une accusation de malversation financière à la clef.

C’est lui qui serait visé dans la tentative de corruption, avortée, de l’ancien agent du Fmi à Dakar. M. Diop, dont la famille vit au Canada, va-t-il démissionner avant d’être humilié ?

En tout cas, Wade se prépare à remanier l’équipe gouvernementale. Elle sera politique. Or, Abdoulaye Diop n’a jamais voulu goûter de ce pain. On se rappelle, qu’en dépit d’être venu au gouvernement grâce à ce concitoyen maire de Thiès, alors Premier ministre, il n’a jamais tenté de descendre dans l’arène politique. Mieux, il avait demandé et obtenu le retrait de son nom sur la liste de la coalition « sopi » dans sa localité aux dernières élections locales. Wade évite de l’affronter, du fait des secrets financiers qu’il détient contre lui. M. Diop est, également, adulé par les confréries religieuses, comme en témoigne la visite que lui avait faite le khalife général des mourides, suite à une foulure après une partie de football du dimanche. Le ministre ne se sent plus en sécurité dans le régime libéral. On se rappelle qu’il avait indexé des proches de Wade, « tapis à la présidence », comme l’ayant menacé de mort. Depuis, c’est lui qui le dit, il dort avec son arme. Le pactole qu’il a remis au fils du président sera, probablement, la goutte de trop. Il est sûr que Wade ne le laissera partir que quand il aura un dossier contre lui, pour le contraindre au silence et au chantage.

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1.Posté par mass le 20/11/2009 14:48 | Alerter
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Si vous aimez le senegal comme vous le pretendez laissez de cote ce fameux language de secret d'etat parce que meme ceux qui sont dehors savent que ce regime est corrumpu et voleur et en plus est constitue de grands bandits .Je vous rapelle juste les faits sur lesquels le peuple ne peut pas pardonner a ce regime :
432 millards de l'anoci
31 millards de l'avion presidentiel
43 millards qu'il accuse idy
les 1863 morts du bateau le jola
7 millards qu'il a offert au gouvernement
les jets prives incessantes qu'ils s'affretent
les terrains de l'arort de LSS
de la foires
du camp mongnier
de lac rose
de mbane..................................................................................................................................................................................ect............................

2.Posté par kilifeu le 20/11/2009 15:40 | Alerter
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dans cette vie éphémère , cela se voit qu'il y'a des hommes qui n'ont aucun sens de l'honneur et de la dignité, on se pose la question de savoir ce que représente maintenant cet original et authentique fils du pays ce ablaye diop de se déchausser de la sorte devant ce DOMOU TOUBABE.
OH RAGE ! quels péchés a t'ont donc fait pour mériter ce triste sort dont notre pays est victime, oh ALLAH pardpnne nous et aide nous en nous débarassant de ceux là qui tous les jours nous humulient et nous appauvrit d'avantage.

3.Posté par samba NDIAYE le 20/11/2009 18:04 | Alerter
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LE CONTROLE COMPTABLE NE SAURAIT SUFFIRE
POUR UNE ADMINISTRATION DE L’EVALUATION DE NOS POLITIQUES PUBLIQUES


Il serait coupable de la méconnaître, il serait grave de la décevoir, le processus de modernisation de l’administration sénégalaise constitue une tâche ambitieuse et audacieuse au moment où les agrégats sont tous au rouges.

Il est urgent de considérer d’élargir la modernisation de l’administration vers la création d’une Agence d’évaluation permanente des politiques publiques tant au sein d’agences tels que l’Apix, l’ADPME , ANRAC l’ANOCI… que de l’administration en générale et de ses structures déconcentrées, collectivités locales dans le cadre de leurs compétences déconcentrées ; passage obligé de toute réflexion sur l’Etat moderne.

La modernisation passera nécessairement par l’évaluation, qui elle même appelle la modernisation, elle conditionne aussi l’évaluation qui l’active.

L’évaluation des politiques publiques doit accompagner la Stratégie de croissance accélérée dans sa phase opérationnelle afin d’apporter au jour le jour les correctifs qui s’imposent dans toute politique publique. Cette nouvelle donne s’efforcera de privilégier modernisme, efficacité et compétitivité, et il se défiera d’un état encore centralisateur hérité du bureaucratisme d’antan.

Aujourd’hui, connaître l’efficacité réelle de l’action de l’administration sénégalaise devient obligatoire.
L’évaluation dans ce sens doit s’entendre comme une fonction consistant à apprécier les effets attribués à une action gouvernementale. Elle interprète, mesure, tend a établir des rapports de causalité entre les moyens et les effets tout en oubliant pas de former un jugement sur la valeur des politiques publiques.

Mais on pourrait tout de même entrevoir quelques pistes :il serait souhaitable que l’évaluation se développe autour de deux paradigmes ; l’un gestionnaire, l’autre démocratique.

Le paradigme gestionnaire devrait se développer autour d’un pôle gouvernemental qui va assurer à l’évaluation son caractère ministériel.

Il est souhaitable que le président de la république impulse une dynamique vers la création d’un comité interministériel de l’évaluation avec comme objectif de définir les grands axes de la politique d’évaluation.

Ce comité pourra jouer auprès d’une instance de diffusion et de valorisation d’une déontologie à vocation scientifique et méthodologique qui se situerait au carrefour de l’administration et de la société civile.

L’évaluation des politiques publiques ne doit pas être un outil de contrôle comptable mais un outil d’accompagnement démocratique et d’information.



IL serait souhaitable en parallèle de développer un pôle démocratique et social, dans le lequel l’assemblée nationale et le conseil économique et social joueraient un rôle important ; cela éviterait de voir dans l’évaluation un outil de sanction bureaucratique.

Ce pôle devrait se concrétiser par la création d’une agence d’évaluation des politiques publiques.

Par conséquent il est souhaitable dans cette période de maîtrise des finances publiques et de mise en place de la STRATEGIE DE CROISSANCE ACCELEREE que cette agence d’évaluation des politiques publiques puisse jouer pleinement son rôle d’organe d’anticipation corrective et prospective.

IL est souhaitable en sus de la bonne gouvernance et de la maîtrise endogène de nos facteurs de croissance, d’envisager par le biais de cette agence d’évaluation des politiques publiques un des grands chantiers du septennat à venir de réduction de la dépense publique . Par conséquent cette instance serait aussi une instance de pédagogie d’économie et de la réduction du train de vie de l’administration d’Etat.

L’évaluation des politiques publiques n’est pas une théorie, elle constitue tout au plus un paradigme qui pourrait voir le jour rapidement, au sens où elle représente un ensemble d’orientations théoriques plus ou moins cohérentes qui apporterait à la SCA une valeur ajoutée en terme d’externalité positive, car son professionnalisation sera, si elle se met en place, autant un problème qu’une solution.

Samba ndiaye


4.Posté par le solitaire le 21/11/2009 09:45 | Alerter
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où est MARVEL? svp, qui a vu MARVEL? est il à Thiès où à Dakar? svp, où est Marvel? a t il la bouche pleine?

5.Posté par le peuhl le 22/11/2009 17:17 | Alerter
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WADE n´est rien d´autre que de la pouriture , un affamé de pouvoir,
car quand il est nvelemt venu au pouvoir il faisait croire au monde entier une nouvelle ère de soulagement avec un réferendum qu´il ignore .
Etant un vrai traitre de la démocratie il veut faire croire aux SENEGALIS qu´il est le seul capable et le seul savant.
Mais les citizens de ce pays ne te laisseront pas car si tu avais gratifié a DIOUF ton successeur te traduire en justice grâce aux normes de l´étique RÉPUBLICAINE.

6.Posté par sénégalais le 22/11/2009 18:00 | Alerter
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Ablaye Diop lui aussi est non seulement un nullard qui parle mal le francais mais aussi un trés grand voleur. Ou est-ce qu'il a trouvé tout cet argent pour acheter des villas au Canada? Il sera tot ou tard auditer inchalla.

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