Selon le rapport annuel de la Commission nationale d'évaluation chargée d'évaluer l'application des dispositions relatives à l'interruption de grossesse, l'augmentation du nombre d'avortements touche principalement les femmes âgées de 20 à 35 ans, et donc pas les adolescentes. Pour ces dernières, les chiffres sont d'ailleurs restés stables ces 5 dernières années.
Près de 7 femmes qui ont subi un avortement sur dix ne sont pas mariées et ne l'ont pas encore été. La moitié n'a pas eu d'enfants. Quarante pour cent s'estiment trop jeunes, sont encore étudiantes ou n'ont pas encore envie d'avoir un enfant.
Pour 10% des femmes concernées, des problèmes relationnels ont guidé leur décision d'avorter. Dans près de la moitié des cas, les femmes n'avaient utilisé aucun moyen de contraception et une sur trois n'avait pas utilisé le leur de manière correcte.
Certaines femmes disent ne pas avoir assez d'argent pour se payer la contraception et reviennent donc régulièrement se faire avorter.
Près de 7 femmes qui ont subi un avortement sur dix ne sont pas mariées et ne l'ont pas encore été. La moitié n'a pas eu d'enfants. Quarante pour cent s'estiment trop jeunes, sont encore étudiantes ou n'ont pas encore envie d'avoir un enfant.
Pour 10% des femmes concernées, des problèmes relationnels ont guidé leur décision d'avorter. Dans près de la moitié des cas, les femmes n'avaient utilisé aucun moyen de contraception et une sur trois n'avait pas utilisé le leur de manière correcte.
Certaines femmes disent ne pas avoir assez d'argent pour se payer la contraception et reviennent donc régulièrement se faire avorter.