Selon certaines sources, des centaines de combattants de Daech auraient contracté cette maladie chronique à manifestation cutanée et/ou viscérale. Elle est due à un parasite microscopique appelé Leishmania infantum.
L'infection est transmise par la piqûre d'un insecte, le phlébotome, qui ressemble à un très petit moustique. Elle peut causer des lésions ulcératives, formant des "cratères" dans la peau et peut même être mortelle dans certains cas. Les conditions hygiéniques désastreuses en Syrie donnent libre champ au parasite. La ville de Raqqa, bastion du groupe terroriste, serait particulièrement touché.
La maladie en forte progression
Médecins Sans Frontières tente tant bien que mal d'endiguer le fléau, mais doit faire face aux réticences de Daech, dont les combattants s'opposent à tout traitement médical. Certains centres médicaux auraient même fermé leurs portes. Les quelques médecins locaux restant n'auraient qu'une connaissance très parcellaire de la maladie.
Entre 3.000 et 5.000 hommes combattent à Raqqa dans les rangs de l'EI. L'OMS a lancé un cri d'alerte récemment pour signaler l'effondrement complet des soins médicaux. La situation sanitaire catastrophique favorise la propagation de la maladie, qui serait en forte progression actuellement.
7sur7.be
L'infection est transmise par la piqûre d'un insecte, le phlébotome, qui ressemble à un très petit moustique. Elle peut causer des lésions ulcératives, formant des "cratères" dans la peau et peut même être mortelle dans certains cas. Les conditions hygiéniques désastreuses en Syrie donnent libre champ au parasite. La ville de Raqqa, bastion du groupe terroriste, serait particulièrement touché.
La maladie en forte progression
Médecins Sans Frontières tente tant bien que mal d'endiguer le fléau, mais doit faire face aux réticences de Daech, dont les combattants s'opposent à tout traitement médical. Certains centres médicaux auraient même fermé leurs portes. Les quelques médecins locaux restant n'auraient qu'une connaissance très parcellaire de la maladie.
Entre 3.000 et 5.000 hommes combattent à Raqqa dans les rangs de l'EI. L'OMS a lancé un cri d'alerte récemment pour signaler l'effondrement complet des soins médicaux. La situation sanitaire catastrophique favorise la propagation de la maladie, qui serait en forte progression actuellement.
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