Dans une interview parue lundi dans Le Soleil, Abdoulaye Diop a souligné que "le niveau d’endettement (du Sénégal, NDLR) est largement en deçà du critère communautaire retenu dans le cadre du pacte de convergence fixé à 70%".
"Par ailleurs, a-t-il ajouté, il convient de souligner que le niveau d’endettement du Sénégal est largement inférieur à la moyenne de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui est de 40, 8% et au même niveau que celui des pays à revenu intermédiaire qui se situe à 35, 3%".
Selon Abdoulaye Diop, "le Cap-Vert, le Ghana, le Kenya, l’Ile Maurice, qui sont des pays cités comme des exemples à suivre en Afrique, affiche des taux d’endettement respectifs de 80, 3%, 41, 2%, 50, 5% et 50, 5% de loin supérieurs à celui du Sénégal".
Le Sénégal, a-t-il affirmé, "bénéficie d’un cadre macro-économique stable et des finances publiques assainies lui permettant de lever des fonds pour assurer un développement radieux".
Toutefois, a relevé le ministre de l’Economie et des Finances, "le gouvernement poursuit une politique prudente en matière d’endettement afin de stabiliser la stabilité macroéconomique".
"A cet égard, poursuit Abdoulaye Diop, il faut signaler que le gouvernement est toujours déterminé à contenir la dette publique malgré les besoins manifestes dans tous les secteurs, notamment les infrastructures et l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD)".
APS
"Par ailleurs, a-t-il ajouté, il convient de souligner que le niveau d’endettement du Sénégal est largement inférieur à la moyenne de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui est de 40, 8% et au même niveau que celui des pays à revenu intermédiaire qui se situe à 35, 3%".
Selon Abdoulaye Diop, "le Cap-Vert, le Ghana, le Kenya, l’Ile Maurice, qui sont des pays cités comme des exemples à suivre en Afrique, affiche des taux d’endettement respectifs de 80, 3%, 41, 2%, 50, 5% et 50, 5% de loin supérieurs à celui du Sénégal".
Le Sénégal, a-t-il affirmé, "bénéficie d’un cadre macro-économique stable et des finances publiques assainies lui permettant de lever des fonds pour assurer un développement radieux".
Toutefois, a relevé le ministre de l’Economie et des Finances, "le gouvernement poursuit une politique prudente en matière d’endettement afin de stabiliser la stabilité macroéconomique".
"A cet égard, poursuit Abdoulaye Diop, il faut signaler que le gouvernement est toujours déterminé à contenir la dette publique malgré les besoins manifestes dans tous les secteurs, notamment les infrastructures et l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD)".
APS