Opposant Abdoulaye Wade était indéniablement très endetté. Il avait un dossier au tribunal pénal pour moins de cent millions de nos francs. Maintenant, il est devenu riche, tout comme sa famille. À 86 ans, il se vante d’être au meilleur de sa forme. Il conserverait, toujours, ses forces de 28 ans. Ceci, grâce à la bouillie que lui sert, régulièrement son épouse, Mme Viviane Wade. En fait, son « fondé » serait la trouvaille d’un médecin allemand. Sa composition, naturelle, serait si riche et variée, qu’elle le revigore.
C’est sa bouillie qui lui assure d’être toujours en pleine forme. La porte était donc ouverte pour qu’il critique notre Thiebou Dieune national, qu’il ne mange qu’une fois par semaine. Car, il s'est désolé de dire que l’huile produite au Sénégal est cancérogène. Autrement, les Sénégalais qui le consomment prennent des risques. C’est leur faute, s’ils manquent de moyens pour se taper régulièrement les grillades, qu’il digère avec du petit-lait.
Mais, en réalité, le président se cache derrière ses riches et délicieux mets, pour faire oublier la fortune qu’il dépense pour se maintenir en forme, artificiellement. Car, s’il se rend presque tous les dix jours en France, c’est pour y retrouver son médecin traitant. Celui-ci le maintient grâce aux cellules-souches. Le président Wade se rend aussi à Paris pour des séances de liftings. C’est ce qui l’a métamorphosé. S’il reste au Sénégal pendant deux semaines, le manque de ses produits se reflète sur son visage et sa démarche.
Son épouse, âgée de 75 ans, est, également, fréquente en Europe pour des cures de jouvence. Elle profite également de chacun de ses voyages pour faire des shopings dans le milieu de la haute couture. Le président Wade et sa femme ont une garde-robes bien garnie. Mais, la question est de savoir jusqu’à quand il va continuer à braver la loi de la nature. Car, bien des présidents prenaient le même régime que lui, « avant que le destin jaloux » ne fasse son oeuvre. C’est dire que le président peut consommer les plats qu’il veut, sans rire de la popote dont son peuple est obligé de se contenter.
Quelles séquelles laisseront ses propos dans les mentalités et les cœurs des Sénégalais, plongés dans l’obscurité, du fait des délestages de la Senelec, et confrontés à la pénurie et l’augmentation du gaz.
Le peuple l’a élu pour les tirer du dénuement. Mais, Wade a préféré décourager de consommer local. Mieux il joue à faire peur aux Sénégalais, toutes canines dehors : notre huile est de mauvaise qualité, elle nous expose au cancer.
Le président Wade a foulé au pied le travail abattu par l’ancien ministre des Affaires étrangères et celui du Commerce, qui s’étaient mobilisés pour qu’Abidjan revienne sur son interdiction d’importation de l’huile sénégalaise. Il vient de donner raison aux autorités ivoiriennes et autres pays, qui partageaient leur avis. Le président Wade a agi au détriment des paysans et de l’industrie sénégalaise.
C’est sa bouillie qui lui assure d’être toujours en pleine forme. La porte était donc ouverte pour qu’il critique notre Thiebou Dieune national, qu’il ne mange qu’une fois par semaine. Car, il s'est désolé de dire que l’huile produite au Sénégal est cancérogène. Autrement, les Sénégalais qui le consomment prennent des risques. C’est leur faute, s’ils manquent de moyens pour se taper régulièrement les grillades, qu’il digère avec du petit-lait.
Mais, en réalité, le président se cache derrière ses riches et délicieux mets, pour faire oublier la fortune qu’il dépense pour se maintenir en forme, artificiellement. Car, s’il se rend presque tous les dix jours en France, c’est pour y retrouver son médecin traitant. Celui-ci le maintient grâce aux cellules-souches. Le président Wade se rend aussi à Paris pour des séances de liftings. C’est ce qui l’a métamorphosé. S’il reste au Sénégal pendant deux semaines, le manque de ses produits se reflète sur son visage et sa démarche.
Son épouse, âgée de 75 ans, est, également, fréquente en Europe pour des cures de jouvence. Elle profite également de chacun de ses voyages pour faire des shopings dans le milieu de la haute couture. Le président Wade et sa femme ont une garde-robes bien garnie. Mais, la question est de savoir jusqu’à quand il va continuer à braver la loi de la nature. Car, bien des présidents prenaient le même régime que lui, « avant que le destin jaloux » ne fasse son oeuvre. C’est dire que le président peut consommer les plats qu’il veut, sans rire de la popote dont son peuple est obligé de se contenter.
Quelles séquelles laisseront ses propos dans les mentalités et les cœurs des Sénégalais, plongés dans l’obscurité, du fait des délestages de la Senelec, et confrontés à la pénurie et l’augmentation du gaz.
Le peuple l’a élu pour les tirer du dénuement. Mais, Wade a préféré décourager de consommer local. Mieux il joue à faire peur aux Sénégalais, toutes canines dehors : notre huile est de mauvaise qualité, elle nous expose au cancer.
Le président Wade a foulé au pied le travail abattu par l’ancien ministre des Affaires étrangères et celui du Commerce, qui s’étaient mobilisés pour qu’Abidjan revienne sur son interdiction d’importation de l’huile sénégalaise. Il vient de donner raison aux autorités ivoiriennes et autres pays, qui partageaient leur avis. Le président Wade a agi au détriment des paysans et de l’industrie sénégalaise.