"Kritik" affirme qu'entre rareté de la clientèle, fermeture des endroits de racolage, suspicion craintes liées à la transmission du virus, crise économique et black-out total sur le Dakar by night, les filles de joie ne savent plus donner du plaisir.
Depuis l'apparition du virus et le calvaire des couvre-feux, abandonnées à leur sort, les prostituées vivent le calvaire et certaines d'entre les belles de nuit reconverties dans le marché diurne, ne cachent plus leur désespoir de voir leur métier disparaître, du jour au lendemain.
D'ailleurs, certaines disent même se...donner à crédit, en attendant la fin du mois.
Depuis l'apparition du virus et le calvaire des couvre-feux, abandonnées à leur sort, les prostituées vivent le calvaire et certaines d'entre les belles de nuit reconverties dans le marché diurne, ne cachent plus leur désespoir de voir leur métier disparaître, du jour au lendemain.
D'ailleurs, certaines disent même se...donner à crédit, en attendant la fin du mois.