Le président Wade ne reste pas au Sénégal 10 jours, sans sortir du pays à bord d’un Boeing. Il les loue, en dépit d’avoir fait réparer, par l’argent du contribuable sénégalais, l’avion de commandement présidentiel à 35 milliards. Son épouse est devenue une cliente courue par les compagnies de location d’avions. Son fils quitte, presque tous les matins le Sénégal, à bord d’un jet privé, pour revenir avec lui le soir. Les Sénégalais, décaissent 12 milliards de francs Cfa, par an, pour leurs déplacements, Karim non compris. Ce qui outre les Sénégalais et met les institutions internationales et les bailleurs de fonds sur leurs grands chevaux.
C’est dans ce contexte que le président Wade a ordonné à ses ministres de ne plus voyager, hors du pays, sans son autorisation ; comme si son fils n’était pas membre du Gouvernement. Il est vrai qu’il est le ministre qui peut tout se permettre, grâce à son père, avec lequel il viole, au quotidien, leur interdiction. Mais, Souleymane Ndéné et son équipe font comme s’ils n’avaient rien remarqué. Tous tiennent à leurs fromages et Wade connaît leurs goût pour les honneurs. Seuls, donc, les Sénégalais vont payer les caprices d’une famille présidentielle !
C’est dans ce contexte que le président Wade a ordonné à ses ministres de ne plus voyager, hors du pays, sans son autorisation ; comme si son fils n’était pas membre du Gouvernement. Il est vrai qu’il est le ministre qui peut tout se permettre, grâce à son père, avec lequel il viole, au quotidien, leur interdiction. Mais, Souleymane Ndéné et son équipe font comme s’ils n’avaient rien remarqué. Tous tiennent à leurs fromages et Wade connaît leurs goût pour les honneurs. Seuls, donc, les Sénégalais vont payer les caprices d’une famille présidentielle !