Dans un communiqué en date du 17 janvier 2015, le groupe de partis qui s’appelle Front Patriotique pour la Défense de la République sort un texte sur ce qu’ils appellent « la dégradation accélérée de la situation politique nationale ». Ils n’ont pas examiné la situation politique nationale, mais UNE DEGRADATION. Les 4 faits ci-dessous ont été soulevés par les opposants du FPDR:
- Le projet de loi sur les daaras
- La loi sur les universités publiques
- L’affaire Charlie Hebdo
- Le procès Karim Wade
Concernant le projet de loi sur les daaras, les opposants du FPDR n’écrivent qu’une ligne qualifiant le projet de loi de scélérat. Il est vrai que les nihilistes du Front savent qu’ils n’ont aucun argument sérieux contre ce projet de loi qui donne enfin un statut au daara et permet à l’Etat d’avoir un cadre formel d’appui à ces institutions qui souffrent d’une négligence du pouvoir public depuis les indépendances. L’Etat, avec ce projet de loi, veut juste fixer un cadre et dégager des moyens dans la transparence sans exclure les autres cadres d’enseignement du Coran. Il est vrai que les opposants du FPDR qui guettent la moindre information pour embrayer dans l’attaque contre l’Etat n’ont certainement pas eu le temps de lire le projet de loi qui a été présenté à toutes les familles religieuses et qui laisse encore intact toute contribution des organisations islamiques dans une démarche inclusive avant le vote par l’assemblée nationale. La religion est sans doute pour les opposants du FPDR un cadre pour essayer de semer la zizanie. Ils n’oseront certainement pas reprocher au Président Macky (comme il va le faire en 2015) de mettre 10 milliards pour construire et prendre en charge dans le cadre républicain des écoles et collèges publiques d’enseignement du Coran. L’ancien régime ne l’a pas fait. Peut-être que les opposants du FPDR veulent que l’on ne fasse rien. Les musulmans saluent en majorité le projet. C’est l’essentiel.
Autre point abordé par les nihilistes du FPDR : la loi sur la réforme des universités publiques. Ils taxent le Président Macky de vouloir détruire le service public d’enseignement supérieur. Ici encore les opposants du FPDR n’ont sans doute pas d’arguments à opposer à la reforme salutaire des universités. Certes le SAES semble rejeter la composition paritaire des conseils d’administration avec l’introduction du monde socioéconomique. Pour l’Etat, cela participe d’une volonté de transparence dans la gestion financière des Universités à l’instar de ce qui se fait dans le monde. Le débat sur l’autonomie de l’université n’est pas ici le problème puisque les conseils académiques composés de professeurs ont toujours en charge l’approbation des contenus et programmes des enseignements. Les opposants du FPDR et leur mentor (qui nous ont laissé un système universitaire délabré ayant frôlé l’année blanche en 2012 avec des nébuleuses comme ces 35 000 boursiers non ayant droit) ne peuvent pas donner des leçons face au pragmatisme du Président Macky Sall qui va inaugurer 2 universités : la deuxième université de Dakar et celle du Sine Saloum avec une capacité de 60 000 étudiants. Le peuple sait que le Président Macky est en train d’attaquer le mal de nos universités par la racine avec la construction d’universités articulées à des programmes d’emploi de masse. Essayer de prêter au chef de l’Etat une volonté de « détruire le service d’enseignement public supérieur » dans un contexte pareil relève de l’amnésie nihiliste.
Troisième diatribe des nihilistes : l’affaire Charlie Hebdo. Si les opposants du FPDR pensent semer l’amalgame dans ce dossier, c’est peine perdue. Le Chef de l’Etat à travers la double condamnation du fait terroriste et de la dérive inutile de la liberté d’expression a fini de clarifier la situation. Le Sénégal n’est pas un pays d’extrême. C’est un pays de mesure et la classe politique doit éviter de verser dans un débat dangereux en voulant donner ou refuser des « certificats de foi aux uns et aux autres ». La gestion des affaires de l’Etat place le Président Macky dans une position d’information sur les vraies menaces terroristes dans la sous-région avec Boko Haram qui a une armée de plus de 30 000 hommes et qui, après le Nigeria frappe aux portes du Cameroun. Le Président Macky ne va pas mettre sur la place publique les informations qu’il reçoit au jour le jour sur les menaces réelles sur le Sénégal. Il préfère certainement agir en homme d’Etat pour protéger la République. Les terroristes qui ont failli envahir tout le Mali et qui contrôlent une partie du Nigeria n’ont pas attendu le prétexte de Charlie Hebdo pour le faire. Ils sont dans une logique d’envahisseurs de l’Afrique de l’Ouest pour en faire un sanctuaire. Je ne crois pas que les opposants du FPDR soient des amis de Boko Haram encore mois des zélateurs de ceux qui ont usurpé le nom d’Etat Islamique pour prôner la Khalifa universel.
Notre culture islamique confrérique paisible et ferme sur les principes nous suffit largement, c’est pourquoi dans la condamnation de la provocation de ceux qui n’ont rien compris, nous faisons le distinguo net avec la promotion du terrorisme. Lorsque le Président Macky Sall allait en France en soutien strict à la lutte antiterroriste, c’était avant la provocation du journal Charlie Hebdo une semaine plus tard. Nous n’avons certes pas d’ingérence à faire sur ce que permet la loi française, mais l’Article 29 de la déclaration des droits de l’homme dit clairement « L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. ».
En clair, l’exercice de la liberté d’expression ne doit pas se faire au détriment de la concorde entre les nations du monde et, la France des droits de l’homme sait qu’elle n’a aucun intérêt à voir ses fils exercer une liberté de nature à se mettre à dos plus d’un milliard cinq cent millions de musulmans. Nous avons la certitude que ce débat sur l’impact d’une « permission » nationale sur les relations avec les peuples se posera au-delà des nations pour aller dans le sens de relations plus saines tenant compte du respect des croyances religieuses. Cela garantira-t-il pour autant la fin du terrorisme d’où qu’il puisse venir ? Les fondements du terrorisme ne sont pas seulement à connotation religieuse. Elles sont multiples. Et souvent, le fait religieux n’est qu’un moyen pour des visées plutôt politiques. L’islam est une religion de paix. Aucune forme d’amalgame ne doit être faite là-dessus par qui que se soit.
Au Sénégal, nous devons savoir que le Président Macky est élu pour défendre les intérêts du pays. Dans cette affaire dite Charlie Hebdo, l’intérêt du Sénégal était double : lutter contre le terrorisme et défendre les atteintes à la foi musulmane. Sur les deux registres, le Président Macky a agi en homme d’Etat. Les opposants du FPDR doivent savoir raison garder dans cette affaire riche d’amalgames et de passions. Cette affaire ne doit pas être une occasion pour essayer de saper les bases de la République. Il ne faut pas jouer avec le feu.
Dernier point passé à la moulinette nihiliste : la surenchère pour amplifier l’acte d’un garde pénitentiaire qui a voulu amener de force un prévenu refusant de venir répondre au juge. C’est un double fait regrettable (le refus de comparaître et l’usage excessive s’il y a lieu de la force) qu’aucun citoyen ne souhaite. Mais de là à parler « d’attaque barbare », c’est trop dire surtout venant de ceux qui n’avaient pas pipé mot lors des attaques contre les martyrs de la seconde alternance. La violence n’est pas souhaitable. Dans cette affaire sur l’enrichissement illicite, le peuple veut la lumière et rien d’autre. Ce n’est pas en boycottant le tribunal qu’on aidera à y voir clair. Ce n’est pas en traînant les pieds qu’on participe à l’éclatement de la vérité d’où qu’elle puisse venir.
En définitive les opposants du FPDR doivent savoir une chose : les Sénégalais ne sont pas prêts à les revoir de sitôt au pouvoir. Ce n’est pas en attaquant tout azimut le Président Macky Sall dans un Sénégal démocratique en chantier qu’ils arriveront à semer le doute sceptique dans l’esprit des populations.
Le Sénégal en fin 2014 a un taux de croissance de 4,5% ce qui est un record depuis 2005 (NB : Macky était premier ministre en 2005). L’autoroute Ila Touba est lancé, les 2 universités sont lancées, les 2 bateaux Aguette et Diambogne vont bientôt participer au désenclavement de la Casamance en paix. Les domaines agricoles communautaires vont passer de l’expérimentation à la généralisation progressive. L’autosuffisance en riz à l’horizon 2017 est en marche, la centrale éolienne de Taïba Ndiaye va injecter 150 MW dans le réseau. Qui dit mieux ?
La politique sociale a donné la baisse des loyers, la gratuité de l’hémodialyse et de la césarienne, les bourses de sécurité familiale pour 200 0000 familles, la baisse de l’impôt sur le revenu…..Qui dit mieux ?
La liste est longue et c’est cette longueur de la liste des réalisations qui pousse les nihilistes à guetter au bout des caniveaux la surenchère à tout vent. Ils ne savent pas que plus ils feront dans le nihilisme, plus le peuple verra l’aigreur dans leurs propos décalés. Ils ne savent surtout pas leur nihilisme, par son caractère anachronique, est l’ombre qui met en valeur la lumière des chantiers du Président Macky Sall qui reste serein en homme d’Etat tenant la barre.
Par Mamadou NDIONE
Économiste, Écrivain
Cadre APR DIASS
- Le projet de loi sur les daaras
- La loi sur les universités publiques
- L’affaire Charlie Hebdo
- Le procès Karim Wade
Concernant le projet de loi sur les daaras, les opposants du FPDR n’écrivent qu’une ligne qualifiant le projet de loi de scélérat. Il est vrai que les nihilistes du Front savent qu’ils n’ont aucun argument sérieux contre ce projet de loi qui donne enfin un statut au daara et permet à l’Etat d’avoir un cadre formel d’appui à ces institutions qui souffrent d’une négligence du pouvoir public depuis les indépendances. L’Etat, avec ce projet de loi, veut juste fixer un cadre et dégager des moyens dans la transparence sans exclure les autres cadres d’enseignement du Coran. Il est vrai que les opposants du FPDR qui guettent la moindre information pour embrayer dans l’attaque contre l’Etat n’ont certainement pas eu le temps de lire le projet de loi qui a été présenté à toutes les familles religieuses et qui laisse encore intact toute contribution des organisations islamiques dans une démarche inclusive avant le vote par l’assemblée nationale. La religion est sans doute pour les opposants du FPDR un cadre pour essayer de semer la zizanie. Ils n’oseront certainement pas reprocher au Président Macky (comme il va le faire en 2015) de mettre 10 milliards pour construire et prendre en charge dans le cadre républicain des écoles et collèges publiques d’enseignement du Coran. L’ancien régime ne l’a pas fait. Peut-être que les opposants du FPDR veulent que l’on ne fasse rien. Les musulmans saluent en majorité le projet. C’est l’essentiel.
Autre point abordé par les nihilistes du FPDR : la loi sur la réforme des universités publiques. Ils taxent le Président Macky de vouloir détruire le service public d’enseignement supérieur. Ici encore les opposants du FPDR n’ont sans doute pas d’arguments à opposer à la reforme salutaire des universités. Certes le SAES semble rejeter la composition paritaire des conseils d’administration avec l’introduction du monde socioéconomique. Pour l’Etat, cela participe d’une volonté de transparence dans la gestion financière des Universités à l’instar de ce qui se fait dans le monde. Le débat sur l’autonomie de l’université n’est pas ici le problème puisque les conseils académiques composés de professeurs ont toujours en charge l’approbation des contenus et programmes des enseignements. Les opposants du FPDR et leur mentor (qui nous ont laissé un système universitaire délabré ayant frôlé l’année blanche en 2012 avec des nébuleuses comme ces 35 000 boursiers non ayant droit) ne peuvent pas donner des leçons face au pragmatisme du Président Macky Sall qui va inaugurer 2 universités : la deuxième université de Dakar et celle du Sine Saloum avec une capacité de 60 000 étudiants. Le peuple sait que le Président Macky est en train d’attaquer le mal de nos universités par la racine avec la construction d’universités articulées à des programmes d’emploi de masse. Essayer de prêter au chef de l’Etat une volonté de « détruire le service d’enseignement public supérieur » dans un contexte pareil relève de l’amnésie nihiliste.
Troisième diatribe des nihilistes : l’affaire Charlie Hebdo. Si les opposants du FPDR pensent semer l’amalgame dans ce dossier, c’est peine perdue. Le Chef de l’Etat à travers la double condamnation du fait terroriste et de la dérive inutile de la liberté d’expression a fini de clarifier la situation. Le Sénégal n’est pas un pays d’extrême. C’est un pays de mesure et la classe politique doit éviter de verser dans un débat dangereux en voulant donner ou refuser des « certificats de foi aux uns et aux autres ». La gestion des affaires de l’Etat place le Président Macky dans une position d’information sur les vraies menaces terroristes dans la sous-région avec Boko Haram qui a une armée de plus de 30 000 hommes et qui, après le Nigeria frappe aux portes du Cameroun. Le Président Macky ne va pas mettre sur la place publique les informations qu’il reçoit au jour le jour sur les menaces réelles sur le Sénégal. Il préfère certainement agir en homme d’Etat pour protéger la République. Les terroristes qui ont failli envahir tout le Mali et qui contrôlent une partie du Nigeria n’ont pas attendu le prétexte de Charlie Hebdo pour le faire. Ils sont dans une logique d’envahisseurs de l’Afrique de l’Ouest pour en faire un sanctuaire. Je ne crois pas que les opposants du FPDR soient des amis de Boko Haram encore mois des zélateurs de ceux qui ont usurpé le nom d’Etat Islamique pour prôner la Khalifa universel.
Notre culture islamique confrérique paisible et ferme sur les principes nous suffit largement, c’est pourquoi dans la condamnation de la provocation de ceux qui n’ont rien compris, nous faisons le distinguo net avec la promotion du terrorisme. Lorsque le Président Macky Sall allait en France en soutien strict à la lutte antiterroriste, c’était avant la provocation du journal Charlie Hebdo une semaine plus tard. Nous n’avons certes pas d’ingérence à faire sur ce que permet la loi française, mais l’Article 29 de la déclaration des droits de l’homme dit clairement « L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. ».
En clair, l’exercice de la liberté d’expression ne doit pas se faire au détriment de la concorde entre les nations du monde et, la France des droits de l’homme sait qu’elle n’a aucun intérêt à voir ses fils exercer une liberté de nature à se mettre à dos plus d’un milliard cinq cent millions de musulmans. Nous avons la certitude que ce débat sur l’impact d’une « permission » nationale sur les relations avec les peuples se posera au-delà des nations pour aller dans le sens de relations plus saines tenant compte du respect des croyances religieuses. Cela garantira-t-il pour autant la fin du terrorisme d’où qu’il puisse venir ? Les fondements du terrorisme ne sont pas seulement à connotation religieuse. Elles sont multiples. Et souvent, le fait religieux n’est qu’un moyen pour des visées plutôt politiques. L’islam est une religion de paix. Aucune forme d’amalgame ne doit être faite là-dessus par qui que se soit.
Au Sénégal, nous devons savoir que le Président Macky est élu pour défendre les intérêts du pays. Dans cette affaire dite Charlie Hebdo, l’intérêt du Sénégal était double : lutter contre le terrorisme et défendre les atteintes à la foi musulmane. Sur les deux registres, le Président Macky a agi en homme d’Etat. Les opposants du FPDR doivent savoir raison garder dans cette affaire riche d’amalgames et de passions. Cette affaire ne doit pas être une occasion pour essayer de saper les bases de la République. Il ne faut pas jouer avec le feu.
Dernier point passé à la moulinette nihiliste : la surenchère pour amplifier l’acte d’un garde pénitentiaire qui a voulu amener de force un prévenu refusant de venir répondre au juge. C’est un double fait regrettable (le refus de comparaître et l’usage excessive s’il y a lieu de la force) qu’aucun citoyen ne souhaite. Mais de là à parler « d’attaque barbare », c’est trop dire surtout venant de ceux qui n’avaient pas pipé mot lors des attaques contre les martyrs de la seconde alternance. La violence n’est pas souhaitable. Dans cette affaire sur l’enrichissement illicite, le peuple veut la lumière et rien d’autre. Ce n’est pas en boycottant le tribunal qu’on aidera à y voir clair. Ce n’est pas en traînant les pieds qu’on participe à l’éclatement de la vérité d’où qu’elle puisse venir.
En définitive les opposants du FPDR doivent savoir une chose : les Sénégalais ne sont pas prêts à les revoir de sitôt au pouvoir. Ce n’est pas en attaquant tout azimut le Président Macky Sall dans un Sénégal démocratique en chantier qu’ils arriveront à semer le doute sceptique dans l’esprit des populations.
Le Sénégal en fin 2014 a un taux de croissance de 4,5% ce qui est un record depuis 2005 (NB : Macky était premier ministre en 2005). L’autoroute Ila Touba est lancé, les 2 universités sont lancées, les 2 bateaux Aguette et Diambogne vont bientôt participer au désenclavement de la Casamance en paix. Les domaines agricoles communautaires vont passer de l’expérimentation à la généralisation progressive. L’autosuffisance en riz à l’horizon 2017 est en marche, la centrale éolienne de Taïba Ndiaye va injecter 150 MW dans le réseau. Qui dit mieux ?
La politique sociale a donné la baisse des loyers, la gratuité de l’hémodialyse et de la césarienne, les bourses de sécurité familiale pour 200 0000 familles, la baisse de l’impôt sur le revenu…..Qui dit mieux ?
La liste est longue et c’est cette longueur de la liste des réalisations qui pousse les nihilistes à guetter au bout des caniveaux la surenchère à tout vent. Ils ne savent pas que plus ils feront dans le nihilisme, plus le peuple verra l’aigreur dans leurs propos décalés. Ils ne savent surtout pas leur nihilisme, par son caractère anachronique, est l’ombre qui met en valeur la lumière des chantiers du Président Macky Sall qui reste serein en homme d’Etat tenant la barre.
Par Mamadou NDIONE
Économiste, Écrivain
Cadre APR DIASS