La décomposition du régime de Macky Sall se poursuit. Elle s’accélère à un rythme dangereusement vertigineux. Le pouvoir en place est en état dégénérescence et de décadence, de putréfaction et de désarticulation très avancé, il risque d’emporter le pays tout entier dans sa chute. Le pouvoir de Macky Sall conduit le Sénégal vers un cul-de-sac. Le pays s’enfonce dans un marasme économique et social inquiétant, rien ne bouge dans le pays, des effets d’annonce simplement sans effets d’ailleurs. L’on se demande si le pays est gouverné ? Nous avons un président qui se contente d’expédier les affaires courantes dans une indifférence dangereuse. Le président préfère aller aux Etats-Unis pour assister à la remise de diplôme de son fils que de s’occuper des urgences du pays. L’enfant du pauvre paysan qui n’a pas les moyens d’acheter un cahier doit se rendre à l’évidence que le pouvoir actuel a décidé de tourner le dos au peuple.
Nous sommes en pleine crise, seulement après trois ans d’exercice du pouvoir. Le pays a faim. Le pays a soif. Le pays est dans l’obscurité. Le pays écrase sa jeunesse. La pénurie d’eau et les coupures intempestives d’électricité risquent de précipiter des émeutes sociales dans le pays si rien n’est fait par le gouvernement pour régler ces besoins primaires et élémentaires que sont l’eau et l’électricité. Un régime qui ne peut pas régler ces questions primaires n’a aucune légitimité pour gouverner. Nous sommes dans une absence totale de dialogue sur les grandes questions nationales. Le président de la République verse de plus en plus dans un autoritarisme inquiétant : « J’ai décidé d’envoyer les soldats en Arabie Saoudite, un point ». Cela témoigne du manque de sérénité qui habite les hommes à qui nous avons confié les destinés de ce pays.
Notre école publique est complètement en lambeau, elle est déstructurée et désarticulée. Les années scolaires passent et se ressemblent. Un pays incapable de mettre en place une école publique compétente ne verra jamais l’émergence. Notre jeunesse est oubliée, ignorée, elle vit toujours dans un chômage endémique, elle est sans perspectives, à part l’émigration clandestine qui fait de la Méditerranée une fosse pour la jeunesse africaine. Les diplômés de l’Enseignement du Supérieur s’interrogent sur l’utilité d’un diplôme dans ce pays. Le chômage des jeunes constitue une bombe sociale qui peut exploser à tout moment. La corruption est partout dans tous les segments de la société et du pouvoir. La transparence et la gouvernance vertueuse tant chantées restent de vains mots. L’entreprise de privatisation de la République est en marche.
La famille du président de la République est au cœur des affaires de l’Etat. Le frère du président est cité dans plusieurs affaires et scandales. Hier, il était impliqué dans l’affaire Petro-Tim, aujourd’hui, il est accusé d’être actionnaire de la Banque De Dakar (BDK). Le système que nous dénoncions demeure inchangé, structurellement inchangé. Il s’est même dangereusement aggravé et accentué. La seule chose qui a changé dans ce pays est que Abdoulaye Wade et Karim Wade ne sont plus au pouvoir. Ils ont été remplacés par deux noms : Macky Sall et Aliou Sall. Le décor reste le même. Si Macky Sall fait du Wade sans Wade, Aliou Sall fait du Karim sans Karim. Le système des Wade est toujours là, ce sont simplement les acteurs qui ont changé. Les Sall envahissent tous les secteurs du pouvoir et des affaires. C’est pourquoi, nous soutenons que si le Sénégal était une entreprise, nous pourrions dire que Macky Sall en serait le Président de Conseil d’Administration (PCA) et Aliou Sall, le Directeur Général (DG).
La mal gouvernance est endémique, les institutions de la république sont bafouées, foulées aux pieds par ceux-là mêmes qui se devaient de les protéger. Un ministre de la république qui insulte les magistrats de la Cour des comptes en soutenant que c’est une cour de règlement de comptes. Mais que voulez-vous ? Nous avons vu un ancien ministre de l’Intérieur devenu président de la République, forcer les portes d’un bureau de vote. Que peut-on valablement attendre de ces hommes qui nous gouvernent ? Ce n’est pas la levée des couleurs, qu’on impose aux enfants dans les écoles, qui nous permettra de cultiver le sens du civisme et du patriotisme. Le civisme naitra dans ce pays, lorsque les gouvernants gouverneront par l’exemple. La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) demande, réclame et exige la démission du ministre Moustapha Diop, ministre-délégué auprès du ministre de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, chargé de la Microfinance et de l’Economie solidaire.
Le Sénégal n’a pas de calendrier républicain. Tout est maintenu dans un jeu de politique politicienne, de marchandage et de manœuvres de bas étage. Le pays est assis sur une poudrière, à cause de l’incompétence et de l’impuissance du régime de Macky Sall embourbé dans l’immobilisme. Oui, le président Amath Dansokho a plus que raison : « Le pays est en danger ». Le doute et la peur sont les sentiments les mieux partagés aujourd’hui. Nous sommes devant des lendemains incertains. Le président Macky Sall a rompu avec le peuple qui l’a élu depuis le jour qu’il nous a imposé ce Plan Sénégal Emergent, qui n’est pas un programme national, mais un programme des institutions financières internationales. Nous avions voté en 2012 pour le Yonou Yokouté et non pour un Plan Sénégal Emergent complètement désarticulé et sans contenu, un PSE qui, à coup sûr se révèlera être un grand bon en arrière.
Macky Sall a rompu le contrat avec le peuple. Il a trahi la confiance du peuple. Le pays est en danger. La colère populaire monte et les élites au pouvoir refusent d’entendre raison. Elles préfèrent les privilèges. Nous allons vers une explosion sociale. La colère populaire est mille fois plus puissante que la coalition des élites. Le peuple, le peuple et le peuple toujours finira par imposer sa voix.
La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) appelle avec urgence à la convocation d’une Assemblée constituante avec pleins pouvoirs. L’Assemblée constituante aura pour tâche de conduire la transition vers une Nouvelle République avec la mission précise d’élaborer une nouvelle constitution populaire qui a pour but de jeter les bases de la Refondation nationale et de la refondation de notre modèle de démocratie. C’est un impératif populaire.
L’Assemblée constituante sera une sorte de Forum national qui rassemblera différents secteurs de la vie sociale, politique et économique du pays représentés par des porte-paroles dont l’honnêteté et la moralité sont avérées et reconnues. La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) a choisi d’être avec le peuple.
Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS)
Nous sommes en pleine crise, seulement après trois ans d’exercice du pouvoir. Le pays a faim. Le pays a soif. Le pays est dans l’obscurité. Le pays écrase sa jeunesse. La pénurie d’eau et les coupures intempestives d’électricité risquent de précipiter des émeutes sociales dans le pays si rien n’est fait par le gouvernement pour régler ces besoins primaires et élémentaires que sont l’eau et l’électricité. Un régime qui ne peut pas régler ces questions primaires n’a aucune légitimité pour gouverner. Nous sommes dans une absence totale de dialogue sur les grandes questions nationales. Le président de la République verse de plus en plus dans un autoritarisme inquiétant : « J’ai décidé d’envoyer les soldats en Arabie Saoudite, un point ». Cela témoigne du manque de sérénité qui habite les hommes à qui nous avons confié les destinés de ce pays.
Notre école publique est complètement en lambeau, elle est déstructurée et désarticulée. Les années scolaires passent et se ressemblent. Un pays incapable de mettre en place une école publique compétente ne verra jamais l’émergence. Notre jeunesse est oubliée, ignorée, elle vit toujours dans un chômage endémique, elle est sans perspectives, à part l’émigration clandestine qui fait de la Méditerranée une fosse pour la jeunesse africaine. Les diplômés de l’Enseignement du Supérieur s’interrogent sur l’utilité d’un diplôme dans ce pays. Le chômage des jeunes constitue une bombe sociale qui peut exploser à tout moment. La corruption est partout dans tous les segments de la société et du pouvoir. La transparence et la gouvernance vertueuse tant chantées restent de vains mots. L’entreprise de privatisation de la République est en marche.
La famille du président de la République est au cœur des affaires de l’Etat. Le frère du président est cité dans plusieurs affaires et scandales. Hier, il était impliqué dans l’affaire Petro-Tim, aujourd’hui, il est accusé d’être actionnaire de la Banque De Dakar (BDK). Le système que nous dénoncions demeure inchangé, structurellement inchangé. Il s’est même dangereusement aggravé et accentué. La seule chose qui a changé dans ce pays est que Abdoulaye Wade et Karim Wade ne sont plus au pouvoir. Ils ont été remplacés par deux noms : Macky Sall et Aliou Sall. Le décor reste le même. Si Macky Sall fait du Wade sans Wade, Aliou Sall fait du Karim sans Karim. Le système des Wade est toujours là, ce sont simplement les acteurs qui ont changé. Les Sall envahissent tous les secteurs du pouvoir et des affaires. C’est pourquoi, nous soutenons que si le Sénégal était une entreprise, nous pourrions dire que Macky Sall en serait le Président de Conseil d’Administration (PCA) et Aliou Sall, le Directeur Général (DG).
La mal gouvernance est endémique, les institutions de la république sont bafouées, foulées aux pieds par ceux-là mêmes qui se devaient de les protéger. Un ministre de la république qui insulte les magistrats de la Cour des comptes en soutenant que c’est une cour de règlement de comptes. Mais que voulez-vous ? Nous avons vu un ancien ministre de l’Intérieur devenu président de la République, forcer les portes d’un bureau de vote. Que peut-on valablement attendre de ces hommes qui nous gouvernent ? Ce n’est pas la levée des couleurs, qu’on impose aux enfants dans les écoles, qui nous permettra de cultiver le sens du civisme et du patriotisme. Le civisme naitra dans ce pays, lorsque les gouvernants gouverneront par l’exemple. La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) demande, réclame et exige la démission du ministre Moustapha Diop, ministre-délégué auprès du ministre de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, chargé de la Microfinance et de l’Economie solidaire.
Le Sénégal n’a pas de calendrier républicain. Tout est maintenu dans un jeu de politique politicienne, de marchandage et de manœuvres de bas étage. Le pays est assis sur une poudrière, à cause de l’incompétence et de l’impuissance du régime de Macky Sall embourbé dans l’immobilisme. Oui, le président Amath Dansokho a plus que raison : « Le pays est en danger ». Le doute et la peur sont les sentiments les mieux partagés aujourd’hui. Nous sommes devant des lendemains incertains. Le président Macky Sall a rompu avec le peuple qui l’a élu depuis le jour qu’il nous a imposé ce Plan Sénégal Emergent, qui n’est pas un programme national, mais un programme des institutions financières internationales. Nous avions voté en 2012 pour le Yonou Yokouté et non pour un Plan Sénégal Emergent complètement désarticulé et sans contenu, un PSE qui, à coup sûr se révèlera être un grand bon en arrière.
Macky Sall a rompu le contrat avec le peuple. Il a trahi la confiance du peuple. Le pays est en danger. La colère populaire monte et les élites au pouvoir refusent d’entendre raison. Elles préfèrent les privilèges. Nous allons vers une explosion sociale. La colère populaire est mille fois plus puissante que la coalition des élites. Le peuple, le peuple et le peuple toujours finira par imposer sa voix.
La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) appelle avec urgence à la convocation d’une Assemblée constituante avec pleins pouvoirs. L’Assemblée constituante aura pour tâche de conduire la transition vers une Nouvelle République avec la mission précise d’élaborer une nouvelle constitution populaire qui a pour but de jeter les bases de la Refondation nationale et de la refondation de notre modèle de démocratie. C’est un impératif populaire.
L’Assemblée constituante sera une sorte de Forum national qui rassemblera différents secteurs de la vie sociale, politique et économique du pays représentés par des porte-paroles dont l’honnêteté et la moralité sont avérées et reconnues. La Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS) a choisi d’être avec le peuple.
Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme (JDS)