Il est plus que temps que certains pays, ONG’s et associations s’affranchissent des relents de la guerre froide qui présidaient la conduite du monde.
Le communisme et le socialisme scientifique ne sont plus dans l’air du temps, tout comme les extrémismes de toutes sortes.
La question qui est posée dans ce papier est très simple : le pseudo «République Arabe Sahraouie Démocratique» (RASD), une utopie de cette époque révolue, fait-il l’unamité sur son soit disant statut juriridique en qualité d’Etat reconnu internationalement ?
La réponse est claire et nette. Non.
En effet, le pseudo RASD n’est qu’un mirage. Il n’a aucune existence légale et n’est reconnu par aucune organisation internationale ou régionale, exceptée l’Union Africaine, et encore moins par les grandes puissances de ce monde.
Ce pseudo RASD s’est vu attribuer une existence illégitime grâce à la forfaiture de l’ancien Secrétaire Général de l’Organisation de l’Union Africain (OUA), le togolais Edem Kodjo.
C’est pourquoi, l’argumentaire de l’organisation pan-africaine quant à une reconnaissance internationale du pseudo RASD n’a jamais tenu et oblige les ennemis de l’intégrité territoriale et de la souveraineté du Royaume du Maroc à user des moyens de manipulation médiatique pour transmettre des faux discours sur la réalité des droits légitimes du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Un comportement qui explique nettement la faiblesse des autorités algériennes face aux droits du Maroc du fait qu’elles ne peuvent en aucun cas introduire une procédure de reconnaissance d’une entité fantôche par l’ONU.
Aussi, la très grande majorité des Etats africains s’attelent à faire revenir le Royaume du Maroc à la place qui est la sienne au sein de l’Union Africaine et à chasser l’imposteur qu’est le pseudo RASD.
Face à cette donne, et suite aux échecs diplomatiques à répétition, le pouvoir algérien a tenté de faire adopter par le Conseil de Sécurité de l’ONU un élargissement des prérogatives de la MINURSO aux questions des Droits de l’Homme.
Une tentative algérienne qui s’est soldée par un cinglant échec et une victoire diplomatique marocaine au sein des Nations-Unies.
Une victoire marocaine qui confirme l’accord tripartite de Madrid de 1975, signé entre l’Espagne, le Royaume du Maroc et la Mauritanie, mais aussi l’avis de la Cour Internationale de Justice de 1995, par lequel il expressement écrit qu’elle se déclare en faveur de l’indépendance du Timor-Oriental, et ne dit rien sur les provinces sahariennes marocaines et ce, 20 années après son arrêt historique de 1975, reconnaissant de facto les droits du Maroc sur son Sahara.
D’ailleurs, l’ONU n’a jamais fait de différenciation juridique entre le cas de la province marocaine de Sidi Ifni, occupée par l’Espagne jusqu’en 1969, et celui des provinces sahariennes marocaines et a toujours posé le principe de la négociation entre la partie colonisatrice, l’Espagne, et l’ayant droit, le Royaume du Maroc.
De plus, un simple regard sur les origines des leaders du polisario, d’hier et d’aujourd’hui, est éloquent. Ils sont où marocains ou mauritaniens ou des mercenaires.
C’est pourquoi, de nombreux pays ont décidé de retirer ou de geler leur reconnaissance à cette entité fantôche afin de ne pas s’opposer au principe d’une large autonomie proposée par le Royaume du Maroc et acceptée par la communauté internationale comme solution sérieuse à ce conflit artificiel et créé de toute pièce par l’Algérie.
Enfin, je terminerai mon propos en affirmant, que l’ex-sahara espagnol n’a jamais été un Etat souverain indépendant. Les tribus sahraouies ont de tous temps entretenu des liens d'allégeances avec les Souverains marocains et refusé toute autre autorité.
Il est notoirement connu que l’Algérie a corrompu des Etats Africains pour faire admettre au sein de l'OUA une entité qui n'existait pas juridiquement et que l'ONU ne reconnaissait pas. Un comportement illégal et un affront aux Nations car l'admission de la chimérique RASD au sein de l'OUA est une hérésie.
En soutenant financièrement, diplomatiquement et militairement le polisario, l'Algérie a violé avec désinvolture le principe de l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme (l'uti possidetis), afin de s’accaparer des territoires marocains indûment octroyés par son ancienne colonisatrice, la France.
L’ex-Sahara espagnol est marocain et les populations qui y vivaient et y vivent aujourd’hui ainsi que celles qui sont séquestrées dans les camps de Tinfouf sont et se revendiquent de nationalité marocaine.
Farid Mnebhi.
Le communisme et le socialisme scientifique ne sont plus dans l’air du temps, tout comme les extrémismes de toutes sortes.
La question qui est posée dans ce papier est très simple : le pseudo «République Arabe Sahraouie Démocratique» (RASD), une utopie de cette époque révolue, fait-il l’unamité sur son soit disant statut juriridique en qualité d’Etat reconnu internationalement ?
La réponse est claire et nette. Non.
En effet, le pseudo RASD n’est qu’un mirage. Il n’a aucune existence légale et n’est reconnu par aucune organisation internationale ou régionale, exceptée l’Union Africaine, et encore moins par les grandes puissances de ce monde.
Ce pseudo RASD s’est vu attribuer une existence illégitime grâce à la forfaiture de l’ancien Secrétaire Général de l’Organisation de l’Union Africain (OUA), le togolais Edem Kodjo.
C’est pourquoi, l’argumentaire de l’organisation pan-africaine quant à une reconnaissance internationale du pseudo RASD n’a jamais tenu et oblige les ennemis de l’intégrité territoriale et de la souveraineté du Royaume du Maroc à user des moyens de manipulation médiatique pour transmettre des faux discours sur la réalité des droits légitimes du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Un comportement qui explique nettement la faiblesse des autorités algériennes face aux droits du Maroc du fait qu’elles ne peuvent en aucun cas introduire une procédure de reconnaissance d’une entité fantôche par l’ONU.
Aussi, la très grande majorité des Etats africains s’attelent à faire revenir le Royaume du Maroc à la place qui est la sienne au sein de l’Union Africaine et à chasser l’imposteur qu’est le pseudo RASD.
Face à cette donne, et suite aux échecs diplomatiques à répétition, le pouvoir algérien a tenté de faire adopter par le Conseil de Sécurité de l’ONU un élargissement des prérogatives de la MINURSO aux questions des Droits de l’Homme.
Une tentative algérienne qui s’est soldée par un cinglant échec et une victoire diplomatique marocaine au sein des Nations-Unies.
Une victoire marocaine qui confirme l’accord tripartite de Madrid de 1975, signé entre l’Espagne, le Royaume du Maroc et la Mauritanie, mais aussi l’avis de la Cour Internationale de Justice de 1995, par lequel il expressement écrit qu’elle se déclare en faveur de l’indépendance du Timor-Oriental, et ne dit rien sur les provinces sahariennes marocaines et ce, 20 années après son arrêt historique de 1975, reconnaissant de facto les droits du Maroc sur son Sahara.
D’ailleurs, l’ONU n’a jamais fait de différenciation juridique entre le cas de la province marocaine de Sidi Ifni, occupée par l’Espagne jusqu’en 1969, et celui des provinces sahariennes marocaines et a toujours posé le principe de la négociation entre la partie colonisatrice, l’Espagne, et l’ayant droit, le Royaume du Maroc.
De plus, un simple regard sur les origines des leaders du polisario, d’hier et d’aujourd’hui, est éloquent. Ils sont où marocains ou mauritaniens ou des mercenaires.
C’est pourquoi, de nombreux pays ont décidé de retirer ou de geler leur reconnaissance à cette entité fantôche afin de ne pas s’opposer au principe d’une large autonomie proposée par le Royaume du Maroc et acceptée par la communauté internationale comme solution sérieuse à ce conflit artificiel et créé de toute pièce par l’Algérie.
Enfin, je terminerai mon propos en affirmant, que l’ex-sahara espagnol n’a jamais été un Etat souverain indépendant. Les tribus sahraouies ont de tous temps entretenu des liens d'allégeances avec les Souverains marocains et refusé toute autre autorité.
Il est notoirement connu que l’Algérie a corrompu des Etats Africains pour faire admettre au sein de l'OUA une entité qui n'existait pas juridiquement et que l'ONU ne reconnaissait pas. Un comportement illégal et un affront aux Nations car l'admission de la chimérique RASD au sein de l'OUA est une hérésie.
En soutenant financièrement, diplomatiquement et militairement le polisario, l'Algérie a violé avec désinvolture le principe de l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme (l'uti possidetis), afin de s’accaparer des territoires marocains indûment octroyés par son ancienne colonisatrice, la France.
L’ex-Sahara espagnol est marocain et les populations qui y vivaient et y vivent aujourd’hui ainsi que celles qui sont séquestrées dans les camps de Tinfouf sont et se revendiquent de nationalité marocaine.
Farid Mnebhi.