Selon une source proche du dossier, confirmant une information d'iTÉLÉ, Mohamed Benalel Merah a été arrêté non loin du cimetière de Cornebarrieu, en banlieue toulousaine. C'est là qu'a été inhumé son fils, tué par les forces de l'ordre après l'assassinat en mars 2012 de sept personnes, des militaires et des juifs dont trois enfants.
"Procédure d'éloignement"
Il a été entendu en fin de matinée par la police aux frontières de Toulouse dans le cadre d'une procédure de droit au séjour, a-t-on ajouté de source policière. Il a ensuite fait l'objet en début d'après-midi d'une "procédure d'éloignement", à laquelle il n'a pas opposé de recours, avant d'être embarqué à Toulouse dans un avion à destination d'Oran, a-t-on précisé de source policière. Un vol Air Algérie a décollé de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à 13h29. Les autorités aéroportuaires locales n'ont pas été en mesure de confirmer que Mohamed Merah père était à bord.
"Plutôt installé en Algérie"
Le père du tueur au scooter, "plutôt installé en Algérie" selon la préfecture, avait sollicité en mars le renouvellement de sa carte de résident à Toulouse, qui lui a été refusé le 9 avril, un mois avant la fin de sa validité. Mohamed Merah fils, un jeune délinquant toulousain de 23 ans, s'était lancé dans une série d'expéditions jihadistes, à scooter: il avait successivement tué un militaire, le 11 mars 2012 à Toulouse, puis deux autres, à Montauban le 15, et enfin trois enfants juifs et un enseignant, père de deux d'entre eux, le 19 mars à l'école juive Ozar Hatorah (rebaptisée Ohr Torah) à Toulouse.
Mesure annoncée, mesure exécutée
Albert Chennouf, dont le fils militaire est l'une des victimes à Montauban du tueur islamiste franco-algérien, avait dit vendredi matin "espérer" qu'on l'autoriserait à rencontrer Mohamed Merah père. "J'espère qu'on me laissera lui poser des questions sur les vidéos qu'il dit avoir", avait-il déclaré à l'AFP dans la matinée, après être revenu cette semaine chez lui à Nîmes bredouille d'un voyage à Toulouse pour rencontrer le père du tueur.
Mohamed Merah
Mohamed Benalel Merah avait affirmé avoir reçu des vidéos réalisées par son fils avec son téléphone lors de ses derniers moments, prouvant selon lui que son fils, retranché dans son appartement toulousain, avait été "éliminé" par les policiers du RAID, contre lesquels il avait déposé plainte pour "meurtre".
7sur7.be
"Procédure d'éloignement"
Il a été entendu en fin de matinée par la police aux frontières de Toulouse dans le cadre d'une procédure de droit au séjour, a-t-on ajouté de source policière. Il a ensuite fait l'objet en début d'après-midi d'une "procédure d'éloignement", à laquelle il n'a pas opposé de recours, avant d'être embarqué à Toulouse dans un avion à destination d'Oran, a-t-on précisé de source policière. Un vol Air Algérie a décollé de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à 13h29. Les autorités aéroportuaires locales n'ont pas été en mesure de confirmer que Mohamed Merah père était à bord.
"Plutôt installé en Algérie"
Le père du tueur au scooter, "plutôt installé en Algérie" selon la préfecture, avait sollicité en mars le renouvellement de sa carte de résident à Toulouse, qui lui a été refusé le 9 avril, un mois avant la fin de sa validité. Mohamed Merah fils, un jeune délinquant toulousain de 23 ans, s'était lancé dans une série d'expéditions jihadistes, à scooter: il avait successivement tué un militaire, le 11 mars 2012 à Toulouse, puis deux autres, à Montauban le 15, et enfin trois enfants juifs et un enseignant, père de deux d'entre eux, le 19 mars à l'école juive Ozar Hatorah (rebaptisée Ohr Torah) à Toulouse.
Mesure annoncée, mesure exécutée
Albert Chennouf, dont le fils militaire est l'une des victimes à Montauban du tueur islamiste franco-algérien, avait dit vendredi matin "espérer" qu'on l'autoriserait à rencontrer Mohamed Merah père. "J'espère qu'on me laissera lui poser des questions sur les vidéos qu'il dit avoir", avait-il déclaré à l'AFP dans la matinée, après être revenu cette semaine chez lui à Nîmes bredouille d'un voyage à Toulouse pour rencontrer le père du tueur.
Mohamed Merah
Mohamed Benalel Merah avait affirmé avoir reçu des vidéos réalisées par son fils avec son téléphone lors de ses derniers moments, prouvant selon lui que son fils, retranché dans son appartement toulousain, avait été "éliminé" par les policiers du RAID, contre lesquels il avait déposé plainte pour "meurtre".
7sur7.be