Dans la revue de Presse du 27 avril 2007 l’Observateur soutient que « le candidat de Karim passe devant celui de Macky Sall … D’autant plus que ce dernier aurait tout fait pour obtenir la nomination de Serigne Mboup de PETROSEN à ce poste, (tient un ancien ami de Macky et actuel ami de Karim). ... C’est le parrainage de Karim Wade qui a permis à Samuel Sarr d’arriver au perchoir … .Tout ce qu’il a fait dans ce secteur il l’a fait avec la bénédiction et sous la surveillance des Wade père et fils. Samuel ne disait-il pas tout le temps et sans jamais avoir été démenti ni par Wade ni par son entourage: «c’est la vision du chef de l’Etat que nous mettons en forme»? … C’est pour cette diabolique «vision» d’un vieillard pris en otage par son entourage qu’ils ont comploté contre Madické Niang, alors ministre de l’Energie, en lui rappelant ses origines de «Guéweul», griot, traité Macky Sall de «Diaam», esclave, sous son propre toit, les ont humiliés avant de les virer du gouvernement»..
Il est vrai que l’opposant Wade a beaucoup apporté à la démocratie au Sénégal. C’est le cas le dire. Mais aussi, il a beaucoup appris en observant les dirigeants en place à l’époque, comment s’enrichir rapidement sur le dos des contribuables. Et le problème de l’énergie au Sénégal, va servir les intérêts d’un groupe restreint au pouvoir. En 2000, quand il a prit le pouvoir, d’aucuns disent que le président Wade avait bien l’intention de céder le fauteuil, après un seul mandat, voir tout au plus deux mandats si la santé le permet. Et c’est à partir de cette idée que le plan d’enrichissement rapide a été programmé afin de lui permettre de quitter le pouvoir avec les honneurs et à l’abri de soucis financiers. Après avoir répertorié les secteurs les plus florissants de notre économie, il restait à éloigner tous ceux et toutes celles qui pouvaient faire barrage à cette entreprise diabolique (les compagnons de la CA 2000, les Premier ministres, Moustapha Niasse et Mame Madior Boye, ect Vous remarquerez que de 2000 à 2004 aucun éléphant blanc, n’est sorti de terre. Compte tenu du plan en cours, il va s’en dire qu’aucun projet ne pouvait voir jour dans cette période, étant entendu que les principaux dirigeants avaient comme priorité, leur enrichissement rapide. Dès lors la course à la poule aux œufs d’or était lancée. Les grandes entreprises sont ciblées. (Lonase, Ics, Sénélec, le Port, l’Aéroport) entre autres commencèrent à faire remonter des mallettes remplies de billets de banque. Des montages financiers de projets fictifs, la création d’une multitude d’agences dont (l’ANOCI), qui dépendent directement de la présidence de la république et ainsi échappent à tout contrôle.. Le plan Jaxay, le plan REVA, GOANA, des opérations pour capter et détourner des deniers publics. Sans oublier une ponction de 10% partout où l’Etat négocie des contrats importants. Cette fameuse idée de fête de l’indépendance dans les capitales régionales, un moyen de plus pour détourner de l’argent. Lorsque le Premier ministre Idrissa Seck s’est aperçu de la supercherie, c'est-à-dire que Wade allait briguer un second mandat au lieu de lui céder le fauteuil, la rupture était inéluctable. C’est cette promesse, cet accord de principe, que, Idrissa continue de dénoncer.
L’appétit venant en mangeant, la famille Wade et leur cohorte de souteneurs, en premier le Prince président, cherchent à poursuivre leur entreprise de pillage. Le peuple sénégalais doit savoir que tous ces responsables au sommet de l’Etat, participent à cette honteuse entreprise pour leurs intérêts particuliers. Et malheureusement il faut le reconnaître, ils sont soutenus par une infime minorité de notables et dignitaires sans scrupules à travers le pays.
D’où la candidature de Wade à 86 ans. Karim Wade le ministre de l’énergie a déclaré que de 2000 à nos jours 139 milliards ont été injectés dans le redressement de la Sénélec. Alors que le président de la république, Abdoulaye Wade parle de 800 milliards investis dans l’énergie. Où sont passés les 641 milliards restants ? Aujourd’hui c’est vous monsieur le Premier ministre bis qui vous déplacez en Jet privé à travers le monde. Et pourtant le Premier ministre qui est tout de même votre patron et qui vient de déclarer «que touts les ministres sont sous ses ordres », n’a pas ce privilège. Quel drôle d’Etat.. Votre ami Abdoulaye Baldé venant à votre secours déclarait lui aussi : «moi-même, j’ai eu à voyager à bord de ce jet-là. C’est un Falcon 50 qui est la propriété d’un de ses amis... Il a ses amis arabes qui souvent mettent des avions à sa disposition » 6 janvier 2011 Bitimrew. Certes monsieur le ministre Baldé, mais n’existe-t-il pas dans ce que vous affirmez un conflit d’intérêts ? Et il est étonnant qu’un aussi grand commis de l’Etat comme vous, juriste de surcroît, oublie cette réalité. D’ailleurs, en ce moment même la France nous donne un exemple assez parlant à travers la démission de madame le ministre des affaires étrangères au sujet d’un même type de privilège lors d’un séjour en Tunisie.
N’est pas homme d’Etat qui veut. Monsieur le ministre de l’Energie, Karim Wade, monsieur le président du Conseil d’administration de la Sar, Serigne Mboup, je défie vos cadres de la Cis de Dakar et de Paris de me prouver le contraire.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire National
Chargé de la Diaspora Apr
Il est vrai que l’opposant Wade a beaucoup apporté à la démocratie au Sénégal. C’est le cas le dire. Mais aussi, il a beaucoup appris en observant les dirigeants en place à l’époque, comment s’enrichir rapidement sur le dos des contribuables. Et le problème de l’énergie au Sénégal, va servir les intérêts d’un groupe restreint au pouvoir. En 2000, quand il a prit le pouvoir, d’aucuns disent que le président Wade avait bien l’intention de céder le fauteuil, après un seul mandat, voir tout au plus deux mandats si la santé le permet. Et c’est à partir de cette idée que le plan d’enrichissement rapide a été programmé afin de lui permettre de quitter le pouvoir avec les honneurs et à l’abri de soucis financiers. Après avoir répertorié les secteurs les plus florissants de notre économie, il restait à éloigner tous ceux et toutes celles qui pouvaient faire barrage à cette entreprise diabolique (les compagnons de la CA 2000, les Premier ministres, Moustapha Niasse et Mame Madior Boye, ect Vous remarquerez que de 2000 à 2004 aucun éléphant blanc, n’est sorti de terre. Compte tenu du plan en cours, il va s’en dire qu’aucun projet ne pouvait voir jour dans cette période, étant entendu que les principaux dirigeants avaient comme priorité, leur enrichissement rapide. Dès lors la course à la poule aux œufs d’or était lancée. Les grandes entreprises sont ciblées. (Lonase, Ics, Sénélec, le Port, l’Aéroport) entre autres commencèrent à faire remonter des mallettes remplies de billets de banque. Des montages financiers de projets fictifs, la création d’une multitude d’agences dont (l’ANOCI), qui dépendent directement de la présidence de la république et ainsi échappent à tout contrôle.. Le plan Jaxay, le plan REVA, GOANA, des opérations pour capter et détourner des deniers publics. Sans oublier une ponction de 10% partout où l’Etat négocie des contrats importants. Cette fameuse idée de fête de l’indépendance dans les capitales régionales, un moyen de plus pour détourner de l’argent. Lorsque le Premier ministre Idrissa Seck s’est aperçu de la supercherie, c'est-à-dire que Wade allait briguer un second mandat au lieu de lui céder le fauteuil, la rupture était inéluctable. C’est cette promesse, cet accord de principe, que, Idrissa continue de dénoncer.
L’appétit venant en mangeant, la famille Wade et leur cohorte de souteneurs, en premier le Prince président, cherchent à poursuivre leur entreprise de pillage. Le peuple sénégalais doit savoir que tous ces responsables au sommet de l’Etat, participent à cette honteuse entreprise pour leurs intérêts particuliers. Et malheureusement il faut le reconnaître, ils sont soutenus par une infime minorité de notables et dignitaires sans scrupules à travers le pays.
D’où la candidature de Wade à 86 ans. Karim Wade le ministre de l’énergie a déclaré que de 2000 à nos jours 139 milliards ont été injectés dans le redressement de la Sénélec. Alors que le président de la république, Abdoulaye Wade parle de 800 milliards investis dans l’énergie. Où sont passés les 641 milliards restants ? Aujourd’hui c’est vous monsieur le Premier ministre bis qui vous déplacez en Jet privé à travers le monde. Et pourtant le Premier ministre qui est tout de même votre patron et qui vient de déclarer «que touts les ministres sont sous ses ordres », n’a pas ce privilège. Quel drôle d’Etat.. Votre ami Abdoulaye Baldé venant à votre secours déclarait lui aussi : «moi-même, j’ai eu à voyager à bord de ce jet-là. C’est un Falcon 50 qui est la propriété d’un de ses amis... Il a ses amis arabes qui souvent mettent des avions à sa disposition » 6 janvier 2011 Bitimrew. Certes monsieur le ministre Baldé, mais n’existe-t-il pas dans ce que vous affirmez un conflit d’intérêts ? Et il est étonnant qu’un aussi grand commis de l’Etat comme vous, juriste de surcroît, oublie cette réalité. D’ailleurs, en ce moment même la France nous donne un exemple assez parlant à travers la démission de madame le ministre des affaires étrangères au sujet d’un même type de privilège lors d’un séjour en Tunisie.
N’est pas homme d’Etat qui veut. Monsieur le ministre de l’Energie, Karim Wade, monsieur le président du Conseil d’administration de la Sar, Serigne Mboup, je défie vos cadres de la Cis de Dakar et de Paris de me prouver le contraire.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire National
Chargé de la Diaspora Apr
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