Le responsable moral des yala-yala, venu présider une nuit religieuse organisée par la branche lougatoise du mouvement, a souligné que ‘’ceux-là qui croient que nous attirons de façon mystique ou forçons les personnes à venir adhérer au mouvement se trompent lourdement’’.
‘’Notre objectif est de baliser pour le talibé suffisamment préparé le chemin vers Dieu, qui demeure notre seule et unique référence’’, a soutenu Sangue Niane.
’’Cela doit être le comportement de tout marabout qui doit, a-t-il rappelé, aider son talibé à se rapprocher de son créateur, à mieux le connaître sur terre avant l’au-delà’’.
‘’Le mouvement est combattu par certains parce que simplement nous nous sommes engagés à approfondir les connaissances de soi, de l’Islam, de Dieu et de son prophète afin de leur permettre de se faire une religion quant à la perception et la pratique quotidienne des préceptes’’, a souligné Sangue Niane, le visage enturbanné et le corps drapé dans un boubou blanc.
Le mouvement qui prône une connaissance parfaite des secrets de la religion rejette la médisance, le mensonge, la violence, a dit Sangue Niane, ajoutant que tout bon yala-yala doit aller au-delà de la prière, du jeûne, de l’aumône, du pèlerinage, etc.
‘’Il urge d’aller au-delà de la théorie et titiller la pratique qui fait défaut actuellement à l’Islam et cela aiderait aisément à embellir les cœurs des fidèles et faciliter une vie harmonieuse, sans heurts et ni violences dans la société’’, a souligné le chef du mouvement, originanire de Mboudaye Sérère, dans la région de Kaolack (centre).
Sangue, qui se réclame d’une lignée de marabouts proche du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba, a appelé ses condisciples à se rapprocher les uns des autres ’’pour mieux maîtriser l’essence et la philosophie yala-yala’’.
Le responsable moral du mouvement yala-yala, dirigé à Louga par Seyloum Diakhaté, a regretté le différend qui a opposé, récemment, ses fidèles à des habitants de Louga.
’’Ce qui s’est passé dernièrement, c’est que les talibés ont répondu à une provocation d’un membre de la mosquée du quartier qui appelait les fidèles à bouter dehors les yala-yala qui n’ont pas manqué de lui rappeler son passé peu reluisant de violence sexuelle’’, a-t-il expliqué.
PON/ESF
‘’Notre objectif est de baliser pour le talibé suffisamment préparé le chemin vers Dieu, qui demeure notre seule et unique référence’’, a soutenu Sangue Niane.
’’Cela doit être le comportement de tout marabout qui doit, a-t-il rappelé, aider son talibé à se rapprocher de son créateur, à mieux le connaître sur terre avant l’au-delà’’.
‘’Le mouvement est combattu par certains parce que simplement nous nous sommes engagés à approfondir les connaissances de soi, de l’Islam, de Dieu et de son prophète afin de leur permettre de se faire une religion quant à la perception et la pratique quotidienne des préceptes’’, a souligné Sangue Niane, le visage enturbanné et le corps drapé dans un boubou blanc.
Le mouvement qui prône une connaissance parfaite des secrets de la religion rejette la médisance, le mensonge, la violence, a dit Sangue Niane, ajoutant que tout bon yala-yala doit aller au-delà de la prière, du jeûne, de l’aumône, du pèlerinage, etc.
‘’Il urge d’aller au-delà de la théorie et titiller la pratique qui fait défaut actuellement à l’Islam et cela aiderait aisément à embellir les cœurs des fidèles et faciliter une vie harmonieuse, sans heurts et ni violences dans la société’’, a souligné le chef du mouvement, originanire de Mboudaye Sérère, dans la région de Kaolack (centre).
Sangue, qui se réclame d’une lignée de marabouts proche du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba, a appelé ses condisciples à se rapprocher les uns des autres ’’pour mieux maîtriser l’essence et la philosophie yala-yala’’.
Le responsable moral du mouvement yala-yala, dirigé à Louga par Seyloum Diakhaté, a regretté le différend qui a opposé, récemment, ses fidèles à des habitants de Louga.
’’Ce qui s’est passé dernièrement, c’est que les talibés ont répondu à une provocation d’un membre de la mosquée du quartier qui appelait les fidèles à bouter dehors les yala-yala qui n’ont pas manqué de lui rappeler son passé peu reluisant de violence sexuelle’’, a-t-il expliqué.
PON/ESF